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Massinissa Selmani

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L'aube insondable #7, 2023
L'aube insondable #7, 2023
Graphite et crayon de couleur sur papier et papier calque, ruban adhésif
124 x 100 cm
Signé, en bas à droite
©Fred Froum / La Nouvelle Babylone
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2023005
Reliefs de la latence, 2023
Reliefs de la latence, 2023
Technique mixte
220 x 390 x 90 cm
Nicolas Brasseur
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2023007
Battement, 2023
Battement, 2023
Graphite et crayon de couleur sur papier
65 x 87 cm
Signé, en bas à droite
©Fred Froum / La Nouvelle Babylone
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2023002
Distances, 2023
Distances, 2023
Graphite sur papier
65 x 87 cm
Signé, en bas à droite
©Fred Froum / La Nouvelle Babylone
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2023010
Récit de la gravité, 2022
Récit de la gravité, 2022
Graphite et crayon de couleur sur papier
46 x 60 cm
Signé en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2022009
L'immensité de l'instant, 2022-2023
L'immensité de l'instant, 2022-2023
Technique mixte
Dimensions variables
©Nicolas Brasseur
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2023006
L'aube insondable #8, 2023
L'aube insondable #8, 2023
Graphite et crayon de couleur sur papier
85 x 63 cm
Signé, en bas à droite
©Fred Froum / La Nouvelle Babylone
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2023004
Si, 2023
Si, 2023
Bois, métal, pastel secs sur papier, lettrage en metal
120 x 59 x 134 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2023009
Amorce dans l'air léger #11, 2022
Amorce dans l'air léger #11, 2022
Graphite et crayon de couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2022008

Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.

Amorce dans l'air léger #3, 2020
Amorce dans l'air léger #3, 2020
Amorces dans l'air léger
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2020017

Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.

La promesse de l'équilibre, 2022
La promesse de l'équilibre, 2022
Bois, métal, pierre
22 x 14 x 42 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2022010
Le tacite et l'indicible #2, 2022
Le tacite et l'indicible #2, 2022
Barrière miniature en inox, pierre
24,5 x 25,5 x 19,5 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2022004
Le tacite et l'indicible #1, 2022
Le tacite et l'indicible #1, 2022
Barrière miniature en inox, pierre et dessin techniques mixtes
Dimensions variables (sculpture 24.5 x 25.5 x 19,5 cm - Dessin 42 x 29.7 cm)
Dessins signé au dos, en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2022016
L'aube insondable #5, 2021
L'aube insondable #5, 2021
Graphite et crayons de couleur sur papier
75 x 100 cm
signé en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021012

La série des Aubes insondables marque une évolution dans le travail de Massinissa Selmani. Ici, l'artiste s'intéresse à la suggestion des formes par un jeu sur l'espace et les valeurs. Si ses sources d'inspiration s'écartent de la presse écrite, ces oeuvres s'inscrivent néanmoins dans la continuité de son travail de conception d'espaces énigmatiques, flottants et imaginaires. Il constitue des environnements, au style « insondé » comme le suggère le titre, sans commencement ni fin, accentuant le mystère des scènes et des architectures flottantes.

L'aube insondable #6, 2021
L'aube insondable #6, 2021
Graphite et crayons de couleur sur papier
50 x 65 cm
signé en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021010

La série des Aubes insondables marque une évolution dans le travail de Massinissa Selmani. Ici, l'artiste s'intéresse à la suggestion des formes par un jeu sur l'espace et les valeurs. Si ses sources d'inspiration s'écartent de la presse écrite, ces oeuvres s'inscrivent néanmoins dans la continuité de son travail de conception d'espaces énigmatiques, flottants et imaginaires. Il constitue des environnements, au style « insondé » comme le suggère le titre, sans commencement ni fin, accentuant le mystère des scènes et des architectures flottantes.

La voix d'en face, 2021
La voix d'en face, 2021
Graphite et crayons de couleur sur papier
50 x 65 cm
signé en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021019

Dans le dessin La voix d'en face, Massinissa Selmani construit l'espace par un jeu graphique d'absence et d'ombres, où les éléments architecturaux sont révélés par ce qui les entoure. L'ombre sur l'escalier laisse deviner la possibilité de l'existence d'un objet qui se projette ; peut-être un mur invisible sur lequel repose une échelle. Le mouvement du personnage qui semble amorcer un lancer d'une bouée ou d'un pneu, accentue d'autant plus le prolongement de la scène vers la droite. Du côté opposé, se trouvent des rames sur une étendue d'herbe reposant sur ce qui semble être un rocher. Entre mouvement et immobilité, les éléments assemblés par l'artiste se « tiennent » l'un à l'autre et se compromettent, ouvrant par la même occasion une multitude de possibilités de lecture.

Ton image dans le miroir d'en face, 2021
Ton image dans le miroir d'en face, 2021
Installation technique mixte : Cactus, crayons de couleur sur papier, tige en bois, branche d'arbre, tabouret, cône de signalisation
151 x 50 x 15 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021022

Réemplois et détournements d'objets de la signalétique urbaine ou du quotidien (jumelles, tabouret, cactus), les sculptures qui parsèment l'exposition apportent une existence inédite aux dessins en matérialisant des éléments tout droits sortis des compositions de Massinissa Selmani. L'artiste envisage ici le paysage comme un territoire de conflit, à la fois onirique et surréaliste, tragique et absurde, fait d'équilibres et de confrontations entre les éléments qui le composent. Les installations sont imaginées en miroir des aquarelles, notamment à travers les titres. En effet, ces derniers, tirés des poèmes de Paul Nougé, apportent un éclairage nouveau aux oeuvres tout en instaurant un dialogue avec l'esprit de la poésie de Jean Sénac qui donne les titres aux aquarelles.

Quel petit événement peut remplir une journée ?, 2021
Quel petit événement peut remplir une journée ?, 2021
Deux pierres (tuffeau), crayons de couleurs sur papier marouflé sur bois, 4 roulettes
29,5 x 87 x 75,5 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021023

Réemplois et détournements d'objets de la signalétique urbaine ou du quotidien (jumelles, tabouret, cactus), les sculptures qui parsèment l'exposition apportent une existence inédite aux dessins en matérialisant des éléments tout droits sortis des compositions de Massinissa Selmani. L'artiste envisage ici le paysage comme un territoire de conflit, à la fois onirique et surréaliste, tragique et absurde, fait d'équilibres et de confrontations entre les éléments qui le composent. Les installations sont imaginées en miroir des aquarelles, notamment à travers les titres. En effet, ces derniers, tirés des poèmes de Paul Nougé, apportent un éclairage nouveau aux oeuvres tout en instaurant un dialogue avec l'esprit de la poésie de Jean Sénac qui donne les titres aux aquarelles.

Nous sommes intrigués d'une espérance tenace, 2021
Nous sommes intrigués d'une espérance tenace, 2021
Crayons de couleur sur papier, étagère en bois, tige en bois
25 x 91 x 45 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021020

Réemplois et détournements d'objets de la signalétique urbaine ou du quotidien (jumelles, tabouret, cactus), les sculptures qui parsèment l'exposition apportent une existence inédite aux dessins en matérialisant des éléments tout droits sortis des compositions de Massinissa Selmani. L'artiste envisage ici le paysage comme un territoire de conflit, à la fois onirique et surréaliste, tragique et absurde, fait d'équilibres et de confrontations entre les éléments qui le composent. Les installations sont imaginées en miroir des aquarelles, notamment à travers les titres. En effet, ces derniers, tirés des poèmes de Paul Nougé, apportent un éclairage nouveau aux oeuvres tout en instaurant un dialogue avec l'esprit de la poésie de Jean Sénac qui donne les titres aux aquarelles.

Sans titre #7, 2021
Sans titre #7, 2021
Altérables
Photocopie, graphite et crayons de couleur sur papier calque
15,5 x 19,8 cm
Signé au dos, en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021002

Altérables est un projet initié en 2010 qui vise à reconstituer une série d'images à partir d'un même processus : des visuels récupérés dans la presse écrite sont photocopiés puis modifiés par l'intermédiaire d'une ou plusieurs couches de papier calque transparent. Sur chaque strate, un dessin vient dupliquer, déplacer ou ajouter un élément, un contour ou un objet présent dans la photographie originale. L'image, ainsi redessinée et réinterprétée prend alors un sens totalement différent.

