Julien Discrit
10'18"
Produit avec le soutien de la Fondation des artistes
Images & Montage : Christophe Acker
Lien vers la vidéo :
https://vimeo.com/874078574/6d789c3ba9?share=copy
56,8 x 56,8 x 1 cm
Reminiscence Disk (2058) s'inscrit dans une série d'oeuvres intitulée Edited Memories, dans la continuité des recherches de l'artiste autour de la mémoire. Le projet conçu comme un ensemble, s'intéresse en particulier à la thérapie de la réminiscence, terme utilisé pour définir un dispositif destiné aux personnes souffrant de troubles de la mémoire. Celui-ci se définit par l'utilisation d'objets, de "prompts" en anglais, ou même d'environnements pouvant stimuler les souvenirs encore présents. Cette série de disques de couleurs aux étranges motifs reprennent les caractéristiques d'un matériel thérapeutique destiné à la stimulation cérébrale. Ces disques sont comme les enregistrements de souvenirs disparus, réactivés par le contact avec les formes gravées à la surface.
56,8 x 56,8 x 1 cm
Reminiscence Disk (2058) s'inscrit dans une série d'oeuvres intitulée Edited Memories, dans la continuité des recherches de l'artiste autour de la mémoire. Le projet conçu comme un ensemble, s'intéresse en particulier à la thérapie de la réminiscence, terme utilisé pour définir un dispositif destiné aux personnes souffrant de troubles de la mémoire. Celui-ci se définit par l'utilisation d'objets, de "prompts" en anglais, ou même d'environnements pouvant stimuler les souvenirs encore présents. Cette série de disques de couleurs aux étranges motifs reprennent les caractéristiques d'un matériel thérapeutique destiné à la stimulation cérébrale. Ces disques sont comme les enregistrements de souvenirs disparus, réactivés par le contact avec les formes gravées à la surface.
56,8 x 56,8 x 1 cm
Reminiscence Disk (2058) s'inscrit dans une série d'oeuvres intitulée Edited Memories, dans la continuité des recherches de l'artiste autour de la mémoire. Le projet conçu comme un ensemble, s'intéresse en particulier à la thérapie de la réminiscence, terme utilisé pour définir un dispositif destiné aux personnes souffrant de troubles de la mémoire. Celui-ci se définit par l'utilisation d'objets, de "prompts" en anglais, ou même d'environnements pouvant stimuler les souvenirs encore présents. Cette série de disques de couleurs aux étranges motifs reprennent les caractéristiques d'un matériel thérapeutique destiné à la stimulation cérébrale. Ces disques sont comme les enregistrements de souvenirs disparus, réactivés par le contact avec les formes gravées à la surface.
Image : 40 x 50 cm
Forever Reverb (1958) s'inscrit dans une série d'œuvres intitulée Edited Memories, dans la continuité́ des recherches de l'artiste autour de la mémoire. Le projet conçu comme un ensemble, s'intéresse en particulier à la thérapie de la réminiscence, terme utilisé pour définir un dispositif destiné aux personnes souffrant de troubles de la mémoire. Celui-ci se définit par l'utilisation d'objets, de "prompts" en anglais, ou même d'environnements pouvant stimuler les souvenirs encore présents. Les photographies ont été prises sur les lieux du tournage d'un film qui dépeint la vie au sein d'un Memory Care Center constitué d'un gigantesque décor mimant les années 50 (l'année de référence est 1958), où évoluent des personnes atteintes pour la plupart de la maladie d'Alzheimer.
Image : 40 x 50 cm
Forever Reverb (1958) s'inscrit dans une série d'œuvres intitulée Edited Memories, dans la continuité́ des recherches de l'artiste autour de la mémoire. Le projet conçu comme un ensemble, s'intéresse en particulier à la thérapie de la réminiscence, terme utilisé pour définir un dispositif destiné aux personnes souffrant de troubles de la mémoire. Celui-ci se définit par l'utilisation d'objets, de prompts en anglais, ou même d'environnements pouvant stimuler les souvenirs encore présents. Les photographies ont été prises sur les lieux du tournage d'un film qui dépeint la vie au sein d'un Memory Care Center constitué d'un gigantesque décor mimant les années 50 (l'année de référence est 1958), où évoluent des personnes atteintes pour la plupart de la maladie d'Alzheimer.
