Independent Art Fair 2018

124 x 100 cm
Signé et daté en bas à droite
La série des Aubes insondables marque une évolution dans le travail de Massinissa Selmani. Ici, l’artiste s’éloigne des traits de contour pour s’intéresser à la suggestion des formes par un jeu sur l’espace et les valeurs. Si ses sources d’inspiration s’écartent de la presse écrite, ces œuvres s’inscrivent néanmoins dans la continuité de son travail de conception d’espaces énigmatiques, flottants et imaginaires. Il constitue des environnements, au style « insondé » comme le suggère le titre, sans commencement ni fin, accentuant le mystère des scènes et des architectures flottantes.
Dans L’aube insondable #2, il concentre sa recherche autour de la notion d'absence, avec notamment une mise en abîme de l'espace qui renforce le coté énigmatique et insaisissable de la scène représentée.

20,8 x 28,8 cm

57 x 77 cm
Signé et daté en bas à droite

25 x 18,3 cm
Signé et daté en bas à droite
Exposition :
- Exposition personnelle, Disegni, Artissima, Turin, Italie, 2018

25 x 18,3 cm
Signé et daté en bas à droite

18,3 x 25 cm
signé et daté en bas à gauche
Exposition :
- Exposition personnelle, Disegni, Artissima, Turin, Italie, 2018

18,3 x 25 cm
Signé et daté en bas à gauche

Photocopie, graphite sur papier calque
9 x 14,5 cm
Altérables est un projet initié en 2010 qui vise à reconstituer une série d'images à partir d'un même processus : des visuels récupérés dans la presse écrite sont photocopiés puis modifiés par l'intermédiaire d'une ou plusieurs couches de papier calque transparent. Sur chaque strate, un dessin vient dupliquer, déplacer ou ajouter un élément, un contour, un objet présent dans la photographie originale. L'image, ainsi redessinée et réinterprétée, est ensuite scannée. La situation, remise dans un autre contexte et ayant subi les altérations dues aux différentes étapes de transformation, prend alors un sens totalement différent.
Exposition:
- Ce qui coule n'a pas de fin, Palais de Tokyo, commissariat Yoann Gourmel, du 16 février au 13 mai 2018, Paris, France

30 x 35,5 cm

42 x 59,4 cm
signé au dos en bas à droite
Dans cette série, Valérie Mréjen a agrandi des détails de cartes postales issues des Archives de la ville de Vienne. À partir de ces vues avec un ou plusieurs personnages, elle propose de courts récits de fiction qui s'inspirent des images en repensant leurs contextes, tantôt amusants, sensibles ou désenchantés. Créant un lien entre image et récit, Valérie Mréjen redonne vie à ces cartes postales, rappelant leur fonction première, celle de support d'échanges épistolaires.

14,8 x 10,5 cm
La série LISTE ROSE a été réalisée en 1997 à partir de noms découpés dans un annuaire. Ces derniers forment des phrases, assemblées afin de créer des annonces dont le caractère licencieux fait écho au titre de la série. Ces collages, réalisés au début de la carrière de l’artiste, sont déjà révélateurs d’une démarche mettant en scène l’écriture, ici de manière humoristique en donnant un nouveau sens à des noms de famille.

Résine polyuréthane, mousse P.U, Peinture acrylique
140 x 91,6 x 9 cm
Ces moulages en résine résultent du lent écoulement de l'eau à travers un lit de silice, présentant l'image figée d'un continuum liquide. Les formes subtiles tout autant que les lignes tracées semblent être l'émanation d'une intelligence de l'eau, un réseau profond de neurones, une sculpture auto-générée et répondant à sa propre logique. Prenant également l'attrait de la miniature et de la maquette, l'oeuvre poursuit une recherche initiée dans des oeuvres plus anciennes comme par exemple États Inversés ou Inframince Mont-Blanc.
Expositions:
- Vestiges d'une pensée tactile, Le Radar, Espace d'art actuel, Bayeux, France, 2019
- Le discret et le continu, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018

Image : 80 x 63,9 cm
N38W084 met en évidence des motifs à partir de relevés topographiques, ici ceux d'un vaste territoire américain. Dans la continuité de la série Mille Mississipi, le traitement des données chiffrées obtenues et le travail de la couleur révèlent une multitude de réseaux hydrographiques de ruisseaux, fleuves et rivières, métaphores ou prétextes à rêver face à des figures qui deviennent des arborescences, des connexions neurologiques, des formes végétales ou encore électriques...

11,9 x 14,1 x 4,6 cm
Kintsugi est une reconstruction, ou plutôt la reconstitution, d'une statue en partie détruite par la bombe atomique larguée sur Nagasaki le 9 août 1945. Le visage tronqué de l'Ange de Nagasaki est ici reconstitué par l'artiste qui en présente la moitié disparue. Matérialisée dans un bloc de marbre blanc, cette partie manquante répare en puissance la figure de l'Ange; alter ego spectral et céleste de la figure humaine.

Image : 60 x 71,5 cm
L'Ange de Nagasaki est la représentation d'une statue mutilée par la bombe atomique larguée sur Nagasaki le 9 août 1945. Faisant autrefois partie intégrante de la cathédrale d'Urakami, ce visage angélique fut offert comme symbole de paix à l'UNESCO en 1976 par le gouvernement japonais. Il fut dès lors placé dans les jardins de l'institution à Paris. La statue originale est donc tout à la fois document et monument en ce qu'elle fut le témoin direct du cataclysme atomique et dans le fait que les stigmates liés à cet évènement lui confèrent une forte portée symbolique. Un monument donc qui se souvient de lui-même.

Pierre reconstituée, roche
10 x 15 x 13 cm
Avec cette série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.

Pierre reconstituée, résine polyuréthane
9 x 19,5 x 11 cm
Avec cette série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.

Pierre reconstituée
14 x 12 x 11 cm
Avec cette série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.

35 x 40 cm
Expositions:
- This is not a love song, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
- Life A User's Manual, Art Encounters, Biennale d'art contemporain ,Timisoara, Roumanie, 2017

95 x 145 cm






