Massinissa Selmani

78 x 112 cm
signé, daté

24 x 22,3 cm
en bas à droite

75 x 100 cm
Signé et daté en bas à droite
La série des Aubes insondables marque une évolution dans le travail de Massinissa Selmani. Ici, l'artiste s'éloigne des traits de contour pour s'intéresser à la suggestion des formes par un jeu sur l'espace et les valeurs. Si ses sources d'inspiration s'écartent de la presse écrite, ces oeuvres s'inscrivent néanmoins dans la continuité de son travail de conception d'espaces énigmatiques, flottants et imaginaires. Il constitue des environnements, au style « insondé » comme le suggère le titre, sans commencement ni fin, accentuant le mystère des scènes et des architectures flottantes.

45 x 55 cm
Signé et daté en bas à droite
Pour l'anniversaire de la galerie, Massinissa Selmani propose un dessin regroupant différentes situations absurdes ou impossibles. Les éléments sont assemblés sans cohérence logique, comme si la scène, de par son étrangeté, tentait de dire l'insondable. Cette oeuvre témoigne de l'évolution du travail de Massinissa Selmani, en s'éloignant de ses sources d'inspiration issues de la presse et se laissant voguer au gré de son imagination. L'utilisation de l'aquarelle marque aussi une transformation de la pratique de l'artiste. L'allusion au chiffre 5 y est présente un peu partout en filigrane comme une métaphysique de la forme : 5 marches, 5 lignes, 5 barreaux, etc.

25 x 18,3 cm
Signé et daté en bas à droite
Exposition :
- Exposition personnelle, Disegni, Artissima, Turin, Italie, 2018

25 x 18,3 cm
Signé et daté en bas à droite
Exposition :
- Exposition personnelle, Disegni, Artissima, Turin, Italie, 2018

25 x 18,3 cm
Signé et daté en bas à droite

18,3 x 25 cm
signé et daté en bas à gauche
Exposition :
- Exposition personnelle, Disegni, Artissima, Turin, Italie, 2018

18,3 x 25 cm
Signé et daté en bas à gauche

18,3 x 25 cm
Signé et daté en bas à droite

25 x 18,3 cm
Signé et daté en bas à droite

124 x 100 cm
Signé et daté en bas à droite
La série des Aubes insondables marque une évolution dans le travail de Massinissa Selmani. Ici, l’artiste s’éloigne des traits de contour pour s’intéresser à la suggestion des formes par un jeu sur l’espace et les valeurs. Si ses sources d’inspiration s’écartent de la presse écrite, ces œuvres s’inscrivent néanmoins dans la continuité de son travail de conception d’espaces énigmatiques, flottants et imaginaires. Il constitue des environnements, au style « insondé » comme le suggère le titre, sans commencement ni fin, accentuant le mystère des scènes et des architectures flottantes.

124 x 100 cm
Signé et daté en bas à droite
La série des Aubes insondables marque une évolution dans le travail de Massinissa Selmani. Ici, l’artiste s’éloigne des traits de contour pour s’intéresser à la suggestion des formes par un jeu sur l’espace et les valeurs. Si ses sources d’inspiration s’écartent de la presse écrite, ces œuvres s’inscrivent néanmoins dans la continuité de son travail de conception d’espaces énigmatiques, flottants et imaginaires. Il constitue des environnements, au style « insondé » comme le suggère le titre, sans commencement ni fin, accentuant le mystère des scènes et des architectures flottantes.
Dans L’aube insondable #2, il concentre sa recherche autour de la notion d'absence, avec notamment une mise en abîme de l'espace qui renforce le coté énigmatique et insaisissable de la scène représentée.

124 x 100 cm
Signé et daté en bas à droite
La série des Aubes insondables marque une évolution dans le travail de Massinissa Selmani. Ici, l’artiste s’éloigne des traits de contour pour s’intéresser à la suggestion des formes par un jeu sur l’espace et les valeurs. Si ses sources d’inspiration s’écartent de la presse écrite, ces œuvres s’inscrivent néanmoins dans la continuité de son travail de conception d’espaces énigmatiques, flottants et imaginaires. Il constitue des environnements, au style « insondé » comme le suggère le titre, sans commencement ni fin, accentuant le mystère des scènes et des architectures flottantes.
Dans L’aube insondable #3, l’artiste représente des architectures impossibles et imaginaires autour d’une estrade et de chaises inaccessibles qui intensifient l’ambiguïté de la scène représentée.

Dimensions variables
Dans quel sens traverser les antipodes est une installation inspirée du parcours de la figure anarchiste Louise Michel, qui, suite à sa déportation en Nouvelle-Calédonie après la défaite de la Commune de Paris, noua des relations avec les Kanaks dont elle soutint la révolte. Peu de temps après, elle entreprit un voyage en Algérie pour rendre visite aux bagnards qu’elle avait rencontré plus tôt, et y donna de nombreuses conférences. En investissant l’espace et en débordant de la page, Massinissa Selmani poursuit un travail d’expérimentation autour du dessin, mêlant une approche documentaire à des constructions fictionnelles.

Dimensions variables
Dans quel sens traverser les antipodes est une installation inspirée du parcours de la figure anarchiste Louise Michel, qui, suite à sa déportation en Nouvelle-Calédonie après la défaite de la Commune de Paris, noua des relations avec les Kanaks dont elle soutint la révolte. Peu de temps après, elle entreprit un voyage en Algérie pour rendre visite aux bagnards qu’elle avait rencontré plus tôt, et y donna de nombreuses conférences. En investissant l’espace et en débordant de la page, Massinissa Selmani poursuit un travail d’expérimentation autour du dessin, mêlant une approche documentaire à des constructions fictionnelles.

Dimensions variables
Dans quel sens traverser les antipodes est une installation inspirée du parcours de la figure anarchiste Louise Michel, qui, suite à sa déportation en Nouvelle-Calédonie après la défaite de la Commune de Paris, noua des relations avec les Kanaks dont elle soutint la révolte. Peu de temps après, elle entreprit un voyage en Algérie pour rendre visite aux bagnards qu’elle avait rencontré plus tôt, et y donna de nombreuses conférences. En investissant l’espace et en débordant de la page, Massinissa Selmani poursuit un travail d’expérimentation autour du dessin, mêlant une approche documentaire à des constructions fictionnelles.