Image : 40 x 50 cm
Forever Reverb (1958) s'inscrit dans une série d'œuvres intitulée Edited Memories, dans la continuité́ des recherches de l'artiste autour de la mémoire. Le projet conçu comme un ensemble, s'intéresse en particulier à la thérapie de la réminiscence, terme utilisé pour définir un dispositif destiné aux personnes souffrant de troubles de la mémoire. Celui-ci se définit par l'utilisation d'objets, de prompts en anglais, ou même d'environnements pouvant stimuler les souvenirs encore présents. Les photographies ont été prises sur les lieux du tournage d'un film qui dépeint la vie au sein d'un Memory Care Center constitué d'un gigantesque décor mimant les années 50 (l'année de référence est 1958), où évoluent des personnes atteintes pour la plupart de la maladie d'Alzheimer.
Image : 40 x 50 cm
Forever Reverb (1958) s'inscrit dans une série d'œuvres intitulée Edited Memories, dans la continuité́ des recherches de l'artiste autour de la mémoire. Le projet conçu comme un ensemble, s'intéresse en particulier à la thérapie de la réminiscence, terme utilisé pour définir un dispositif destiné aux personnes souffrant de troubles de la mémoire. Celui-ci se définit par l'utilisation d'objets, de prompts en anglais, ou même d'environnements pouvant stimuler les souvenirs encore présents. Les photographies ont été prises sur les lieux du tournage d'un film qui dépeint la vie au sein d'un Memory Care Center constitué d'un gigantesque décor mimant les années 50 (l'année de référence est 1958), où évoluent des personnes atteintes pour la plupart de la maladie d'Alzheimer.
Image : 40 x 50 cm
Forever Reverb (1958) s'inscrit dans une série d'œuvres intitulée Edited Memories, dans la continuité́ des recherches de l'artiste autour de la mémoire. Le projet conçu comme un ensemble, s'intéresse en particulier à la thérapie de la réminiscence, terme utilisé pour définir un dispositif destiné aux personnes souffrant de troubles de la mémoire. Celui-ci se définit par l'utilisation d'objets, de prompts en anglais, ou même d'environnements pouvant stimuler les souvenirs encore présents. Les photographies ont été prises sur les lieux du tournage d'un film qui dépeint la vie au sein d'un Memory Care Center constitué d'un gigantesque décor mimant les années 50 (l'année de référence est 1958), où évoluent des personnes atteintes pour la plupart de la maladie d'Alzheimer.
Image : 40 x 50 cm
Forever Reverb (1958) s'inscrit dans une série d'oeuvres intitulée Edited Memories, dans la continuité des recherches de l'artiste autour de la mémoire. Le projet conçu comme un ensemble, s'intéresse en particulier à la thérapie de la réminiscence, terme utilisé pour définir un dispositif destiné aux personnes souffrant de troubles de la mémoire. Celui-ci se définit par l'utilisation d'objets, de prompts en anglais, ou même d'environnements pouvant stimuler les souvenirs encore présents. Les photographies ont été prises sur les lieux du tournage d'un film qui dépeint la vie au sein d'un Memory Care Center constitué d'un gigantesque décor mimant les années 50 (l'année de référence est 1958), où évoluent des personnes atteintes pour la plupart de la maladie d'Alzheimer.
