Paréidolie 2019
Château de Servières, Marseille
30 Août - 1 Septembre 2019

Encre, aquarelle et crayons aquarelle
29,7 x 21 cm
Cette série, en entrelaçant formes corporelles et végétales, dévoile un rapport cyclique entre l?homme et la nature. Inspiré par l?ouvrage Le Jardin en mouvement de Gilles Clément, l?artiste met en lumière une cohabitation exacerbée avec la nature, où les plantes intègrent ce que l?homme ingère et rejette, permettant l?épanouissement des deux espèces dans une sorte de fécondité mutuelle, où la fleur, organe sexuel des plantes, se déploie avec sensualité.

Encre, aquarelle et crayons aquarelle
29,7 x 21 cm
Cette série, en entrelaçant formes corporelles et végétales, dévoile un rapport cyclique entre l?homme et la nature. Inspiré par l?ouvrage Le Jardin en mouvement de Gilles Clément, l?artiste met en lumière une cohabitation exacerbée avec la nature, où les plantes intègrent ce que l?homme ingère et rejette, permettant l?épanouissement des deux espèces dans une sorte de fécondité mutuelle, où la fleur, organe sexuel des plantes, se déploie avec sensualité.

Encre, aquarelle et crayons aquarelle
29,7 x 21 cm
Cette série, en entrelaçant formes corporelles et végétales, dévoile un rapport cyclique entre l?homme et la nature. Inspiré par l?ouvrage Le Jardin en mouvement de Gilles Clément, l?artiste met en lumière une cohabitation exacerbée avec la nature, où les plantes intègrent ce que l?homme ingère et rejette, permettant l?épanouissement des deux espèces dans une sorte de fécondité mutuelle, où la fleur, organe sexuel des plantes, se déploie avec sensualité.

Encre, aquarelle et crayons aquarelle
29,7 x 21 cm
Cette série, en entrelaçant formes corporelles et végétales, dévoile un rapport cyclique entre l?homme et la nature. Inspiré par l?ouvrage Le Jardin en mouvement de Gilles Clément, l?artiste met en lumière une cohabitation exacerbée avec la nature, où les plantes intègrent ce que l?homme ingère et rejette, permettant l?épanouissement des deux espèces dans une sorte de fécondité mutuelle, où la fleur, organe sexuel des plantes, se déploie avec sensualité.

42 x 29,7 cm
Dans cette série, Mario d?Souza perpétue l?utilisation de techniques issues du dessin académique. Retranscrite à la manière d?études classiques, des mains prennent des poses diverses tout en tenant des objets sectionnés entre leurs doigts. Réalisés à l?encre de chine, ces objets tranchent avec le reste de la composition, faisant de celle-ci une association entre motifs géométriques et baroques, contemporains et académiques, surréalistes et réalistes. Scindés, divisés ou rompus en deux, ces éléments du quotidien incarnent le sentiment de douleur amené par une séparation tout en servant d?exutoire pour mieux aller de l?avant.

Encre de Chine et crayons aquarelle
42 x 29,7 cm
Dans cette série, Mario d?Souza perpétue l?utilisation de techniques issues du dessin académique. Retranscrite à la manière d?études classiques, des mains prennent des poses diverses tout en tenant des objets sectionnés entre leurs doigts. Réalisés à l?encre de chine, ces objets tranchent avec le reste de la composition, faisant de celle-ci une association entre motifs géométriques et baroques, contemporains et académiques, surréalistes et réalistes. Scindés, divisés ou rompus en deux, ces éléments du quotidien incarnent le sentiment de douleur amené par une séparation tout en servant d?exutoire pour mieux aller de l?avant.

Encre de Chine et crayons aquarelle
59,4 x 42 cm
Dans cette série, Mario d?Souza perpétue l?utilisation de techniques issues du dessin académique. Retranscrite à la manière d?études classiques, des mains prennent des poses diverses tout en tenant des objets sectionnés entre leurs doigts. Réalisés à l?encre de chine, ces objets tranchent avec le reste de la composition, faisant de celle-ci une association entre motifs géométriques et baroques, contemporains et académiques, surréalistes et réalistes. Scindés, divisés ou rompus en deux, ces éléments du quotidien incarnent le sentiment de douleur amené par une séparation tout en servant d?exutoire pour mieux aller de l?avant.

Encre de Chine et crayons aquarelle
59,4 x 42 cm
Dans cette série, Mario d?Souza perpétue l?utilisation de techniques issues du dessin académique. Retranscrite à la manière d?études classiques, des mains prennent des poses diverses tout en tenant des objets sectionnés entre leurs doigts. Réalisés à l?encre de chine, ces objets tranchent avec le reste de la composition, faisant de celle-ci une association entre motifs géométriques et baroques, contemporains et académiques, surréalistes et réalistes. Scindés, divisés ou rompus en deux, ces éléments du quotidien incarnent le sentiment de douleur amené par une séparation tout en servant d?exutoire pour mieux aller de l?avant.

Encre de Chine et crayons aquarelle
59,4 x 42 cm
Dans cette série, Mario d?Souza perpétue l?utilisation de techniques issues du dessin académique. Retranscrite à la manière d?études classiques, des mains prennent des poses diverses tout en tenant des objets sectionnés entre leurs doigts. Réalisés à l?encre de chine, ces objets tranchent avec le reste de la composition, faisant de celle-ci une association entre motifs géométriques et baroques, contemporains et académiques, surréalistes et réalistes. Scindés, divisés ou rompus en deux, ces éléments du quotidien incarnent le sentiment de douleur amené par une séparation tout en servant d?exutoire pour mieux aller de l?avant.