Dimensions variables
Détail (cette partie comprend : bois, tirage numérique sur papier, rétroviseur, graphite sur papier calque, adhésif, papier coloré (bleu), plexiglass)
Dans quel sens traverser les antipodes est une installation inspirée du parcours de la figure anarchiste Louise Michel, qui, suite à sa déportation en Nouvelle-Calédonie après la défaite de la Commune de Paris, noua des relations avec les Kanaks dont elle soutint la révolte. Peu de temps après, elle entreprit un voyage en Algérie pour rendre visite aux bagnards qu’elle avait rencontré plus tôt, et y donna de nombreuses conférences. En investissant l’espace et en débordant de la page, Massinissa Selmani poursuit un travail d’expérimentation autour du dessin, mêlant une approche documentaire à des constructions fictionnelles.

50 x 65 cm
Signé et daté en bas à gauche

Graphite et mines couleur sur papier
49 x 63 cm
Signé en daté en bas à droite
Le titre de la série Promesses vient souligner le caractère ironique, voire tragique, des situations absurdes, étranges qui sont représentées dans ces dessins. Les scènes sont créées artificiellement à partir d'éléments de décors et de personnages repris de coupures de presse réelles. C'est de leur juxtaposition, sans cohérence logique, qu'émerge ce sentiment d'étrangeté ; il est peu probable qu'elles se produisent mais le doute demeure car elles restent plausibles. Rien de grandiloquent, chaque élément paraît normal et reconnaissable, et pourtant la scène finale, telle que Massinissa Selmani la crée, perdue dans un espace blanc comme un contexte absent, devient anormalement onirique, troublante, à mi chemin entre comique et tragique, jouant sur la ligne de frontière du réel et de l'irréel.
Exposition:
- Poles apart, Musée d'art africain, Belgrade, Serbie, 2018 - 2019

Graphite et mine couleur sur papier
49 x 63 cm
Signé et daté en bas à droite
Le titre de la série Promesses vient souligner le caractère ironique, voire tragique, des situations absurdes, étranges qui sont représentées dans ces dessins. Les scènes sont créées artificiellement à partir d'éléments de décors et de personnages repris de coupures de presse réelles. C'est de leur juxtaposition, sans cohérence logique, qu'émerge ce sentiment d'étrangeté ; il est peu probable qu'elles se produisent mais le doute demeure car elles restent plausibles. Rien de grandiloquent, chaque élément paraît normal et reconnaissable, et pourtant la scène finale, telle que Massinissa Selmani la crée, perdue dans un espace blanc comme un contexte absent, devient anormalement onirique, troublante, à mi chemin entre comique et tragique, jouant sur la ligne de frontière du réel et de l'irréel.

plexiglass: 25 x 26 cm

36 x 22 cm
Expositions :
- Exposition personnelle, Le calme de l'Idée fixe, CCC OD, Tours, France, 2019
- Exposition personnelle, Disegni, Artissima, Turin, Italie, 2018

30 x 35,5 cm

50 x 65 cm
Daté et signé en bas à gauche
Exposition:
- Ce qui coule n'a pas de fin, Palais de Tokyo, commissariat Yoann Gourmel, du 16 février au 13 mai 2018, Paris, France

Photocopie, graphite sur papier calque
9 x 14,5 cm
Altérables est un projet initié en 2010 qui vise à reconstituer une série d'images à partir d'un même processus : des visuels récupérés dans la presse écrite sont photocopiés puis modifiés par l'intermédiaire d'une ou plusieurs couches de papier calque transparent. Sur chaque strate, un dessin vient dupliquer, déplacer ou ajouter un élément, un contour, un objet présent dans la photographie originale. L'image, ainsi redessinée et réinterprétée, est ensuite scannée. La situation, remise dans un autre contexte et ayant subi les altérations dues aux différentes étapes de transformation, prend alors un sens totalement différent.
Exposition:
- Ce qui coule n'a pas de fin, Palais de Tokyo, commissariat Yoann Gourmel, du 16 février au 13 mai 2018, Paris, France

20,8 x 28,8 cm

Dimensions variables

Graphite sur papier calque, adhésif, papier, règle graduée
80 x 46,5 cm/ règle: 50 cm.
Altérables est un projet initié en 2010 qui vise à reconstituer une série d'images à partir d'un même processus : des visuels récupérés dans la presse écrite sont photocopiés puis modifiés par l'intermédiaire d'une ou plusieurs couches de papier calque transparent. Sur chaque strate, un dessin vient dupliquer, déplacer ou ajouter un élément, un contour, un objet présent dans la photographie originale. L'image, ainsi redessinée et réinterprétée, est ensuite scannée. La situation, remise dans un autre contexte et ayant subi les altérations dues aux différentes étapes de transformation, prend alors un sens totalement différent.
Exposition:
- Ce qui coule n'a pas de fin, Palais de Tokyo, commissariat Yoann Gourmel, du 16 février au 13 mai 2018, Paris, France

Chêne, crayon sur papier calque, impression papier contrecollé sur carton
30 x 42 x 2 cm
Altérables est un projet initié en 2010 qui vise à reconstituer une série d'images à partir d'un même processus : des visuels récupérés dans la presse écrite sont photocopiés puis modifiés par l'intermédiaire d'une ou plusieurs couches de papier calque transparent. Sur chaque strate, un dessin vient dupliquer, déplacer ou ajouter un élément, un contour, un objet présent dans la photographie originale. L'image, ainsi redessinée et réinterprétée, est ensuite scannée. La situation, remise dans un autre contexte et ayant subi les altérations dues aux différentes étapes de transformation, prend alors un sens totalement différent.

57 x 77 cm
Signé et daté en bas à droite

55 x 70 x 5 cm
Exposition:
- Ce qui coule n'a pas de fin, Palais de Tokyo, commissariat Yoann Gourmel, du 16 février au 13 mai 2018, Paris, France

Dessins: 29,5 x 20 cm chaque/ tirage pigmentaire: 50 x 32 cm
Sans titre #2 (Un jour sans ombre) est un ensemble de dessins, carte postale et collage réalisé par Massinissa Selmani alors qu’il s’était rendu sur les traces de Louise Michel en Algérie et en Nouvelle-Calédonie. Il s’agit ici d’une ancienne carte postale montrant l'ancien théâtre Athénée à Alger où la figure anarchiste avait donné une conférence en 1904. Si le théâtre n'existe plus, il reste une partie de la façade que l’artiste a photographié et collé sur l’ancienne carte postale, l’accompagnant de dessins mêlant références historiques et univers flottants.