Sans titre # 8, 2021
Sans titre # 8, 2021
Altérables
Photocopie, graphite et crayons de couleur sur papier calque, adhésif - diptyque
10,3 x 14,7 cm (chaque)
Signé au dos, en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021003

Altérables est un projet initié en 2010 qui vise à reconstituer une série d'images à partir d'un même processus : des visuels récupérés dans la presse écrite sont photocopiés puis modifiés par l'intermédiaire d'une ou plusieurs couches de papier calque transparent. Sur chaque strate, un dessin vient dupliquer, déplacer ou ajouter un élément, un contour ou un objet présent dans la photographie originale. L'image, ainsi redessinée et réinterprétée prend alors un sens totalement différent.

Sans titre #9, 2022
Sans titre #9, 2022
Altérables
Photocopie, graphite et crayons de couleur sur papier calque
13,6 x 18,9 cm
Signé au dos en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2022001

Altérables est un projet initié en 2010 qui vise à reconstituer une série d'images à partir d'un même processus : des visuels récupérés dans la presse écrite sont photocopiés puis modifiés par l'intermédiaire d'une ou plusieurs couches de papier calque transparent. Sur chaque strate, un dessin vient dupliquer, déplacer ou ajouter un élément, un contour ou un objet présent dans la photographie originale. L'image, ainsi redessinée et réinterprétée prend alors un sens totalement différent.

Laps, 2022
Laps, 2022
Lithographie
50 x 40 cm
Signé
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2022006
La brèche et sa mesure, 2022
La brèche et sa mesure, 2022
Lithographie
76 x 56 cm
Signé
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2022007
Après l'ordinaire #1, 2021
Après l'ordinaire #1, 2021
Après l'ordinaire
Crayon de couleur sur photocopie, Graphite et crayons de couleur sur papier calque, adhésif
50 x 38,5 cm
signé en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021006

La série Après l'ordinaire s'ancre dans l'imaginaire médiatique des manifestations et émeutes qui ont fait l'actualité ces derniers mois. À partir de carcasses de voitures lambda et des voitures de police brûlées ou renversées qu'il prélève dans la presse, Massinissa Selmani donne à voir des ruines de la violence qu'il réinterprète en les associant à des éléments incongrus (trophée de chasse, rochers...). Ces derniers semblent désamorcer cette violence, formant ainsi des territoires de conflit teintés d'une banalité mystique, voir inquiétante. De plus, à travers l'intrusion d'éléments géométriques formels et la multiplication des points de vue dans ces cinq variations, l'artiste poursuit sa réflexion sur les images altérées et la documentation par le dessin.

Après l'ordinaire #2, 2021
Après l'ordinaire #2, 2021
Après l'ordinaire
Crayon de couleur sur photocopie, Graphite et crayons de couleur sur papier calque, adhésif
50 x 38,5 cm
signé en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021007

La série Après l'ordinaire s'ancre dans l'imaginaire médiatique des manifestations et émeutes qui ont fait l'actualité ces derniers mois. À partir de carcasses de voitures lambda et des voitures de police brûlées ou renversées qu'il prélève dans la presse, Massinissa Selmani donne à voir des ruines de la violence qu'il réinterprète en les associant à des éléments incongrus (trophée de chasse, rochers...). Ces derniers semblent désamorcer cette violence, formant ainsi des territoires de conflit teintés d'une banalité mystique, voir inquiétante. De plus, à travers l'intrusion d'éléments géométriques formels et la multiplication des points de vue dans ces cinq variations, l'artiste poursuit sa réflexion sur les images altérées et la documentation par le dessin.

Après l'ordinaire #3, 2021
Après l'ordinaire #3, 2021
Après l'ordinaire
Crayon de couleur sur photocopie, Graphite et crayons de couleur sur papier calque, adhésif
50 x 38,5 cm
signé en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021008

La série Après l'ordinaire s'ancre dans l'imaginaire médiatique des manifestations et émeutes qui ont fait l'actualité ces derniers mois. À partir de carcasses de voitures lambda et des voitures de police brûlées ou renversées qu'il prélève dans la presse, Massinissa Selmani donne à voir des ruines de la violence qu'il réinterprète en les associant à des éléments incongrus (trophée de chasse, rochers...). Ces derniers semblent désamorcer cette violence, formant ainsi des territoires de conflit teintés d'une banalité mystique, voir inquiétante. De plus, à travers l'intrusion d'éléments géométriques formels et la multiplication des points de vue dans ces cinq variations, l'artiste poursuit sa réflexion sur les images altérées et la documentation par le dessin.

Matière affective, 2021
Matière affective, 2021
Graphite, crayons de couleur, aquarelle sur papier
45 x 55 cm
Signé et daté en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021001

Massinissa Selmani propose un dessin regroupant différentes situations absurdes ou impossibles. Les éléments sont assemblés sans cohérence logique, comme si la scène, de par son étrangeté, tentait de dire l'insondable. Cette oeuvre témoigne de l'évolution du travail de Massinissa Selmani, en s'éloignant de ses sources d'inspiration issues de la presse et se laissant voguer au gré de son imagination. L'utilisation de l'aquarelle marque aussi une transformation de la pratique de l'artiste. L'allusion au chiffre 5 y est présente un peu partout en filigrane comme une métaphysique de la forme : 5 marches, 5 lignes, 5 barreaux, etc.

Ruine respirable, 2021
Ruine respirable, 2021
Aquarelle, graphite et crayon de couleur sur papier
22 x 31 cm
signé au dos en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021015

S'inspirant de poèmes de Jean Sénac, Massinissa Selmani tente de saisir le rythme si particulier de l'écriture de l'auteur en utilisant l'aquarelle pour dessiner des fragments qui viennent faire écho avec le langage. Les phrases sont parfois laissées telles quelles, parfois inventées, modifiées ou augmentées, tout en préservant et soulignant l'impertinence et l'absurde de la plume du poète révolutionnaire. Loin de l'illustration, Massinissa Selmani se focalise principalement sur le rythme formel et graphique pour développer une poésie du dessin qui lui est chère.

La planète entre nos dents, 2021
La planète entre nos dents, 2021
Aquarelle et crayon de couleur sur papier
22 x 22 cm
signé au dos en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021014

S'inspirant de poèmes de Jean Sénac, Massinissa Selmani tente de saisir le rythme si particulier de l'écriture de l'auteur en utilisant l'aquarelle pour dessiner des fragments qui viennent faire écho avec le langage. Les phrases sont parfois laissées telles quelles, parfois inventées, modifiées ou augmentées, tout en préservant et soulignant l'impertinence et l'absurde de la plume du poète révolutionnaire. Loin de l'illustration, Massinissa Selmani se focalise principalement sur le rythme formel et graphique pour développer une poésie du dessin qui lui est chère.

3 jours de travail, 2021
3 jours de travail, 2021
Graphite et crayons de couleur sur papier
32,5 x 25 cm
Signé en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021005

Dans 3 jours de travail, Massinissa Selmani représente une scène sans décor, occupée par trois personnages aux visages anonymisés soulignant d'autant plus leur mouvement. L'uniforme de l'un suggère une position de pouvoir face aux deux autres, pouvant rappeler les images d'arrestations qui nourrissent l'actualité. Pourtant, l'artiste ne souhaite pas se référer à une situation précise, et insère des éléments énigmatiques, tels que cette longue tige en métal qui tient la distance ou ces cactus à la place des visages. Ces associations induisent une inquiétante étrangeté, entre absurdité comique et effroi.

Miroirs errants #2, 2021
Miroirs errants #2, 2021
Aquarelle, graphite et crayon de couleur sur papier
42 x 31 cm
signé au dos en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2021017

Dans ce dessin, Massinissa Selmani fait correspondre l'ombre d'un arbre orphelin et coloré avec celle d'un nuage qui le domine.

Amorce dans l'air léger #1, 2020
Amorce dans l'air léger #1, 2020
Amorces dans l'air léger
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2020015

Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.