50 x 40 cm
Titré, daté, signé au dos
La série Aftertouch s'inscrit dans la continuité du travail de Julien Discrit sur les formes auto-générées. L'artiste utilise un processus d’empreinte qui lui permet d'obtenir ces formes aléatoires. Ces arborescences, ou "dendrites", rappellent des formes discernables dans de nombreux phénomènes physiques et naturels tels que les réseaux neuronaux, sanguins, végétaux ou encore géographiques comme dans l'érosion et les réseaux hydrographiques. Ces motifs étaient déjà présents dans d'autres séries de l'artiste telles que les États inversés et les Mille Mississippi. Le titre Aftertouch évoque à la fois littéralement le procédé utilisé, puisque les formes sont auto-générées après contact. Mais il fait également référence au son, "l'aftertouch" étant un effet qui joue sur la sensibilité d'expression de la touche d'un clavier électronique pour créer une variation de note.
50 x 40 cm
Titré, daté, signé au dos
La série Aftertouch s'inscrit dans la continuité du travail de Julien Discrit sur les formes auto-générées. L'artiste utilise un processus d'empreinte qui lui permet d'obtenir ces formes aléatoires. Ces arborescences, ou "dendrites", rappellent des formes discernables dans de nombreux phénomènes physiques et naturels tels que les réseaux neuronaux, sanguins, végétaux ou encore géographiques comme dans l'érosion et les réseaux hydrographiques. Ces motifs étaient déjà présents dans d'autres séries de l'artiste telles que les États inversés et les Mille Mississippi. Le titre Aftertouch évoque à la fois littéralement le procédé utilisé, puisque les formes sont auto-générées après contact. Mais il fait également référence au son, "l'aftertouch" étant un effet qui joue sur la sensibilité d'expression de la touche d'un clavier électronique pour créer une variation de note.
50 x 40 cm
Titré, daté, signé au dos
La série Aftertouch s'inscrit dans la continuité du travail de Julien Discrit sur les formes auto-générées. L'artiste utilise un processus d'empreinte qui lui permet d'obtenir ces formes aléatoires. Ces arborescences, ou "dendrites", rappellent des formes discernables dans de nombreux phénomènes physiques et naturels tels que les réseaux neuronaux, sanguins, végétaux ou encore géographiques comme dans l'érosion et les réseaux hydrographiques. Ces motifs étaient déjà présents dans d'autres séries de l'artiste telles que les États inversés et les Mille Mississippi. Le titre Aftertouch évoque à la fois littéralement le procédé utilisé, puisque les formes sont auto-générées après contact. Mais il fait également référence au son, "l'aftertouch" étant un effet qui joue sur la sensibilité d'expression de la touche d'un clavier électronique pour créer une variation de note.
50 x 40 cm
Titré, daté, signé au dos
La série Aftertouch s'inscrit dans la continuité du travail de Julien Discrit sur les formes auto-générées. L'artiste utilise un processus d'empreinte qui lui permet d'obtenir ces formes aléatoires. Ces arborescences, ou "dendrites", rappellent des formes discernables dans de nombreux phénomènes physiques et naturels tels que les réseaux neuronaux, sanguins, végétaux ou encore géographiques comme dans l'érosion et les réseaux hydrographiques. Ces motifs étaient déjà présents dans d'autres séries de l'artiste telles que les États inversés et les Mille Mississippi. Le titre Aftertouch évoque à la fois littéralement le procédé utilisé, puisque les formes sont auto-générées après contact. Mais il fait également référence au son, "l'aftertouch" étant un effet qui joue sur la sensibilité d'expression de la touche d'un clavier électronique pour créer une variation de note.
110 x 80 cm
Signé, titré, daté au dos
La série Aftertouch s'inscrit dans la continuité du travail de Julien Discrit sur les formes auto-générées. L'artiste utilise un processus d'empreinte qui lui permet d'obtenir ces formes aléatoires. Ces arborescences, ou "dendrites", rappellent des formes discernables dans de nombreux phénomènes physiques et naturels tels que les réseaux neuronaux, sanguins, végétaux ou encore géographiques comme dans l'érosion et les réseaux hydrographiques. Ces motifs étaient déjà présents dans d'autres séries de l'artiste telles que les États inversés et les Mille Mississippi. Le titre Aftertouch évoque à la fois littéralement le procédé utilisé, puisque les formes sont auto-générées après contact. Mais il fait également référence au son, "l'aftertouch" étant un effet qui joue sur la sensibilité d'expression de la touche d'un clavier électronique pour créer une variation de note.