Dessins: 29,5 x 20 cm chaque/ tirage pigmentaire: 50 x 32 cm
Sans titre #2 (Un jour sans ombre) est un ensemble de dessins, carte postale et collage réalisé par Massinissa Selmani alors qu’il s’était rendu sur les traces de Louise Michel en Algérie et en Nouvelle-Calédonie. Il s’agit ici d’une ancienne carte postale montrant l'ancien théâtre Athénée à Alger où la figure anarchiste avait donné une conférence en 1904. Si le théâtre n'existe plus, il reste une partie de la façade que l’artiste a photographié et collé sur l’ancienne carte postale, l’accompagnant de dessins mêlant références historiques et univers flottants.

29,5 x 20 cm chaque

29,5 x 20 cm
Exposition:
- Ce qui coule n'a pas de fin, Palais de Tokyo, commissariat Yoann Gourmel, du 16 février au 13 mai 2018, Paris, France

29,5 x 20 cm chaque

29,5 x 20 cm chaque

29,5 x 20 cm

29,5 x 20 cm chaque

29,5 x 20 cm chaque

29,5 x 20 cm chaque

29,5 x 20 cm chaque

29,5 x 20 cm chaque
Exposition:
- Ce qui coule n'a pas de fin, Palais de Tokyo, commissariat Yoann Gourmel, du 16 février au 13 mai 2018, Paris, France

Dimensions variables/ dessin: 80 x 46, 5 cm/ tige en métal: 100 cm

100 x 140 cm chaque
signés et datés en bas à gauche
Ces trois dessins ont été pensés comme de « fausses » peintures d'histoire, axés sur l'idée du discours et d'enregistrement. Ils comprennent des mises en scènes évoquant des attitudes familières.

100 x 140 cm chaque
signés et datés en bas à gauche
#2
Ces trois dessins ont été pensés comme de « fausses » peintures d'histoire, axés sur l'idée du discours et d'enregistrement. Ils comprennent des mises en scènes évoquant des attitudes familières.

100 x 140 cm chaque
signés et datés en bas à gauche
#3
Ces trois dessins ont été pensés comme de « fausses » peintures d'histoire, axés sur l'idée du discours et d'enregistrement. Ils comprennent des mises en scènes évoquant des attitudes familières.

100 x 140 cm chaque
signés et datés en bas à gauche
Ces trois dessins ont été pensés comme de « fausses » peintures d'histoire, axés sur l'idée du discours et d'enregistrement. Ils comprennent des mises en scènes évoquant des attitudes familières.

Graphite et mine couleur sur papier
105 x 80 cm
Entre le ciel et moi s'inscrit dans la continuité des travaux à caractère social et politique de Massinissa Selmani dans lesquels il interroge l'urbanisme, les structures architecturales et la façon dont les individus s'y projettent et vivent avec : comment les politiques se servent de ces éléments de notre environnement pour en faire des instruments de pouvoir et comment les sociétés les réinterprètent pour en créer des supports d'évasion intellectuelle et culturelle... Ici des monuments étranges, absurdes, incongrus, sont mis en scène pour célébrer ou signifier des évènements que l'on ne comprend pas, comme une métaphore de l'absurdité de certaines formes de pouvoir.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Graphite sur papier
105 x 80 cm
Entre le ciel et moi s'inscrit dans la continuité des travaux à caractère social et politique de Massinissa Selmani dans lesquels il interroge l'urbanisme, les structures architecturales et la façon dont les individus s'y projettent et vivent avec : comment les politiques se servent de ces éléments de notre environnement pour en faire des instruments de pouvoir et comment les sociétés les réinterprètent pour en créer des supports d'évasion intellectuelle et culturelle... Ici des monuments étranges, absurdes, incongrus, sont mis en scène pour célébrer ou signifier des évènements que l'on ne comprend pas, comme une métaphore de l'absurdité de certaines formes de pouvoir.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Graphite et mines couleur sur papier
105 x 80 cm
Signé et daté en bas à droite
Entre le ciel et moi s'inscrit dans la continuité des travaux à caractère social et politique de Massinissa Selmani dans lesquels il interroge l'urbanisme, les structures architecturales et la façon dont les individus s'y projettent et vivent avec : comment les politiques se servent de ces éléments de notre environnement pour en faire des instruments de pouvoir et comment les sociétés les réinterprètent pour en créer des supports d'évasion intellectuelle et culturelle... Ici des monuments étranges, absurdes, incongrus, sont mis en scène pour célébrer ou signifier des évènements que l'on ne comprend pas, comme une métaphore de l'absurdité de certaines formes de pouvoir.

Mine couleur sur papier recyclé
29,7 x 21 cm
Résolutions est une série de petits dessins autour de situations vaines, énigmatiques ou absurdes : des saynètes, réduites à une simplicité extrême, avec un ou deux personnages en bleu perdus sur une page de papier recyclé gris qui entreprennent des actions vaines. Résolution ironique à nouveau, comme la représentation d’un geste oxymorique de personnages beckettiens qui entreprennent des actions impossibles et inutiles.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Mine couleur sur papier recyclé
29,7 x 21 cm
Résolutions est une série de petits dessins autour de situations vaines, énigmatiques ou absurdes : des saynètes, réduites à une simplicité extrême, avec un ou deux personnages en bleu perdus sur une page de papier recyclé gris qui entreprennent des actions vaines. Résolution ironique à nouveau, comme la représentation d?un geste oxymorique de personnages beckettiens qui entreprennent des actions impossibles et inutiles.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Mine couleur sur papier recyclé
21 x 29,7cm
Résolutions est une série de petits dessins autour de situations vaines, énigmatiques ou absurdes : des saynètes, réduites à une simplicité extrême, avec un ou deux personnages en bleu perdus sur une page de papier recyclé gris qui entreprennent des actions vaines. Résolution ironique à nouveau, comme la représentation d’un geste oxymorique de personnages beckettiens qui entreprennent des actions impossibles et inutiles.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Mine couleur sur papier recyclé
21 x 29,7cm
Résolutions est une série de petits dessins autour de situations vaines, énigmatiques ou absurdes : des saynètes, réduites à une simplicité extrême, avec un ou deux personnages en bleu perdus sur une page de papier recyclé gris qui entreprennent des actions vaines. Résolution ironique à nouveau, comme la représentation d’un geste oxymorique de personnages beckettiens qui entreprennent des actions impossibles et inutiles.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Mine couleur sur papier recyclé
29,7cm x 21 cm
Résolutions est une série de petits dessins autour de situations vaines, énigmatiques ou absurdes : des saynètes, réduites à une simplicité extrême, avec un ou deux personnages en bleu perdus sur une page de papier recyclé gris qui entreprennent des actions vaines. Résolution ironique à nouveau, comme la représentation d’un geste oxymorique de personnages beckettiens qui entreprennent des actions impossibles et inutiles.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Mine couleur sur papier recyclé
29,7 x 21 cm
Résolutions est une série de petits dessins autour de situations vaines, énigmatiques ou absurdes : des saynètes, réduites à une simplicité extrême, avec un ou deux personnages en bleu perdus sur une page de papier recyclé gris qui entreprennent des actions vaines. Résolution ironique à nouveau, comme la représentation d’un geste oxymorique de personnages beckettiens qui entreprennent des actions impossibles et inutiles.
Expositions:
- Habiter la Méditerranée, Institut Valencien d’Art Moderne (IVAM), Valence, Espagne, 2018
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017