Amorce dans l'air léger #2, 2020
Amorce dans l'air léger #2, 2020
Amorces dans l'air léger
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2020016

Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.

Amorce dans l'air léger #4, 2020
Amorce dans l'air léger #4, 2020
Amorces dans l'air léger
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2020018

Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.

Amorce dans l'air léger #10, 2020
Amorce dans l'air léger #10, 2020
Amorces dans l'air léger
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2020024

Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.

Coque lourde #4, 2020
Coque lourde #4, 2020
Les Coques lourdes
Graphite sur papier
32,5 x 25 cm
Signé en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2020008

La série des Coques lourdes est l'occasion pour Massinissa Selmani de dessiner des saynètes où les personnages représentés semblent adopter des postures de repli et de passivité. Ces situations évoquent alors diverses formes de violence et de menace qui restent, comme toujours chez l'artiste, largement indéterminées. Maniant humour et gravité, Massinissa Selmani divulgue un réel entre poétique et politique.

Coque lourde #5, 2020
Coque lourde #5, 2020
Les Coques lourdes
Graphite et crayon de couleur sur papier
32,5 x 25 cm
Signé en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2020009

La série des Coques lourdes est l'occasion pour Massinissa Selmani de dessiner des saynètes où les personnages représentés semblent adopter des postures de repli et de passivité. Ces situations évoquent alors diverses formes de violence et de menace qui restent, comme toujours chez l'artiste, largement indéterminées. Maniant humour et gravité, Massinissa Selmani divulgue un réel entre poétique et politique.

Coque lourde #6, 2020
Coque lourde #6, 2020
Les Coques lourdes
Graphite et crayon de couleur sur papier
25 x 32,5 cm
Signé en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2020010

La série des Coques lourdes est l'occasion pour Massinissa Selmani de dessiner des saynètes où les personnages représentés semblent adopter des postures de repli et de passivité. Ces situations évoquent alors diverses formes de violence et de menace qui restent, comme toujours chez l'artiste, largement indéterminées. Maniant humour et gravité, Massinissa Selmani divulgue un réel entre poétique et politique.

Coque lourde #7, 2020
Coque lourde #7, 2020
Les Coques lourdes
Graphite sur papier
32,5 x 25 cm
Signé en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2020011

La série des Coques lourdes est l'occasion pour Massinissa Selmani de dessiner des saynètes où les personnages représentés semblent adopter des postures de repli et de passivité. Ces situations évoquent alors diverses formes de violence et de menace qui restent, comme toujours chez l'artiste, largement indéterminées. Maniant humour et gravité, Massinissa Selmani divulgue un réel entre poétique et politique.

Prélude de l'élan visible #1, 2020
Prélude de l'élan visible #1, 2020
Graphite et crayons de couleur sur papier
65 x 97,5 cm
Signé en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2020004

La série Prélude de l'élan visible a été réalisée d'une seule traite par l'artiste, qui, marqué par les récits de violences et d'arrestations qui ont eu lieu récemment, a voulu retranscrire cet usage de la force physique et institutionnelle démesurée. Massinissa Selmani ne vise pas ici à décrire une action ou un événement précis, mais plutôt une situation où se joue la violence de l'autorité face à sa remise en cause par le biais de diverses formes de contestation (résistances, opinions, déboulonnages de statues, etc.). Il offre ainsi une lecture subjective de la violence physique dite « légitime » en se concentrant plus sur leur part structurelle et insondable que conjoncturelle.

L'aube insondable #4, 2020
L'aube insondable #4, 2020
Graphite et crayons de couleur sur papier
75 x 100 cm
Signé et daté en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2020001

La série des Aubes insondables marque une évolution dans le travail de Massinissa Selmani. Ici, l'artiste s'intéresse à la suggestion des formes par un jeu sur l'espace et les valeurs. Si ses sources d'inspiration s'écartent de la presse écrite, ces oeuvres s'inscrivent néanmoins dans la continuité de son travail de conception d'espaces énigmatiques, flottants et imaginaires. Il constitue des environnements, au style « insondé » comme le suggère le titre, sans commencement ni fin, accentuant le mystère des scènes et des architectures flottantes.

Balances précises, 2019
Balances précises, 2019
graphite et mines couleur sur papier
76 x 56 cm
Signé et daté en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2019004

Les œuvres de Massinissa Selmani trouvent leur origine dans les actualités politiques et sociales, issues de coupures de presse qu'il collectionne depuis de nombreuses années. En confrontant et juxtaposant sans cohérence logique ces éléments, l'artiste crée des scènes énigmatiques et ambiguës, soulignant le caractère ironique, voire tragique des situations absurdes et étranges représentées dans ses dessins.

Détour du lendemain, 2019
Détour du lendemain, 2019
graphite et mines couleur sur papier
78 x 112 cm
signé, daté
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2019003



Sans titre #3 (Escale), 2018
Sans titre #3 (Escale), 2018
Graphite et mine couleur sur papier
25 x 18,3 cm
Signé et daté en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018035
Sans titre #5 (Escale), 2018
Sans titre #5 (Escale), 2018
Graphite et mine couleur sur papier
18,3 x 25 cm
Signé et daté en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018037
Sans titre #6 (Escale), 2019
Sans titre #6 (Escale), 2019
Graphite et mine couleur sur papier
18,3 x 25 cm
Signé et daté en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2019001
Sans titre #7 (Escale), 2019
Sans titre #7 (Escale), 2019
Graphite et mine couleur sur papier
25 x 18,3 cm
Signé et daté en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2019002
Détail des positions successives, 2019
Détail des positions successives, 2019
Technique mixte
24 x 22,3 cm
en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2019007
L'aube insondable #3, 2018
L'aube insondable #3, 2018
Graphite et mine couleur sur papier
124 x 100 cm
Signé et daté en bas à droite
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018030

La série des Aubes insondables marque une évolution dans le travail de Massinissa Selmani. Ici, l'artiste s'éloigne des traits de contour pour s'intéresser à la suggestion des formes par un jeu sur l'espace et les valeurs. Si ses sources d'inspiration s'écartent de la presse écrite, ces œuvres s'inscrivent néanmoins dans la continuité de son travail de conception d'espaces énigmatiques, flottants et imaginaires. Il constitue des environnements, au style « insondé » comme le suggère le titre, sans commencement ni fin, accentuant le mystère des scènes et des architectures flottantes.
Dans L'aube insondable #3, l'artiste représente des architectures impossibles et imaginaires autour d'une estrade et de chaises inaccessibles qui intensifient l'ambiguïté de la scène représentée.

Dans quel sens traverser les antipodes, 2018
Dans quel sens traverser les antipodes, 2018
Installation, techniques mixtes
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018008

Dans quel sens traverser les antipodes est une installation inspirée du parcours de la figure anarchiste Louise Michel, qui, suite à sa déportation en Nouvelle-Calédonie après la défaite de la Commune de Paris, noua des relations avec les Kanaks dont elle soutint la révolte. Peu de temps après, elle entreprit un voyage en Algérie pour rendre visite aux bagnards qu'elle avait rencontré plus tôt, et y donna de nombreuses conférences. En investissant l'espace et en débordant de la page, Massinissa Selmani poursuit un travail d'expérimentation autour du dessin, mêlant une approche documentaire à des constructions fictionnelles.

Massinissa Selmani
Dans quel sens traverser les antipodes, 2018
Installation, techniques mixtes
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018008

Dans quel sens traverser les antipodes est une installation inspirée du parcours de la figure anarchiste Louise Michel, qui, suite à sa déportation en Nouvelle-Calédonie après la défaite de la Commune de Paris, noua des relations avec les Kanaks dont elle soutint la révolte. Peu de temps après, elle entreprit un voyage en Algérie pour rendre visite aux bagnards qu'elle avait rencontré plus tôt, et y donna de nombreuses conférences. En investissant l'espace et en débordant de la page, Massinissa Selmani poursuit un travail d'expérimentation autour du dessin, mêlant une approche documentaire à des constructions fictionnelles.