120 x 100 cm
Signé, titré, daté au dos
La série Aftertouch s'inscrit dans la continuité du travail de Julien Discrit sur les formes auto-générées. L'artiste utilise un processus d'empreinte qui lui permet d'obtenir ces formes aléatoires. Ces arborescences, ou "dendrites", rappellent des formes discernables dans de nombreux phénomènes physiques et naturels tels que les réseaux neuronaux, sanguins, végétaux ou encore géographiques comme dans l'érosion et les réseaux hydrographiques. Ces motifs étaient déjà présents dans d'autres séries de l'artiste telles que les États inversés et les Mille Mississippi. Le titre Aftertouch évoque à la fois littéralement le procédé utilisé, puisque les formes sont auto-générées après contact. Mais il fait également référence au son, "l'aftertouch" étant un effet qui joue sur la sensibilité d'expression de la touche d'un clavier électronique pour créer une variation de note.
105 x 80 cm
Titré, signé, daté au dos
La série Aftertouch s'inscrit dans la continuité du travail de Julien Discrit sur les formes auto-générées. L'artiste utilise un processus d'empreinte qui lui permet d'obtenir ces formes aléatoires. Ces arborescences, ou "dendrites", rappellent des formes discernables dans de nombreux phénomènes physiques et naturels tels que les réseaux neuronaux, sanguins, végétaux ou encore géographiques comme dans l'érosion et les réseaux hydrographiques. Ces motifs étaient déjà présents dans d'autres séries de l'artiste telles que les États inversés et les Mille Mississippi. Le titre Aftertouch évoque à la fois littéralement le procédé utilisé, puisque les formes sont auto-générées après contact. Mais il fait également référence au son, "l'aftertouch" étant un effet qui joue sur la sensibilité d'expression de la touche d'un clavier électronique pour créer une variation de note.
Pierre reconstituée
18,5 x 14,5 x 13 cm
La série de sculptures regroupées sous l'appellation « Re-member » est, pour Julien Discrit l'occasion de poursuivre ses recherches sur le minéral, dans son rapport au temps et au corps. Ces sculptures montrent le plus souvent des mains tenant des roches, fossiles ou cristallisées, et viennent fixer un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore - mais aussi des pratiques artistiques et historiques.
Par ce geste anachronique, l'artiste reproduit à l'identique un processus de fossilisation que l'on pourrait qualifier de « naturel », consistant à déposer une empreinte dans un matériau qui la reçoit, autrement dit un moulage. Pour autant, les formes obtenues prennent ici l'aspect d'une possible métamorphose, d'une image arrêtée au sein d'un continuum où la matière se transforme et se recombine constamment.
Pierre reconstituée
15 x 17 x 11 cm
La série de sculptures regroupées sous l'appellation « Re-member » est, pour Julien Discrit l'occasion de poursuivre ses recherches sur le minéral, dans son rapport au temps et au corps. Ces sculptures montrent le plus souvent des mains tenant des roches, fossiles ou cristallisées, et viennent fixer un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore - mais aussi des pratiques artistiques et historiques.
Par ce geste anachronique, l'artiste reproduit à l'identique un processus de fossilisation que l'on pourrait qualifier de « naturel », consistant à déposer une empreinte dans un matériau qui la reçoit, autrement dit un moulage. Pour autant, les formes obtenues prennent ici l'aspect d'une possible métamorphose, d'une image arrêtée au sein d'un continuum où la matière se transforme et se recombine constamment.