Mine couleur sur papier recyclé
21 x 29,7cm
Résolutions est une série de petits dessins autour de situations vaines, énigmatiques ou absurdes : des saynètes, réduites à une simplicité extrême, avec un ou deux personnages en bleu perdus sur une page de papier recyclé gris qui entreprennent des actions vaines. Résolution ironique à nouveau, comme la représentation d’un geste oxymorique de personnages beckettiens qui entreprennent des actions impossibles et inutiles.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Graphite et mines couleur sur papier
65 x 100 cm
Le titre de la série Promesses vient souligner le caractère ironique, voire tragique, des situations absurdes, étranges qui sont représentées dans ces dessins. Les scènes sont créées artificiellement à partir d’éléments de décors et de personnages repris de coupures de presse réelles. C’est de leur juxtaposition, sans cohérence logique, qu’émerge ce sentiment d’étrangeté ; il est peu probable qu’elles se produisent mais le doute demeure car elles restent plausibles. Rien de grandiloquent, chaque élément paraît normal et reconnaissable, et pourtant la scène finale, telle que Massinissa Selmani la crée, perdue dans un espace blanc comme un contexte absent, devient anormalement onirique, troublante, à mi chemin entre comique et tragique, jouant sur la ligne de frontière du réel et de l’irréel.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Graphite et mines couleur sur papier
65 x 100 cm
Le titre de la série Promesses vient souligner le caractère ironique, voire tragique, des situations absurdes, étranges qui sont représentées dans ces dessins. Les scènes sont créées artificiellement à partir d’éléments de décors et de personnages repris de coupures de presse réelles. C’est de leur juxtaposition, sans cohérence logique, qu’émerge ce sentiment d’étrangeté ; il est peu probable qu’elles se produisent mais le doute demeure car elles restent plausibles. Rien de grandiloquent, chaque élément paraît normal et reconnaissable, et pourtant la scène finale, telle que Massinissa Selmani la crée, perdue dans un espace blanc comme un contexte absent, devient anormalement onirique, troublante, à mi chemin entre comique et tragique, jouant sur la ligne de frontière du réel et de l’irréel.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Graphite et mines couleur sur papier
49 x 63 cm
Signé et daté en bas à gauche
Le titre de la série Promesses vient souligner le caractère ironique, voire tragique, des situations absurdes, étranges qui sont représentées dans ces dessins. Les scènes sont créées artificiellement à partir d?éléments de décors et de personnages repris de coupures de presse réelles. C?est de leur juxtaposition, sans cohérence logique, qu?émerge ce sentiment d?étrangeté ; il est peu probable qu?elles se produisent mais le doute demeure car elles restent plausibles. Rien de grandiloquent, chaque élément paraît normal et reconnaissable, et pourtant la scène finale, telle que Massinissa Selmani la crée, perdue dans un espace blanc comme un contexte absent, devient anormalement onirique, troublante, à mi chemin entre comique et tragique, jouant sur la ligne de frontière du réel et de l?irréel.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Graphite et mines couleur sur papier
49 x 63 cm
Signé et daté en bas à gauche
Le titre de la série Promesses vient souligner le caractère ironique, voire tragique, des situations absurdes, étranges qui sont représentées dans ces dessins. Les scènes sont créées artificiellement à partir d?éléments de décors et de personnages repris de coupures de presse réelles. C?est de leur juxtaposition, sans cohérence logique, qu?émerge ce sentiment d?étrangeté ; il est peu probable qu?elles se produisent mais le doute demeure car elles restent plausibles. Rien de grandiloquent, chaque élément paraît normal et reconnaissable, et pourtant la scène finale, telle que Massinissa Selmani la crée, perdue dans un espace blanc comme un contexte absent, devient anormalement onirique, troublante, à mi chemin entre comique et tragique, jouant sur la ligne de frontière du réel et de l?irréel.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

Graphite et crayon de couleur sur papier (encadré)
58 x 76 cm

47 x 37 cm
Production: Art [] Collector et Michael WoolWorth

3 dessins 80 x 120 cm/ 2 dessins 120 x 80 cm
Biennale de Lyon 2015 © Blaise Adilon
Collection particulière

3 dessins 80 x 120 cm/ 2 dessins 120 x 80 cm
Biennale de Lyon 2015 © Blaise Adilon
Collection particulière

3 dessins 80 x 120 cm/ 2 dessins 120 x 80 cm
Biennale de Lyon 2015 © Blaise Adilon
Collection particulière

3 dessins 80 x 120 cm/ 2 dessins 120 x 80 cm
Biennale de Lyon 2015 © Blaise Adilon
Collection particulière

Dimensions variables
© Amel Boudebbouze
Collection Frac Centre
Au début des années 70, fut lancée en Algérie la construction de 1000 villages socialistes dans le but de sortir de l'isolement et de la précarité, la population rurale, de lui rendre ses terres spoliées durant la colonisation, de la mener vers une agriculture moderne et de l'impliquer dans le projet révolutionnaire algérien, notamment à travers la révolution agraire.
Malgré l'intention louable du départ, le projet n'a pu être concrétisé en sa totalité, car bien souvent l'implantation et l'édification de ces villages, à quelques rares exceptions près, se sont heurtées à des considérations idéologiques ou administratives imposant des normes à reproduire au détriment des réels besoins des paysans. La population concernée s'est progressivement désintéressée du projet qui fut arrêté quelques années plus tard.
L'oeuvre ici présentée est la première étape du projet intitulé 1000 Villages. Les dessins sont organisés suivant une logique narrative basée sur des confrontations d'éléments : plans de maison, meubles dessinés sur papier calque ; dessins d'espaces, de terres agricoles et d'animaux. Les images reproduites au transfert proviennent de copies de coupures de presse de l'époque. De plus en plus illisibles au fur et à mesure qu'on approche de l'effondrement de l'utopie, jusqu'à la dernière image quasi fantomatique. La seule lecture des reproductions provient de la légende imprimée sur un papier calque qui restitue l'espace mental d'un article de presse.
En marge de ces dessins, un autre a été réalisé sur la couverture d'un cahier inspiré de cahiers vendus durant les années 70-80 en Algérie, faisant la promotion de la révolution agraire et industrielle algérienne.
Oeuvre Présentée pour la première fois durant la biennale de Venise 2015.