Massinissa Selmani
Dans quel sens traverser les antipodes, 2018
Installation, techniques mixtes
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018008

Dans quel sens traverser les antipodes est une installation inspirée du parcours de la figure anarchiste Louise Michel, qui, suite à sa déportation en Nouvelle-Calédonie après la défaite de la Commune de Paris, noua des relations avec les Kanaks dont elle soutint la révolte. Peu de temps après, elle entreprit un voyage en Algérie pour rendre visite aux bagnards qu'elle avait rencontré plus tôt, et y donna de nombreuses conférences. En investissant l'espace et en débordant de la page, Massinissa Selmani poursuit un travail d'expérimentation autour du dessin, mêlant une approche documentaire à des constructions fictionnelles.

Massinissa Selmani
Dans quel sens traverser les antipodes, 2018
Installation, techniques mixtes
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018008

Détail (cette partie comprend : bois, tirage numérique sur papier, rétroviseur, graphite sur papier calque, adhésif, papier coloré (bleu), plexiglass)

Dans quel sens traverser les antipodes est une installation inspirée du parcours de la figure anarchiste Louise Michel, qui, suite à sa déportation en Nouvelle-Calédonie après la défaite de la Commune de Paris, noua des relations avec les Kanaks dont elle soutint la révolte. Peu de temps après, elle entreprit un voyage en Algérie pour rendre visite aux bagnards qu'elle avait rencontré plus tôt, et y donna de nombreuses conférences. En investissant l'espace et en débordant de la page, Massinissa Selmani poursuit un travail d'expérimentation autour du dessin, mêlant une approche documentaire à des constructions fictionnelles.

Intervalle, 2018
Intervalle, 2018
Graphite et mine couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé et daté en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018022


Sans titre, 2018
Sans titre, 2018
Graphite et mine couleur sur plexiglass dépoli, chêne
plexiglass: 25 x 26 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018038



Sans titre, 2018
Sans titre, 2018
Graphite et mine couleur sur plexiglass, chêne
36 x 22 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018039

Expositions :
- Exposition personnelle, Le calme de l'Idée fixe, CCC OD, Tours, France, 2019
- Exposition personnelle, Disegni, Artissima, Turin, Italie,  2018

Sans titre #6, 2018
Sans titre #6, 2018
Série "Altérables"
Chêne, crayon sur papier calque, impression papier contrecollé sur carton
30 x 42 x 2 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018010

Altérables est un projet initié en 2010 qui vise à reconstituer une série d'images à partir d'un même processus : des visuels récupérés dans la presse écrite sont photocopiés puis modifiés par l'intermédiaire d'une ou plusieurs couches de papier calque transparent. Sur chaque strate, un dessin vient dupliquer, déplacer ou ajouter un élément, un contour, un objet présent dans la photographie originale. L'image, ainsi redessinée et réinterprétée, est ensuite scannée. La situation, remise dans un autre contexte et ayant subi les altérations dues aux différentes étapes de transformation, prend alors un sens totalement différent.

L'horizon était là, 2018
L'horizon était là, 2018
Feutre sur post-it, double page d'agenda
20,8 x 28,8 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018031
Mémoires potentielles. Altération #3, 2018
Mémoires potentielles. Altération #3, 2018
Vidéo projetée sur papier et post-it
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018032
Sans titre #2, 2018
Sans titre #2, 2018
Graphite sur papier
30 x 35,5 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018026

Les œuvres de Massinissa Selmani trouvent leur origine dans les actualités politiques et sociales, issues de coupures de presse qu'il collectionne depuis de nombreuses années. En confrontant et juxtaposant sans cohérence logique ces éléments, l'artiste crée des scènes énigmatiques et ambiguës, soulignant le caractère ironique, voire tragique des situations absurdes et étranges représentées dans ses dessins.

Sans titre #4, 2018
Sans titre #4, 2018
Série "Altérables"
Photocopie, graphite sur papier calque
9 x 14,5 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018005

Altérables est un projet initié en 2010 qui vise à reconstituer une série d'images à partir d'un même processus : des visuels récupérés dans la presse écrite sont photocopiés puis modifiés par l'intermédiaire d'une ou plusieurs couches de papier calque transparent. Sur chaque strate, un dessin vient dupliquer, déplacer ou ajouter un élément, un contour, un objet présent dans la photographie originale. L'image, ainsi redessinée et réinterprétée, est ensuite scannée. La situation, remise dans un autre contexte et ayant subi les altérations dues aux différentes étapes de transformation, prend alors un sens totalement différent.

Exposition:
- Ce qui coule n'a pas de fin, Palais de Tokyo, commissariat Yoann Gourmel, du 16 février au 13 mai 2018, Paris, France

Sans titre #2 (Un jour sans ombre), 2018
Sans titre #2 (Un jour sans ombre), 2018
Ensemble de 3 dessins. Crayon et crayon de couleur sur papier, tirage pigmentaire sur papier
Dessins: 29,5 x 20 cm chaque/ tirage pigmentaire: 50 x 32 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018011

Sans titre #2 (Un jour sans ombre) est un ensemble de dessins, carte postale et collage réalisé par Massinissa Selmani alors qu’il s’était rendu sur les traces de Louise Michel en Algérie et en Nouvelle-Calédonie. Il s’agit ici d’une ancienne carte postale montrant l'ancien théâtre Athénée à Alger où la figure anarchiste avait donné une conférence en 1904. Si le théâtre n'existe plus, il reste une partie de la façade que l’artiste a photographié et collé sur l’ancienne carte postale, l’accompagnant de dessins mêlant références historiques et univers flottants.

Massinissa Selmani
Sans titre #2 (Un jour sans ombre), 2018
Ensemble de 3 dessins. Crayon et crayon de couleur sur papier, tirage pigmentaire sur papier
Dessins: 29,5 x 20 cm chaque/ tirage pigmentaire: 50 x 32 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018011

Sans titre #2 (Un jour sans ombre) est un ensemble de dessins, carte postale et collage réalisé par Massinissa Selmani alors qu’il s’était rendu sur les traces de Louise Michel en Algérie et en Nouvelle-Calédonie. Il s’agit ici d’une ancienne carte postale montrant l'ancien théâtre Athénée à Alger où la figure anarchiste avait donné une conférence en 1904. Si le théâtre n'existe plus, il reste une partie de la façade que l’artiste a photographié et collé sur l’ancienne carte postale, l’accompagnant de dessins mêlant références historiques et univers flottants.

Sans titre #5 (Un jour sans ombre)., 2018
Sans titre #5 (Un jour sans ombre)., 2018
Ensemble de 2 dessins. Crayon et crayon de couleur sur papier et papier calque, adhésif
29,5 x 20 cm chaque
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018014
Massinissa Selmani
Sans titre #5 (Un jour sans ombre)., 2018
Ensemble de 2 dessins. Crayon et crayon de couleur sur papier et papier calque, adhésif
29,5 x 20 cm chaque
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018014
Sans titre #6 (Un jour sans ombre), 2018
Sans titre #6 (Un jour sans ombre), 2018
Crayon de couleur sur papier, dessin au crayon sur papier calque, adhésif
29,5 x 20 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018015
Encore un jour sans ombre, 2018
Encore un jour sans ombre, 2018
Installation, techniques mixtes (tige en métal, graphite sur papier calque, adhésif, papier)
Dimensions variables/ dessin: 80 x 46, 5 cm/ tige en métal: 100 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018006
Les barricades finissent au ciel, 2017-2018
Les barricades finissent au ciel, 2017-2018
Graphite sur papier- Triptyque
100 x 140 cm chaque
signés et datés en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018001

Ces trois dessins ont été pensés comme de « fausses » peintures d'histoire, axés sur l'idée du discours et d'enregistrement. Ils comprennent des mises en scènes évoquant des attitudes familières.

Massinissa Selmani
Les barricades finissent au ciel, 2017-2018
Graphite sur papier- Triptyque
100 x 140 cm chaque
signés et datés en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018001

#2

Ces trois dessins ont été pensés comme de « fausses » peintures d'histoire, axés sur l'idée du discours et d'enregistrement. Ils comprennent des mises en scènes évoquant des attitudes familières.