Encre de Chine et crayons aquarelle
59,4 x 42 cm
Dans cette série, Mario d?Souza perpétue l?utilisation de techniques issues du dessin académique. Retranscrite à la manière d?études classiques, des mains prennent des poses diverses tout en tenant des objets sectionnés entre leurs doigts. Réalisés à l?encre de chine, ces objets tranchent avec le reste de la composition, faisant de celle-ci une association entre motifs géométriques et baroques, contemporains et académiques, surréalistes et réalistes. Scindés, divisés ou rompus en deux, ces éléments du quotidien incarnent le sentiment de douleur amené par une séparation tout en servant d?exutoire pour mieux aller de l?avant.

Encre de Chine et crayons aquarelle
59,4 x 42 cm
Dans cette série, Mario d?Souza perpétue l?utilisation de techniques issues du dessin académique. Retranscrite à la manière d?études classiques, des mains prennent des poses diverses tout en tenant des objets sectionnés entre leurs doigts. Réalisés à l?encre de chine, ces objets tranchent avec le reste de la composition, faisant de celle-ci une association entre motifs géométriques et baroques, contemporains et académiques, surréalistes et réalistes. Scindés, divisés ou rompus en deux, ces éléments du quotidien incarnent le sentiment de douleur amené par une séparation tout en servant d?exutoire pour mieux aller de l?avant.

24 x 18 cm

Encres et crayons aquarelle
24 x 18 cm

40 x 30 cm
Titré, daté et signé au dos
La conquête des peines est une réflexion personnelle sur l'échec et la souffrance. Les épreuves, loin de susciter l'effondrement, deviennent ici la source d'un jardin luxuriant, comme une manière de figurer un épanouissement puisé dans le labeur et le dépassement de soi.

40 x 30 cm
Titré, daté et signé au dos

32 x 25 cm
Titré, daté et signé au dos

32 x 25 cm
Titré, daté et signé au dos
Sous le vernis ravive une vision propre à l'enfance de l'artiste à la campagne: le petit garçon imaginait derrière les phénomènes acoustiques typiques des maisons anciennes une présence cachée. L'oeuvre joue ainsi sur la mince frontière entre l'imaginaire et le réel, l'inexistant et le non visible, ainsi qu'entre l'inquiétant et le fascinant.

40 x 30 cm
Titré, daté et signé au dos
Oeuvre intime et auto-référencée, Les éclats diurnes représente un dos constellé de taches de rousseur. Par l'utilisation de la couleur doré dans leur représentation, l'artiste fait de cette particularité un motif de sublimation du corps et non plus de stigmatisation, tout en lui insufflant une dimension surnaturelle.

32 x 25 cm
Titré, daté et signé au dos
Référence à l’adolescence tout comme aux jeux d’enfants, La cadence des chimères figure un personnage en mouvement, sur les jambes duquel deux escargots à la taille démesurée viennent s’enrouler. À la manière d’une allégorie de la pensée, ils ralentissent la cadence de la marche, faisant de celle-ci le lieu d’égarements et d’errances aussi bien physiques que psychiques.

32 x 25 cm
Titré, daté et signé au dos

30 x 35,5 cm

25 x 18,3 cm
Signé et daté en bas à droite

18,3 x 25 cm
Signé et daté en bas à gauche

57 x 77 cm
Signé et daté en bas à droite

50 x 65 cm
Signé et daté en bas à gauche

20,8 x 28,8 cm

50 x 65 cm
Signé, titré, daté au dos
Dans ces dessins, Chourouk Hriech représente des lieux où se mêlent des éléments architecturaux et végétaux appelant à une grande sérénité, comme des endroits idylliques du quotidien. Comme souvent dans sa pratique elle mêle des éléments réels desquels elle s’inspire lors d’un voyage et des éléments imaginaires et fantasmés. Dans ces intérieurs dessinés en noir et blanc, chaque ouverture sur le dehors laisse apparaître des paysages profonds, composés d’une nature verdoyante. Ainsi, elle superpose des architectures urbaines, ici inspirées de Madrid (une salle du Palais de l’Alcazar, une ruelle encombrée,...), et des horizons bucoliques impossibles. De cette manière, elle installe un jeu dans la perspective qui invite à une ouverture, un possible, une nouvelle façon de concevoir l’espace pour aller vers un monde rêvé.

40,5 x 30,5
Titré, daté, signé au dos
Dans ces dessins, Chourouk Hriech représente des lieux où se mêlent des éléments architecturaux et végétaux appelant à une grande sérénité, comme des endroits idylliques du quotidien. Comme souvent dans sa pratique elle mêle des éléments réels desquels elle s’inspire lors d’un voyage et des éléments imaginaires et fantasmés. Dans ces intérieurs dessinés en noir et blanc, chaque ouverture sur le dehors laisse apparaître des paysages profonds, composés d’une nature verdoyante. Ainsi, elle superpose des architectures urbaines, ici inspirées de Madrid (une salle du Palais de l’Alcazar, une ruelle encombrée,...), et des horizons bucoliques impossibles. De cette manière, elle installe un jeu dans la perspective qui invite à une ouverture, un possible, une nouvelle façon de concevoir l’espace pour aller vers un monde rêvé.

21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l’œuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.

21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l’œuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.

Gouache sur Canson
30 x 21 cm

Gouache sur Canson
30 x 21 cm

Gouache sur Canson
18 x 24 cm

L'exposition proposée par la galerie Anne-Sarah Bénichou pour la 6ème édition de Paréidolie se présente comme une réflexion sur le lien qu'entretient le travail du dessin avec le rêve et l'imaginaire, lafaçon dont la page blanche, plus encoe qu'une toile ou que la conception d'une installation, autorise une redéfinition de la réalité et une réinvention du réel.
Avec Chourouk Hriech, Massinissa Selmani, Mario D'Souza et Maxime Verdier