Dimensions variables
© Amel Boudebbouze
Collection Frac Centre
Au début des années 70, fut lancée en Algérie la construction de 1000 villages socialistes dans le but de sortir de l'isolement et de la précarité, la population rurale, de lui rendre ses terres spoliées durant la colonisation, de la mener vers une agriculture moderne et de l'impliquer dans le projet révolutionnaire algérien, notamment à travers la révolution agraire.
Malgré l'intention louable du départ, le projet n'a pu être concrétisé en sa totalité, car bien souvent l'implantation et l'édification de ces villages, à quelques rares exceptions près, se sont heurtées à des considérations idéologiques ou administratives imposant des normes à reproduire au détriment des réels besoins des paysans. La population concernée s'est progressivement désintéressée du projet qui fut arrêté quelques années plus tard.
L'oeuvre ici présentée est la première étape du projet intitulé 1000 Villages. Les dessins sont organisés suivant une logique narrative basée sur des confrontations d'éléments : plans de maison, meubles dessinés sur papier calque ; dessins d'espaces, de terres agricoles et d'animaux. Les images reproduites au transfert proviennent de copies de coupures de presse de l'époque. De plus en plus illisibles au fur et à mesure qu'on approche de l'effondrement de l'utopie, jusqu'à la dernière image quasi fantomatique. La seule lecture des reproductions provient de la légende imprimée sur un papier calque qui restitue l'espace mental d'un article de presse.
En marge de ces dessins, un autre a été réalisé sur la couverture d'un cahier inspiré de cahiers vendus durant les années 70-80 en Algérie, faisant la promotion de la révolution agraire et industrielle algérienne.
Oeuvre Présentée pour la première fois durant la biennale de Venise 2015.

Dimensions variables
© Amel Boudebbouze
Collection Frac Centre
Au début des années 70, fut lancée en Algérie la construction de 1000 villages socialistes dans le but de sortir de l'isolement et de la précarité, la population rurale, de lui rendre ses terres spoliées durant la colonisation, de la mener vers une agriculture moderne et de l'impliquer dans le projet révolutionnaire algérien, notamment à travers la révolution agraire.
Malgré l'intention louable du départ, le projet n'a pu être concrétisé en sa totalité, car bien souvent l'implantation et l'édification de ces villages, à quelques rares exceptions près, se sont heurtées à des considérations idéologiques ou administratives imposant des normes à reproduire au détriment des réels besoins des paysans. La population concernée s'est progressivement désintéressée du projet qui fut arrêté quelques années plus tard.
L'oeuvre ici présentée est la première étape du projet intitulé 1000 Villages. Les dessins sont organisés suivant une logique narrative basée sur des confrontations d'éléments : plans de maison, meubles dessinés sur papier calque ; dessins d'espaces, de terres agricoles et d'animaux. Les images reproduites au transfert proviennent de copies de coupures de presse de l'époque. De plus en plus illisibles au fur et à mesure qu'on approche de l'effondrement de l'utopie, jusqu'à la dernière image quasi fantomatique. La seule lecture des reproductions provient de la légende imprimée sur un papier calque qui restitue l'espace mental d'un article de presse.
En marge de ces dessins, un autre a été réalisé sur la couverture d'un cahier inspiré de cahiers vendus durant les années 70-80 en Algérie, faisant la promotion de la révolution agraire et industrielle algérienne.
Oeuvre Présentée pour la première fois durant la biennale de Venise 2015.

Dimensions variables
© Amel Boudebbouze
Collection Frac Centre
Au début des années 70, fut lancée en Algérie la construction de 1000 villages socialistes dans le but de sortir de l'isolement et de la précarité, la population rurale, de lui rendre ses terres spoliées durant la colonisation, de la mener vers une agriculture moderne et de l'impliquer dans le projet révolutionnaire algérien, notamment à travers la révolution agraire.
Malgré l'intention louable du départ, le projet n'a pu être concrétisé en sa totalité, car bien souvent l'implantation et l'édification de ces villages, à quelques rares exceptions près, se sont heurtées à des considérations idéologiques ou administratives imposant des normes à reproduire au détriment des réels besoins des paysans. La population concernée s'est progressivement désintéressée du projet qui fut arrêté quelques années plus tard.
L'oeuvre ici présentée est la première étape du projet intitulé 1000 Villages. Les dessins sont organisés suivant une logique narrative basée sur des confrontations d'éléments : plans de maison, meubles dessinés sur papier calque ; dessins d'espaces, de terres agricoles et d'animaux. Les images reproduites au transfert proviennent de copies de coupures de presse de l'époque. De plus en plus illisibles au fur et à mesure qu'on approche de l'effondrement de l'utopie, jusqu'à la dernière image quasi fantomatique. La seule lecture des reproductions provient de la légende imprimée sur un papier calque qui restitue l'espace mental d'un article de presse.
En marge de ces dessins, un autre a été réalisé sur la couverture d'un cahier inspiré de cahiers vendus durant les années 70-80 en Algérie, faisant la promotion de la révolution agraire et industrielle algérienne.
Oeuvre Présentée pour la première fois durant la biennale de Venise 2015.