Massinissa Selmani
Les barricades finissent au ciel, 2017-2018
Graphite sur papier- Triptyque
100 x 140 cm chaque
signés et datés en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018001

#3

Ces trois dessins ont été pensés comme de « fausses » peintures d'histoire, axés sur l'idée du discours et d'enregistrement. Ils comprennent des mises en scènes évoquant des attitudes familières.

Massinissa Selmani
Les barricades finissent au ciel, 2017-2018
Graphite sur papier- Triptyque
100 x 140 cm chaque
signés et datés en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2018001

Ces trois dessins ont été pensés comme de « fausses » peintures d'histoire, axés sur l'idée du discours et d'enregistrement. Ils comprennent des mises en scènes évoquant des attitudes familières.

#1, 2017
#1, 2017
Série "Résolutions"
Mine couleur sur papier recyclé
29,7 x 21 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2017005

Résolutions est une série de petits dessins autour de situations vaines, énigmatiques ou absurdes : des saynètes, réduites à une simplicité extrême, avec un ou deux personnages en bleu perdus sur une page de papier recyclé gris qui entreprennent des actions vaines. Résolution ironique à nouveau, comme la représentation d’un geste oxymorique de personnages beckettiens qui entreprennent des actions impossibles et inutiles.

Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

#7, 2017
#7, 2017
Série "Résolutions"
Mine couleur sur papier recyclé
21 x 29,7cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2017011

Résolutions est une série de petits dessins autour de situations vaines, énigmatiques ou absurdes : des saynètes, réduites à une simplicité extrême, avec un ou deux personnages en bleu perdus sur une page de papier recyclé gris qui entreprennent des actions vaines. Résolution ironique à nouveau, comme la représentation d’un geste oxymorique de personnages beckettiens qui entreprennent des actions impossibles et inutiles.

Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Promesse #3, 2017
Promesse #3, 2017
Promesses
Graphite et mines couleur sur papier
49 x 63 cm
Signé et daté en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2017003

Le titre de la série Promesses vient souligner le caractère ironique, voire tragique, des situations absurdes, étranges qui sont représentées dans ces dessins. Les scènes sont créées artificiellement à partir d'éléments de décors et de personnages repris de coupures de presse réelles. C'est de leur juxtaposition, sans cohérence logique, qu'émerge ce sentiment d'étrangeté ; il est peu probable qu'elles se produisent mais le doute demeure car elles restent plausibles. Rien de grandiloquent, chaque élément paraît normal et reconnaissable, et pourtant la scène finale, telle que Massinissa Selmani la crée, perdue dans un espace blanc comme un contexte absent, devient anormalement onirique, troublante, à mi chemin entre comique et tragique, jouant sur la ligne de frontière du réel et de l'irréel.

Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Promesse #4, 2017
Promesse #4, 2017
Promesses
Graphite et mines couleur sur papier
49 x 63 cm
Signé et daté en bas à gauche
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2017004

Le titre de la série Promesses vient souligner le caractère ironique, voire tragique, des situations absurdes, étranges qui sont représentées dans ces dessins. Les scènes sont créées artificiellement à partir d'éléments de décors et de personnages repris de coupures de presse réelles. C'est de leur juxtaposition, sans cohérence logique, qu'émerge ce sentiment d'étrangeté ; il est peu probable qu'elles se produisent mais le doute demeure car elles restent plausibles. Rien de grandiloquent, chaque élément paraît normal et reconnaissable, et pourtant la scène finale, telle que Massinissa Selmani la crée, perdue dans un espace blanc comme un contexte absent, devient anormalement onirique, troublante, à mi chemin entre comique et tragique, jouant sur la ligne de frontière du réel et de l'irréel.

Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Ce n'est rien #1, 2016
Ce n'est rien #1, 2016
Ce n'est rien
Graphite et crayon de couleur sur papier (encadré)
58 x 76 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2016001
Sans titre, 2016
Sans titre, 2016
Photogravure sur papier
47 x 37 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2016008

Production: Art [] Collector et Michael WoolWorth

T'en fais pas. Et moi je plante les clous, 2015
T'en fais pas. Et moi je plante les clous, 2015
Graphite sur papier
3 dessins 80 x 120 cm/ 2 dessins 120 x 80 cm
Biennale de Lyon 2015 © Blaise Adilon
Collection particulière
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015003
Massinissa Selmani
T'en fais pas. Et moi je plante les clous, 2015
Graphite sur papier
3 dessins 80 x 120 cm/ 2 dessins 120 x 80 cm
Biennale de Lyon 2015 © Blaise Adilon
Collection particulière
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015003
Massinissa Selmani
T'en fais pas. Et moi je plante les clous, 2015
Graphite sur papier
3 dessins 80 x 120 cm/ 2 dessins 120 x 80 cm
Biennale de Lyon 2015 © Blaise Adilon
Collection particulière
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015003
Massinissa Selmani
T'en fais pas. Et moi je plante les clous, 2015
Graphite sur papier
3 dessins 80 x 120 cm/ 2 dessins 120 x 80 cm
Biennale de Lyon 2015 © Blaise Adilon
Collection particulière
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015003
1000 villages, 2015
1000 villages, 2015
Dessins sur pages et couverture de cahier, graphite, marqueur sur papier et papier calque, transfert sur papier et papier calque
Dimensions variables
© Amel Boudebbouze
Collection Frac Centre
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015004

Au début des années 70, fut lancée en Algérie la construction de 1000 villages socialistes dans le but de sortir de l'isolement et de la précarité, la population rurale, de lui rendre ses terres spoliées durant la colonisation, de la mener vers une agriculture moderne et de l'impliquer dans le projet révolutionnaire algérien, notamment à travers la révolution agraire.
Malgré l'intention louable du départ, le projet n'a pu être concrétisé en sa totalité, car bien souvent l'implantation et l'édification de ces villages, à quelques rares exceptions près, se sont heurtées à des considérations idéologiques ou administratives imposant des normes à reproduire au détriment des réels besoins des paysans. La population concernée s'est progressivement désintéressée du projet qui fut arrêté quelques années plus tard.
L'oeuvre ici présentée est la première étape du projet intitulé 1000 Villages. Les dessins sont organisés suivant une logique narrative basée sur des confrontations d'éléments : plans de maison, meubles dessinés sur papier calque ; dessins d'espaces, de terres agricoles et d'animaux. Les images reproduites au transfert proviennent de copies de coupures de presse de l'époque. De plus en plus illisibles au fur et à mesure qu'on approche de l'effondrement de l'utopie, jusqu'à la dernière image quasi fantomatique. La seule lecture des reproductions provient de la légende imprimée sur un papier calque qui restitue l'espace mental d'un article de presse.
En marge de ces dessins, un autre a été réalisé sur la couverture d'un cahier inspiré de cahiers vendus durant les années 70-80 en Algérie, faisant la promotion de la révolution agraire et industrielle algérienne.

Oeuvre Présentée pour la première fois durant la biennale de Venise 2015.

Massinissa Selmani
1000 villages, 2015
Dessins sur pages et couverture de cahier, graphite, marqueur sur papier et papier calque, transfert sur papier et papier calque
Dimensions variables
© Amel Boudebbouze
Collection Frac Centre
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015004

Au début des années 70, fut lancée en Algérie la construction de 1000 villages socialistes dans le but de sortir de l'isolement et de la précarité, la population rurale, de lui rendre ses terres spoliées durant la colonisation, de la mener vers une agriculture moderne et de l'impliquer dans le projet révolutionnaire algérien, notamment à travers la révolution agraire.
Malgré l'intention louable du départ, le projet n'a pu être concrétisé en sa totalité, car bien souvent l'implantation et l'édification de ces villages, à quelques rares exceptions près, se sont heurtées à des considérations idéologiques ou administratives imposant des normes à reproduire au détriment des réels besoins des paysans. La population concernée s'est progressivement désintéressée du projet qui fut arrêté quelques années plus tard.
L'oeuvre ici présentée est la première étape du projet intitulé 1000 Villages. Les dessins sont organisés suivant une logique narrative basée sur des confrontations d'éléments : plans de maison, meubles dessinés sur papier calque ; dessins d'espaces, de terres agricoles et d'animaux. Les images reproduites au transfert proviennent de copies de coupures de presse de l'époque. De plus en plus illisibles au fur et à mesure qu'on approche de l'effondrement de l'utopie, jusqu'à la dernière image quasi fantomatique. La seule lecture des reproductions provient de la légende imprimée sur un papier calque qui restitue l'espace mental d'un article de presse.
En marge de ces dessins, un autre a été réalisé sur la couverture d'un cahier inspiré de cahiers vendus durant les années 70-80 en Algérie, faisant la promotion de la révolution agraire et industrielle algérienne.

Oeuvre Présentée pour la première fois durant la biennale de Venise 2015.

Massinissa Selmani
1000 villages, 2015
Dessins sur pages et couverture de cahier, graphite, marqueur sur papier et papier calque, transfert sur papier et papier calque
Dimensions variables
© Amel Boudebbouze
Collection Frac Centre
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015004

Au début des années 70, fut lancée en Algérie la construction de 1000 villages socialistes dans le but de sortir de l'isolement et de la précarité, la population rurale, de lui rendre ses terres spoliées durant la colonisation, de la mener vers une agriculture moderne et de l'impliquer dans le projet révolutionnaire algérien, notamment à travers la révolution agraire.
Malgré l'intention louable du départ, le projet n'a pu être concrétisé en sa totalité, car bien souvent l'implantation et l'édification de ces villages, à quelques rares exceptions près, se sont heurtées à des considérations idéologiques ou administratives imposant des normes à reproduire au détriment des réels besoins des paysans. La population concernée s'est progressivement désintéressée du projet qui fut arrêté quelques années plus tard.
L'oeuvre ici présentée est la première étape du projet intitulé 1000 Villages. Les dessins sont organisés suivant une logique narrative basée sur des confrontations d'éléments : plans de maison, meubles dessinés sur papier calque ; dessins d'espaces, de terres agricoles et d'animaux. Les images reproduites au transfert proviennent de copies de coupures de presse de l'époque. De plus en plus illisibles au fur et à mesure qu'on approche de l'effondrement de l'utopie, jusqu'à la dernière image quasi fantomatique. La seule lecture des reproductions provient de la légende imprimée sur un papier calque qui restitue l'espace mental d'un article de presse.
En marge de ces dessins, un autre a été réalisé sur la couverture d'un cahier inspiré de cahiers vendus durant les années 70-80 en Algérie, faisant la promotion de la révolution agraire et industrielle algérienne.

Oeuvre Présentée pour la première fois durant la biennale de Venise 2015.

Massinissa Selmani
1000 villages, 2015
Dessins sur pages et couverture de cahier, graphite, marqueur sur papier et papier calque, transfert sur papier et papier calque
Dimensions variables
© Amel Boudebbouze
Collection Frac Centre
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015004

Au début des années 70, fut lancée en Algérie la construction de 1000 villages socialistes dans le but de sortir de l'isolement et de la précarité, la population rurale, de lui rendre ses terres spoliées durant la colonisation, de la mener vers une agriculture moderne et de l'impliquer dans le projet révolutionnaire algérien, notamment à travers la révolution agraire.
Malgré l'intention louable du départ, le projet n'a pu être concrétisé en sa totalité, car bien souvent l'implantation et l'édification de ces villages, à quelques rares exceptions près, se sont heurtées à des considérations idéologiques ou administratives imposant des normes à reproduire au détriment des réels besoins des paysans. La population concernée s'est progressivement désintéressée du projet qui fut arrêté quelques années plus tard.
L'oeuvre ici présentée est la première étape du projet intitulé 1000 Villages. Les dessins sont organisés suivant une logique narrative basée sur des confrontations d'éléments : plans de maison, meubles dessinés sur papier calque ; dessins d'espaces, de terres agricoles et d'animaux. Les images reproduites au transfert proviennent de copies de coupures de presse de l'époque. De plus en plus illisibles au fur et à mesure qu'on approche de l'effondrement de l'utopie, jusqu'à la dernière image quasi fantomatique. La seule lecture des reproductions provient de la légende imprimée sur un papier calque qui restitue l'espace mental d'un article de presse.
En marge de ces dessins, un autre a été réalisé sur la couverture d'un cahier inspiré de cahiers vendus durant les années 70-80 en Algérie, faisant la promotion de la révolution agraire et industrielle algérienne.

Oeuvre Présentée pour la première fois durant la biennale de Venise 2015.

A- t-on besoin des ombres pour se souvenir? #1, 2013
A- t-on besoin des ombres pour se souvenir? #1, 2013
A- t-on besoin des ombres pour se souvenir?
Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection Musée National d'Art Moderne- Centre Pompidou
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2013001
A-t-on besoin des ombres pour se souvenir?#4, 2013
A-t-on besoin des ombres pour se souvenir?#4, 2013
A- t-on besoin des ombres pour se souvenir?
Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection Musée National d'Art Moderne- Centre Pompidou
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2013004
A-t-on besoin des ombres pour se souvenir?#5, 2014
A-t-on besoin des ombres pour se souvenir?#5, 2014
A- t-on besoin des ombres pour se souvenir?
Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection Musée National d'Art Moderne- Centre Pompidou
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2014001

Collection Musée National d'Art Moderne- Centre Pompidou

Promenade sous un ciel blanc, 2015
Promenade sous un ciel blanc, 2015
Triptyque, 3 dessins, graphite sur papier
50 x 60 cm chacun
Collection Samdani Art Foundation, Bangladesh.
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015002

D'un accident on a trois points de vue et trois moments différents. Un oeil cinématographique guette, à travers la technique du champ-contrechamp, les effets dévastateurs sur l'automobile choquée. Des spectateurs (témoins oculaires ?) dialoguent devant la scène. Un bleu en guise de fumée montante ou flaque bleue gisant après l'extinction de l'incendie. Un trait rouge et bleu traverse la carcasse à l'envers puis à l'endroit. Dans tous ces éléments constitutifs d'un accident, à la fois banal et surréaliste, il y a comme une mise en oeuvre de l'essence du dessin en tant que rythme du visible. Ce que « l'image-temps » du cinéma nous fait voir se contient déjà dans les traits et les ombres colorés d'un dessin. Et la fulgurance de tout accident se marque dans les traits qui restent d'un témoignage poétique.

Arafat Saadallah, 2015.

Massinissa Selmani
Promenade sous un ciel blanc, 2015
Triptyque, 3 dessins, graphite sur papier
50 x 60 cm chacun
Collection Samdani Art Foundation, Bangladesh.
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015002

D'un accident on a trois points de vue et trois moments différents. Un oeil cinématographique guette, à travers la technique du champ-contrechamp, les effets dévastateurs sur l'automobile choquée. Des spectateurs (témoins oculaires ?) dialoguent devant la scène. Un bleu en guise de fumée montante ou flaque bleue gisant après l'extinction de l'incendie. Un trait rouge et bleu traverse la carcasse à l'envers puis à l'endroit. Dans tous ces éléments constitutifs d'un accident, à la fois banal et surréaliste, il y a comme une mise en oeuvre de l'essence du dessin en tant que rythme du visible. Ce que « l'image-temps » du cinéma nous fait voir se contient déjà dans les traits et les ombres colorés d'un dessin. Et la fulgurance de tout accident se marque dans les traits qui restent d'un témoignage poétique.

Arafat Saadallah, 2015.

Massinissa Selmani
Promenade sous un ciel blanc, 2015
Triptyque, 3 dessins, graphite sur papier
50 x 60 cm chacun
Collection Samdani Art Foundation, Bangladesh.
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015002

D'un accident on a trois points de vue et trois moments différents. Un oeil cinématographique guette, à travers la technique du champ-contrechamp, les effets dévastateurs sur l'automobile choquée. Des spectateurs (témoins oculaires ?) dialoguent devant la scène. Un bleu en guise de fumée montante ou flaque bleue gisant après l'extinction de l'incendie. Un trait rouge et bleu traverse la carcasse à l'envers puis à l'endroit. Dans tous ces éléments constitutifs d'un accident, à la fois banal et surréaliste, il y a comme une mise en oeuvre de l'essence du dessin en tant que rythme du visible. Ce que « l'image-temps » du cinéma nous fait voir se contient déjà dans les traits et les ombres colorés d'un dessin. Et la fulgurance de tout accident se marque dans les traits qui restent d'un témoignage poétique.