50,5 x 65 cm
Exposition:
- Épisodes, EESAB-site de Lorient, France, 2018
- Présentation des acquisitions de l'artothèque de Pessac 2017, Maison Frugès-Le Corbusier, 2018

Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection Musée National d'Art Moderne- Centre Pompidou

Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection Musée National d'Art Moderne- Centre Pompidou

Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection Musée National d'Art Moderne- Centre Pompidou

Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection Musée National d'Art Moderne- Centre Pompidou

Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection Musée National d'Art Moderne- Centre Pompidou
Collection Musée National d'Art Moderne- Centre Pompidou

Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection Musée National d'Art Moderne- Centre Pompidou

Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection particulière

Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection particulière

Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection particulière
Exposition:
- Les imaginaires d'un monde in-tranquille, Centre d'art contemporadu 8 juillet au 15 octobre 2017

Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection particulière
Exposition:
- Les imaginaires d'un monde in-tranquille, Centre d'art contemporadu 8 juillet au 15 octobre 2017

Graphite sur papier
40 x 50 cm
Collection Samdani Art Foundation, Bangladesh.

50 x 60 cm chacun
Collection Samdani Art Foundation, Bangladesh.
D'un accident on a trois points de vue et trois moments différents. Un oeil cinématographique guette, à travers la technique du champ-contrechamp, les effets dévastateurs sur l'automobile choquée. Des spectateurs (témoins oculaires ?) dialoguent devant la scène. Un bleu en guise de fumée montante ou flaque bleue gisant après l'extinction de l'incendie. Un trait rouge et bleu traverse la carcasse à l?envers puis à l'endroit. Dans tous ces éléments constitutifs d'un accident, à la fois banal et surréaliste, il y a comme une mise en oeuvre de l'essence du dessin en tant que rythme du visible. Ce que « l'image-temps » du cinéma nous fait voir se contient déjà dans les traits et les ombres colorés d'un dessin. Et la fulgurance de tout accident se marque dans les traits qui restent d'un témoignage poétique.
Arafat Saadallah, 2015.

50 x 60 cm chacun
Collection Samdani Art Foundation, Bangladesh.
D'un accident on a trois points de vue et trois moments différents. Un oeil cinématographique guette, à travers la technique du champ-contrechamp, les effets dévastateurs sur l'automobile choquée. Des spectateurs (témoins oculaires ?) dialoguent devant la scène. Un bleu en guise de fumée montante ou flaque bleue gisant après l'extinction de l'incendie. Un trait rouge et bleu traverse la carcasse à l?envers puis à l'endroit. Dans tous ces éléments constitutifs d'un accident, à la fois banal et surréaliste, il y a comme une mise en oeuvre de l'essence du dessin en tant que rythme du visible. Ce que « l'image-temps » du cinéma nous fait voir se contient déjà dans les traits et les ombres colorés d'un dessin. Et la fulgurance de tout accident se marque dans les traits qui restent d'un témoignage poétique.
Arafat Saadallah, 2015.

50 x 60 cm chacun
Collection Samdani Art Foundation, Bangladesh.
D'un accident on a trois points de vue et trois moments différents. Un oeil cinématographique guette, à travers la technique du champ-contrechamp, les effets dévastateurs sur l'automobile choquée. Des spectateurs (témoins oculaires ?) dialoguent devant la scène. Un bleu en guise de fumée montante ou flaque bleue gisant après l'extinction de l'incendie. Un trait rouge et bleu traverse la carcasse à l?envers puis à l'endroit. Dans tous ces éléments constitutifs d'un accident, à la fois banal et surréaliste, il y a comme une mise en oeuvre de l'essence du dessin en tant que rythme du visible. Ce que « l'image-temps » du cinéma nous fait voir se contient déjà dans les traits et les ombres colorés d'un dessin. Et la fulgurance de tout accident se marque dans les traits qui restent d'un témoignage poétique.
Arafat Saadallah, 2015.

50 x 60 cm chacun
Collection Samdani Art Foundation, Bangladesh.
D'un accident on a trois points de vue et trois moments différents. Un oeil cinématographique guette, à travers la technique du champ-contrechamp, les effets dévastateurs sur l'automobile choquée. Des spectateurs (témoins oculaires ?) dialoguent devant la scène. Un bleu en guise de fumée montante ou flaque bleue gisant après l'extinction de l'incendie. Un trait rouge et bleu traverse la carcasse à l?envers puis à l'endroit. Dans tous ces éléments constitutifs d'un accident, à la fois banal et surréaliste, il y a comme une mise en oeuvre de l'essence du dessin en tant que rythme du visible. Ce que « l'image-temps » du cinéma nous fait voir se contient déjà dans les traits et les ombres colorés d'un dessin. Et la fulgurance de tout accident se marque dans les traits qui restent d'un témoignage poétique.
Arafat Saadallah, 2015.

Graphite sur photocopie et papier calque
14 x 21 cm
Altérables est un projet initié en 2010 qui vise à reconstituer une série d’images à partir d’un même processus : des visuels récupérés dans la presse écrite sont photocopiés puis modifiés par l’intermédiaire d’une ou plusieurs couches de papier calque transparent. Sur chaque strate, un dessin vient dupliquer, déplacer ou ajouter un élément, un contour, un objet présent dans la photographie originale. L’image, ainsi redessinée et réinterprétée, est ensuite scannée. La situation, remise dans un autre contexte et ayant subi les altérations dues aux différentes étapes de transformation, prend alors un sens totalement différent.

Graphite sur photocopie et papier calque
14 x 21 cm
Altérables est un projet initié en 2010 qui vise à reconstituer une série d’images à partir d’un même processus : des visuels récupérés dans la presse écrite sont photocopiés puis modifiés par l’intermédiaire d’une ou plusieurs couches de papier calque transparent. Sur chaque strate, un dessin vient dupliquer, déplacer ou ajouter un élément, un contour, un objet présent dans la photographie originale. L’image, ainsi redessinée et réinterprétée, est ensuite scannée. La situation, remise dans un autre contexte et ayant subi les altérations dues aux différentes étapes de transformation, prend alors un sens totalement différent.
Exposition:
- Les choses que vous faites m'entourent, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France du 2 septembre au 22 octobre 2017