Arafat Saadallah, 2015.

Massinissa Selmani
Promenade sous un ciel blanc, 2015
Triptyque, 3 dessins, graphite sur papier
50 x 60 cm chacun
Collection Samdani Art Foundation, Bangladesh.
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015002

D'un accident on a trois points de vue et trois moments différents. Un oeil cinématographique guette, à travers la technique du champ-contrechamp, les effets dévastateurs sur l'automobile choquée. Des spectateurs (témoins oculaires ?) dialoguent devant la scène. Un bleu en guise de fumée montante ou flaque bleue gisant après l'extinction de l'incendie. Un trait rouge et bleu traverse la carcasse à l'envers puis à l'endroit. Dans tous ces éléments constitutifs d'un accident, à la fois banal et surréaliste, il y a comme une mise en oeuvre de l'essence du dessin en tant que rythme du visible. Ce que « l'image-temps » du cinéma nous fait voir se contient déjà dans les traits et les ombres colorés d'un dessin. Et la fulgurance de tout accident se marque dans les traits qui restent d'un témoignage poétique.

Arafat Saadallah, 2015.

Sans titre, 2014
Sans titre, 2014
Lithographie
38 x 32 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2014009

Exposition :
- Épisodes, EESAB-site de Lorient, France, 2018

Diar Echems (Maisons du soleil), 2014
Diar Echems (Maisons du soleil), 2014
Post-it, table lumineuse, coupure de presse
Table : 146 x 220 cm, coupure de presse : 17 x 22 cm (chaque)
© Yoann Gozard
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2014010

Commandé pour the Mosaic Rooms / AM. Fondation Qattan par aria (résidence d'artiste à Alger), 2013-2014.
Soutenu par Arts Council England.

Ce projet s'inspire d'une série d'émeutes qui ont opposé les habitants de la cité Diar Echems (Maisons du soleil) à Alger aux forces de l'ordre en octobre 2009.
Les violences ont éclaté après l'intervention de policiers venus évacuer des baraques de fortune construites sur un terrain de football adjacent à la cité.
Les conditions difficiles et le manque d'espace ont poussé les habitant à tenter de squatter le stade municipal pour se loger, le transformant à terme en bidonville.
Cet espace sensé être un terrain de jeu est devenu un terrain d'enjeux. Cette tentative d'occupation du stade illustre un déplacement de l'espace privé dans l'espace public.
L'installation se compose d'une table lumineuse sur laquelle est dessiné un terrain de football. Des post-it portant des inscriptions et disposés à la surface permettent de reconstituer un possible plan de bidonville et la précarité qui en dérive. Sur le mur est intégrée une coupure de presse fictionnelle imprimée en neuf exemplaires, renvoyant aux articles parus après l'évènement.

Exposition :
- No Looking Back, Okay? commissariat Simona Vidmar, Maribor Art Gallery, Slovénie, 2018-2019

Massinissa Selmani
Diar Echems (Maisons du soleil), 2014
Post-it, table lumineuse, coupure de presse
Table : 146 x 220 cm, coupure de presse : 17 x 22 cm (chaque)
© Yoann Gozard
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2014010

Vue de l'exposition ''L'horizon était là'', Maison Salvan, Labège, 2016 © Yoann Gozard

Commandé pour the Mosaic Rooms / AM. Fondation Qattan par aria (résidence d'artiste à Alger), 2013-2014.
Soutenu par Arts Council England.

Ce projet s'inspire d'une série d'émeutes qui ont opposé les habitants de la cité Diar Echems (Maisons du soleil) à Alger aux forces de l'ordre en octobre 2009.
Les violences ont éclaté après l'intervention de policiers venus évacuer des baraques de fortune construites sur un terrain de football adjacent à la cité.
Les conditions difficiles et le manque d'espace ont poussé les habitant à tenter de squatter le stade municipal pour se loger, le transformant à terme en bidonville.
Cet espace sensé être un terrain de jeu est devenu un terrain d'enjeux. Cette tentative d'occupation du stade illustre un déplacement de l'espace privé dans l'espace public.
L'installation se compose d'une table lumineuse sur laquelle est dessiné un terrain de football. Des post-it portant des inscriptions et disposés à la surface permettent de reconstituer un possible plan de bidonville et la précarité qui en dérive. Sur le mur est intégrée une coupure de presse fictionnelle imprimée en neuf exemplaires, renvoyant aux articles parus après l'évènement.

Exposition :
- No Looking Back, Okay? commissariat Simona Vidmar, Maribor Art Gallery, Slovénie, 2018-2019

Massinissa Selmani
Diar Echems (Maisons du soleil), 2014
Post-it, table lumineuse, coupure de presse
Table : 146 x 220 cm, coupure de presse : 17 x 22 cm (chaque)
© Yoann Gozard
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2014010

Vue de l'exposition ''L'horizon était là'', Maison Salvan, Labège, 2016 © Yoann Gozard

Commandé pour the Mosaic Rooms / AM. Fondation Qattan par aria (résidence d'artiste à Alger), 2013-2014.
Soutenu par Arts Council England.

Ce projet s'inspire d'une série d'émeutes qui ont opposé les habitants de la cité Diar Echems (Maisons du soleil) à Alger aux forces de l'ordre en octobre 2009.
Les violences ont éclaté après l'intervention de policiers venus évacuer des baraques de fortune construites sur un terrain de football adjacent à la cité.
Les conditions difficiles et le manque d'espace ont poussé les habitant à tenter de squatter le stade municipal pour se loger, le transformant à terme en bidonville.
Cet espace sensé être un terrain de jeu est devenu un terrain d'enjeux. Cette tentative d'occupation du stade illustre un déplacement de l'espace privé dans l'espace public.
L'installation se compose d'une table lumineuse sur laquelle est dessiné un terrain de football. Des post-it portant des inscriptions et disposés à la surface permettent de reconstituer un possible plan de bidonville et la précarité qui en dérive. Sur le mur est intégrée une coupure de presse fictionnelle imprimée en neuf exemplaires, renvoyant aux articles parus après l'évènement.

Exposition :
- No Looking Back, Okay? commissariat Simona Vidmar, Maribor Art Gallery, Slovénie, 2018-2019

Mémoires potentielles. Altération #1, 2013-2017
Mémoires potentielles. Altération #1, 2013-2017
Installation avec animation en boucle projetée sur bois, plexiglass et papier
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2017014

Avec le soutien de la DRAC Centre

Mémoires potentielles constitue un travail dans la continuité des Altérables. Là encore il s'agit de questionner le processus de fabrication de l'image (cadrage, altération, esthétisation, etc) dont le contexte et le sens sont mis en doute par un déplacement du regard et un recadrage de la situation.
Les photographies de presse récoltées se mêlent au dessin et dé lent dans des animations comme des cartoons pour enfant : ces mises en scène amènent petit à petit à voir autre chose des situations que l'on semblait connaître et comprendre.

Massinissa Selmani
Mémoires potentielles. Altération #1, 2013-2017
Installation avec animation en boucle projetée sur bois, plexiglass et papier
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2017014

Avec le soutien de la DRAC Centre

Mémoires potentielles constitue un travail dans la continuité des Altérables. Là encore il s'agit de questionner le processus de fabrication de l'image (cadrage, altération, esthétisation, etc) dont le contexte et le sens sont mis en doute par un déplacement du regard et un recadrage de la situation.
Les photographies de presse récoltées se mêlent au dessin et dé lent dans des animations comme des cartoons pour enfant : ces mises en scène amènent petit à petit à voir autre chose des situations que l'on semblait connaître et comprendre.

Massinissa Selmani
Mémoires potentielles. Altération #1, 2013-2017
Installation avec animation en boucle projetée sur bois, plexiglass et papier
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2017014

Avec le soutien de la DRAC Centre

Mémoires potentielles constitue un travail dans la continuité des Altérables. Là encore il s'agit de questionner le processus de fabrication de l'image (cadrage, altération, esthétisation, etc) dont le contexte et le sens sont mis en doute par un déplacement du regard et un recadrage de la situation.
Les photographies de presse récoltées se mêlent au dessin et dé lent dans des animations comme des cartoons pour enfant : ces mises en scène amènent petit à petit à voir autre chose des situations que l'on semblait connaître et comprendre.

Mémoires potentielles. Altération #2, 2013- 2017
Mémoires potentielles. Altération #2, 2013- 2017
Installation avec animation en boucle projetée sur papier et plexiglas
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2017015

Avec le soutien de la DRAC Centre

Mémoires potentielles constitue un travail dans la continuité des Altérables. Là encore il s'agit de questionner le processus de fabrication de l'image (cadrage, altération, esthétisation, etc) dont le contexte et le sens sont mis en doute par un déplacement du regard et un recadrage de la situation.
Les photographies de presse récoltées se mêlent au dessin et dé lent dans des animations comme des cartoons pour enfant : ces mises en scène amènent petit à petit à voir autre chose des situations que l'on semblait connaître et comprendre.

Massinissa Selmani
Mémoires potentielles. Altération #2, 2013- 2017
Installation avec animation en boucle projetée sur papier et plexiglas
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2017015

Avec le soutien de la DRAC Centre

Mémoires potentielles constitue un travail dans la continuité des Altérables. Là encore il s'agit de questionner le processus de fabrication de l'image (cadrage, altération, esthétisation, etc) dont le contexte et le sens sont mis en doute par un déplacement du regard et un recadrage de la situation.
Les photographies de presse récoltées se mêlent au dessin et dé lent dans des animations comme des cartoons pour enfant : ces mises en scène amènent petit à petit à voir autre chose des situations que l'on semblait connaître et comprendre.

Massinissa Selmani
Mémoires potentielles. Altération #2, 2013- 2017
Installation avec animation en boucle projetée sur papier et plexiglas
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2017015

Avec le soutien de la DRAC Centre

Mémoires potentielles constitue un travail dans la continuité des Altérables. Là encore il s'agit de questionner le processus de fabrication de l'image (cadrage, altération, esthétisation, etc) dont le contexte et le sens sont mis en doute par un déplacement du regard et un recadrage de la situation.
Les photographies de presse récoltées se mêlent au dessin et dé lent dans des animations comme des cartoons pour enfant : ces mises en scène amènent petit à petit à voir autre chose des situations que l'on semblait connaître et comprendre.

Histoires parallèles, 2013
Histoires parallèles, 2013
Animation sonore en boucle
19 sec
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2008001



Souvenir du vide, 2011-2015
Souvenir du vide, 2011-2015
42 animations muettes projetées en boucle sur des cubes de papier calque et papier blanc
Dimensions variables
© Blaise Adilon, Biennale de Venise, 2015
Musée d'art contemporain de Lyon
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015005

Dans Souvenir du vide, Massinissa Selmani fait de l'actualité un polyptyque dans la plus pure tradition picturale. Un agencement de formes similaires contient des images qui ne sont pas supposées avoir à faire les unes avec les autres : le comique côtoie le tragique, l'ordinaire côtoie l'extraordinaire, l'inattendu attend. Dans un mouvement sans raison apparente, les scènes s'invitent les unes chez les autres passant d'une absence de lieu à une absence de temps pour configurer le réel tel que l'artiste le regarde : un monde tellement saturé d'images, d'évènements, qu'il en devient impossible d'en retenir l'essence. Alors il en garde un souvenir : le vide.

Abdelkader Damani, co-commissaire de la biennale Dak'Art 2014.

Massinissa Selmani
Souvenir du vide, 2011-2015
42 animations muettes projetées en boucle sur des cubes de papier calque et papier blanc
Dimensions variables
© Blaise Adilon, Biennale de Venise, 2015
Musée d'art contemporain de Lyon
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015005

Dans Souvenir du vide, Massinissa Selmani fait de l'actualité un polyptyque dans la plus pure tradition picturale. Un agencement de formes similaires contient des images qui ne sont pas supposées avoir à faire les unes avec les autres : le comique côtoie le tragique, l'ordinaire côtoie l'extraordinaire, l'inattendu attend. Dans un mouvement sans raison apparente, les scènes s'invitent les unes chez les autres passant d'une absence de lieu à une absence de temps pour configurer le réel tel que l'artiste le regarde : un monde tellement saturé d'images, d'évènements, qu'il en devient impossible d'en retenir l'essence. Alors il en garde un souvenir : le vide.

Abdelkader Damani, co-commissaire de la biennale Dak'Art 2014.

Massinissa Selmani
Souvenir du vide, 2011-2015
42 animations muettes projetées en boucle sur des cubes de papier calque et papier blanc
Dimensions variables
© Blaise Adilon, Biennale de Venise, 2015
Musée d'art contemporain de Lyon
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2015005

Dans Souvenir du vide, Massinissa Selmani fait de l'actualité un polyptyque dans la plus pure tradition picturale. Un agencement de formes similaires contient des images qui ne sont pas supposées avoir à faire les unes avec les autres : le comique côtoie le tragique, l'ordinaire côtoie l'extraordinaire, l'inattendu attend. Dans un mouvement sans raison apparente, les scènes s'invitent les unes chez les autres passant d'une absence de lieu à une absence de temps pour configurer le réel tel que l'artiste le regarde : un monde tellement saturé d'images, d'évènements, qu'il en devient impossible d'en retenir l'essence. Alors il en garde un souvenir : le vide.

Abdelkader Damani, co-commissaire de la biennale Dak'Art 2014.

A côté !, 2011
A côté !, 2011
Animation-installation / Projection sur enveloppe en papier
vidéo: 1'15'' en boucle/ enveloppe: 135 x 101 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2011001



La Parade, 2011
La Parade, 2011
Film d'animation projeté sur papier fixé sur une tige en métal
Format 4:3, 16 sec, en boucle, feuille de papier: 64 x 48 cm
© Noortje Knulst
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MS2011002

Massinissa Selmani met en scène deux personnages qu'on suppose entrain de défiler. Le rythme lent et burlesque joué par un Laurel et Hardi contemporain est accompagné de panneaux électoraux à l'effigie d'un seul homme qui fige l'horizon. Le caractère répétitif du film et la présence d'un spectateur passif jettent une impression de vide matérialisée par le choix du dispositif : une projection sur un drapeau en papier tenu par une tige fine en métal légère et qui s'efface presque dans l'espace.

Massinissa Selmani est né en 1980 à Alger. Il vit et travaille à Tours.

Après des études en informatique en Algérie, il intègre l'École supérieure des Beaux-Arts de Tours. En 2023, Massinissa Selmani a été nommé pour le Prix Marcel Duchamp. Son travail a également été salué par une mention spéciale du jury à la 56ème biennale de Venise (All the World's Futures, commissariat d'Okwui Enwezor en 2015). Il a participé à de nombreuses expositions personnelles et collectives en France et à l'étranger. Lauréat du prix Art collector et du Prix Sam en 2016, il a aussi été exposé à la Biennale de Dakar en 2014, à la première triennale de Vendôme et à la biennale de Lyon en 2015, la biennale d'architecture d'Orléans en 2017, ainsi qu'à la Biennale de Kochi-Muziris en Inde en 2023.


Les œuvres de Massinissa Selmani trouvent leur origine dans les actualités politiques et sociales, issues de coupures de presse qu'il collectionne depuis de nombreuses années. Par la confrontation et la juxtaposition sans cohérence logique de ces éléments réels, il créé des scènes énigmatiques et ambiguës. La forme documentaire, le processus narratif et fictionnel se placent en effet au cœur des recherches de Massinissa Selmani qui détourne avec subtilité, humour et délicatesse notre perception de l'image. Son travail évolue vers une recherche sur les formes dessinées et leur mise en volume. Ainsi, il expérimente le dessin sous toutes ses formes : sur papier, calque, animation et plus récemment sur des sculptures conçues comme des dessins dans l'espace. À travers son approche expérimentale du dessin, Massinissa Selmani joue sur la frontière du réel et de l'irréel, du comique et du tragique, caractéristique de son œuvre.


Télécharger le dossier de presse de Massinissa Selmani (pdf)

45 rue Chapon 75003 Paris - T. +33 (0)1 44 93 91 48 - galerie@annesarahbenichou.com