38 x 32 cm
Exposition :
- Épisodes, EESAB-site de Lorient, France, 2018

Table : 146 x 220 cm, coupure de presse : 17 x 22 cm (chaque)
© Yoann Gozard
Commandé pour the Mosaic Rooms / AM. Fondation Qattan par aria (résidence d'artiste à Alger), 2013-2014.
Soutenu par Arts Council England.
Ce projet s?inspire d?une série d?émeutes qui ont opposé les habitants de la cité Diar Echems (Maisons du soleil) à Alger aux forces de l'ordre en octobre 2009.
Les violences ont éclaté après l?intervention de policiers venus évacuer des baraques de fortune construites sur un terrain de football adjacent à la cité.
Les conditions difficiles et le manque d?espace ont poussé les habitant à tenter de squatter le stade municipal pour se loger, le transformant à terme en bidonville.
Cet espace sensé être un terrain de jeu est devenu un terrain d?enjeux. Cette tentative d?occupation du stade illustre un déplacement de l?espace privé dans l?espace public.
L?installation se compose d?une table lumineuse sur laquelle est dessiné un terrain de football. Des post-it portant des inscriptions et disposés à la surface permettent de reconstituer un possible plan de bidonville et la précarité qui en dérive. Sur le mur est intégrée une coupure de presse fictionnelle imprimée en neuf exemplaires, renvoyant aux articles parus après l?évènement.
Exposition :
- No Looking Back, Okay? commissariat Simona Vidmar, Maribor Art Gallery, Slovénie, 2018-2019

Table : 146 x 220 cm, coupure de presse : 17 x 22 cm (chaque)
© Yoann Gozard
Vue de l'exposition ''L'horizon était là'', Maison Salvan, Labège, 2016 © Yoann Gozard
Commandé pour the Mosaic Rooms / AM. Fondation Qattan par aria (résidence d'artiste à Alger), 2013-2014.
Soutenu par Arts Council England.
Ce projet s?inspire d?une série d?émeutes qui ont opposé les habitants de la cité Diar Echems (Maisons du soleil) à Alger aux forces de l'ordre en octobre 2009.
Les violences ont éclaté après l?intervention de policiers venus évacuer des baraques de fortune construites sur un terrain de football adjacent à la cité.
Les conditions difficiles et le manque d?espace ont poussé les habitant à tenter de squatter le stade municipal pour se loger, le transformant à terme en bidonville.
Cet espace sensé être un terrain de jeu est devenu un terrain d?enjeux. Cette tentative d?occupation du stade illustre un déplacement de l?espace privé dans l?espace public.
L?installation se compose d?une table lumineuse sur laquelle est dessiné un terrain de football. Des post-it portant des inscriptions et disposés à la surface permettent de reconstituer un possible plan de bidonville et la précarité qui en dérive. Sur le mur est intégrée une coupure de presse fictionnelle imprimée en neuf exemplaires, renvoyant aux articles parus après l?évènement.
Exposition :
- No Looking Back, Okay? commissariat Simona Vidmar, Maribor Art Gallery, Slovénie, 2018-2019

Table : 146 x 220 cm, coupure de presse : 17 x 22 cm (chaque)
© Yoann Gozard
Vue de l'exposition ''L'horizon était là'', Maison Salvan, Labège, 2016 © Yoann Gozard
Commandé pour the Mosaic Rooms / AM. Fondation Qattan par aria (résidence d'artiste à Alger), 2013-2014.
Soutenu par Arts Council England.
Ce projet s?inspire d?une série d?émeutes qui ont opposé les habitants de la cité Diar Echems (Maisons du soleil) à Alger aux forces de l'ordre en octobre 2009.
Les violences ont éclaté après l?intervention de policiers venus évacuer des baraques de fortune construites sur un terrain de football adjacent à la cité.
Les conditions difficiles et le manque d?espace ont poussé les habitant à tenter de squatter le stade municipal pour se loger, le transformant à terme en bidonville.
Cet espace sensé être un terrain de jeu est devenu un terrain d?enjeux. Cette tentative d?occupation du stade illustre un déplacement de l?espace privé dans l?espace public.
L?installation se compose d?une table lumineuse sur laquelle est dessiné un terrain de football. Des post-it portant des inscriptions et disposés à la surface permettent de reconstituer un possible plan de bidonville et la précarité qui en dérive. Sur le mur est intégrée une coupure de presse fictionnelle imprimée en neuf exemplaires, renvoyant aux articles parus après l?évènement.
Exposition :
- No Looking Back, Okay? commissariat Simona Vidmar, Maribor Art Gallery, Slovénie, 2018-2019

Dimensions variables
Avec le soutien de la DRAC Centre
Mémoires potentielles constitue un travail dans la continuité des Altérables. Là encore il s'agit de questionner le processus de fabrication de l'image (cadrage, altération, esthétisation, etc) dont le contexte et le sens sont mis en doute par un déplacement du regard et un recadrage de la situation.
Les photographies de presse récoltées se mêlent au dessin et dé lent dans des animations comme des cartoons pour enfant : ces mises en scène amènent petit à petit à voir autre chose des situations que l'on semblait connaître et comprendre.

Dimensions variables
Avec le soutien de la DRAC Centre
Mémoires potentielles constitue un travail dans la continuité des Altérables. Là encore il s'agit de questionner le processus de fabrication de l'image (cadrage, altération, esthétisation, etc) dont le contexte et le sens sont mis en doute par un déplacement du regard et un recadrage de la situation.
Les photographies de presse récoltées se mêlent au dessin et dé lent dans des animations comme des cartoons pour enfant : ces mises en scène amènent petit à petit à voir autre chose des situations que l'on semblait connaître et comprendre.

Dimensions variables
Avec le soutien de la DRAC Centre
Mémoires potentielles constitue un travail dans la continuité des Altérables. Là encore il s'agit de questionner le processus de fabrication de l'image (cadrage, altération, esthétisation, etc) dont le contexte et le sens sont mis en doute par un déplacement du regard et un recadrage de la situation.
Les photographies de presse récoltées se mêlent au dessin et dé lent dans des animations comme des cartoons pour enfant : ces mises en scène amènent petit à petit à voir autre chose des situations que l'on semblait connaître et comprendre.

Dimensions variables
Avec le soutien de la DRAC Centre
Mémoires potentielles constitue un travail dans la continuité des Altérables. Là encore il s'agit de questionner le processus de fabrication de l'image (cadrage, altération, esthétisation, etc) dont le contexte et le sens sont mis en doute par un déplacement du regard et un recadrage de la situation.
Les photographies de presse récoltées se mêlent au dessin et dé lent dans des animations comme des cartoons pour enfant : ces mises en scène amènent petit à petit à voir autre chose des situations que l'on semblait connaître et comprendre.

Dimensions variables
Avec le soutien de la DRAC Centre
Mémoires potentielles constitue un travail dans la continuité des Altérables. Là encore il s'agit de questionner le processus de fabrication de l'image (cadrage, altération, esthétisation, etc) dont le contexte et le sens sont mis en doute par un déplacement du regard et un recadrage de la situation.
Les photographies de presse récoltées se mêlent au dessin et dé lent dans des animations comme des cartoons pour enfant : ces mises en scène amènent petit à petit à voir autre chose des situations que l'on semblait connaître et comprendre.

Dimensions variables
Avec le soutien de la DRAC Centre
Mémoires potentielles constitue un travail dans la continuité des Altérables. Là encore il s'agit de questionner le processus de fabrication de l'image (cadrage, altération, esthétisation, etc) dont le contexte et le sens sont mis en doute par un déplacement du regard et un recadrage de la situation.
Les photographies de presse récoltées se mêlent au dessin et dé lent dans des animations comme des cartoons pour enfant : ces mises en scène amènent petit à petit à voir autre chose des situations que l'on semblait connaître et comprendre.

19 sec
Exposition :
- Drawing Lab: cinéma d'été, Drawing Lab, Paris, France, 2018

Image : 50 x 70 cm

Dimensions variables
© Blaise Adilon, Biennale de Venise, 2015
Musée d'art contemporain de Lyon
Dans Souvenir du vide, Massinissa Selmani fait de l'actualité un polyptyque dans la plus pure tradition picturale. Un agencement de formes similaires contient des images qui ne sont pas supposées avoir à faire les unes avec les autres : le comique côtoie le tragique, l'ordinaire côtoie l'extraordinaire, l'inattendu attend. Dans un mouvement sans raison apparente, les scènes s'invitent les unes chez les autres passant d'une absence de lieu à une absence de temps pour configurer le réel tel que l'artiste le regarde : un monde tellement saturé d'images, d'évènements, qu'il en devient impossible d'en retenir l'essence. Alors il en garde un souvenir : le vide.
Abdelkader Damani, co-commissaire de la biennale Dak'Art 2014.

Dimensions variables
© Blaise Adilon, Biennale de Venise, 2015
Musée d'art contemporain de Lyon
Dans Souvenir du vide, Massinissa Selmani fait de l'actualité un polyptyque dans la plus pure tradition picturale. Un agencement de formes similaires contient des images qui ne sont pas supposées avoir à faire les unes avec les autres : le comique côtoie le tragique, l'ordinaire côtoie l'extraordinaire, l'inattendu attend. Dans un mouvement sans raison apparente, les scènes s'invitent les unes chez les autres passant d'une absence de lieu à une absence de temps pour configurer le réel tel que l'artiste le regarde : un monde tellement saturé d'images, d'évènements, qu'il en devient impossible d'en retenir l'essence. Alors il en garde un souvenir : le vide.
Abdelkader Damani, co-commissaire de la biennale Dak'Art 2014.

Dimensions variables
© Blaise Adilon, Biennale de Venise, 2015
Musée d'art contemporain de Lyon
Dans Souvenir du vide, Massinissa Selmani fait de l'actualité un polyptyque dans la plus pure tradition picturale. Un agencement de formes similaires contient des images qui ne sont pas supposées avoir à faire les unes avec les autres : le comique côtoie le tragique, l'ordinaire côtoie l'extraordinaire, l'inattendu attend. Dans un mouvement sans raison apparente, les scènes s'invitent les unes chez les autres passant d'une absence de lieu à une absence de temps pour configurer le réel tel que l'artiste le regarde : un monde tellement saturé d'images, d'évènements, qu'il en devient impossible d'en retenir l'essence. Alors il en garde un souvenir : le vide.
Abdelkader Damani, co-commissaire de la biennale Dak'Art 2014.

vidéo: 1'15'' en boucle/ enveloppe: 135 x 101 cm
Expositions :
- Drawing Lab: cinéma d'été, Drawing Lab, Paris, France, 2018
- Habiter la terre, Biennale d'art contemporain de Melle, Commissariat Dominique Truco, France, 2011

Format 4:3, 16 sec, en boucle, feuille de papier: 64 x 48 cm
© Noortje Knulst
Massinissa Selmani met en scène deux personnages qu'on suppose entrain de défiler. Le rythme lent et burlesque joué par un Laurel et Hardi contemporain est accompagné de panneaux électoraux à l'effigie d'un seul homme qui fige l'horizon. Le caractère répétitif du film et la présence d'un spectateur passif jettent une impression de vide matérialisée par le choix du dispositif : une projection sur un drapeau en papier tenu par une tige fine en métal légère et qui s'efface presque dans l'espace.
Expositions:
- Même dans la pierre il y a du sable, commissariat : Philippe Piguet, Galerie de l'Etrave, Thonon les Bains, France, avril 2017
- The pace of outsides, Akinci Gallery, Amsterdam, Pays-Bas, 2017
- L'horizon était là, Maison Salvan, Labège, France, 2016
Massinissa Selmani est né en 1980 à Alger. Il vit et travaille à Tours. Après des études en informatique en Algérie, il intègre l'École supérieure des Beaux- arts de Tours. Massinssa Selmani, dont le travail a été salué par une mention spéciale du jury à la 56ème biennale de Venise (All the World's Futures, commissariat d'Okwui Enwezor en 2015) a participé à de nombreuses expositions personnelles et collectives en France et à l'étranger. Lauréat du prix Art collector et du Prix Sam en 2016, Massinissa Selmani a également été exposé à la biennale de Sharjah en 2017, à la première triennale de Vendôme, à la Biennale de Dakar et à la biennale de Lyon (La vie Moderne, commissariat de Ralph Rugoff) en 2015.
Les oeuvres de Massinissa Selmani trouvent leur origine dans les actualités politiques et sociales, issues de coupures de presse qu'il collectionne depuis de nombreuses années. C'est par la confrontation et la juxtaposition sans cohérence logique de ces éléments réels que Massinissa créée des scènes énigmatiques et ambiguës, soulignant le caractère ironique, voire tragique des situations absurdes et étranges représentées dans ses dessins.
La forme documentaire, le processus narratif et fictionnel se placent au coeur des recherches de Massinissa Selmani, qui détourne avec subtilité, humour et délicatesse notre perception de l'image : relecture des coupures de presse, importance de l'architecture comme élément de pouvoir, absurdité des comportements et des situations humaines.
A travers une approche expérimentale du dessin et du dessin d'animation, Massinissa Selmani met en avant la dimension documentaire de sa pratique du dessin, jouant sur la frontière du réel et de l'irréel, du comique et du tragique, caractéristique de son oeuvre.