Pierre reconstituée
15 x 17 x 11 cm
La série de sculptures regroupées sous l'appellation « Re-member » est, pour Julien Discrit l'occasion de poursuivre ses recherches sur le minéral, dans son rapport au temps et au corps. Ces sculptures montrent le plus souvent des mains tenant des roches, fossiles ou cristallisées, et viennent fixer un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore - mais aussi des pratiques artistiques et historiques.
Par ce geste anachronique, l'artiste reproduit à l'identique un processus de fossilisation que l'on pourrait qualifier de « naturel », consistant à déposer une empreinte dans un matériau qui la reçoit, autrement dit un moulage. Pour autant, les formes obtenues prennent ici l'aspect d'une possible métamorphose, d'une image arrêtée au sein d'un continuum où la matière se transforme et se recombine constamment.
Pierre reconstituée
16 x 17 x 13 cm
La série de sculptures regroupées sous l'appellation « Re-member » est, pour Julien Discrit l'occasion de poursuivre ses recherches sur le minéral, dans son rapport au temps et au corps. Ces sculptures montrent le plus souvent des mains tenant des roches, fossiles ou cristallisées, et viennent fixer un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore - mais aussi des pratiques artistiques et historiques.
Par ce geste anachronique, l'artiste reproduit à l'identique un processus de fossilisation que l'on pourrait qualifier de « naturel », consistant à déposer une empreinte dans un matériau qui la reçoit, autrement dit un moulage. Pour autant, les formes obtenues prennent ici l'aspect d'une possible métamorphose, d'une image arrêtée au sein d'un continuum où la matière se transforme et se recombine constamment.
44 x 118,5 cm
Cette oeuvre s'inscrit dans la continuité de la série des Pensées ou des Chants d'oiseaux ; des autogénérées, faites de traces et de cheminements rendent l'intervention artistique dépendante de facteurs aléatoires. Réalisée à partir du frottage d'une planche de parquet à la mine de plomb, elle vient sublimer les nervures du bois et les galeries creusées par les insectes, composant autant de motifs évoquant un dessin ou bien une forme d'écriture mystérieuse.
147 x 110 cm
Cette oeuvre s'inscrit dans la continuité de la série des Pensées ou des Chants d'oiseaux ; des formes autogénérées, faites de traces et de cheminements rendent l'intervention artistique dépendante de facteurs aléatoires. Réalisée à partir du frottage de planches de parquet à la mine de plomb, elle vient sublimer les nervures du bois et les galeries creusées par les insectes, composant autant de motifs évoquant un dessin ou bien une forme d'écriture mystérieuse.
21 x 13 cm
Chaque pièce de la série Diagrammes propose le récit d'un rêve, sélectionné parmi ceux de l'artiste, et matérialisé sur une page de carnet. Un léger enfoncement, obtenu grâce à une machine à écrire dénuée de ruban encreur, vient créer les lettres et les mots de ces scénarios invisibles.
Texte :
Dans un pays d'Amérique du sud se trouve un site naturel exceptionnel. Au milieu de montagnes recouvertes par la jungle se dresse une gigantesque falaise. Cet éperon rocheux domine une large vallée.
Il est formé par une grande arche dont la partie supérieure est parfaitement plane. A l'extrémité de celle-ci se trouve un énorme bloc de roche en forme de triangle, en équilibre au-dessus du vide. Il semble prêt à se détacher à tout instant. L'arche forme comme deux immenses doigts de pierre, l'empêchant de basculer.
J'apprends alors que les habitants de ces montagnes l'appellent : « La table de Dieu »
résine acrylique, gomme laque, chaines
246 x 20 x 14 cm
Pour l'exposition anniversaire de la galerie, Julien Discrit a réalisé une oeuvre qui s'inscrit dans la continuité de son travail sur les mains et la géologie, notamment sa série Pierres. Intitulée Re-member, cette nouvelle série se situe moins dans un jeu sur la roche que sur les thématiques de l'empreinte et du contact. L'origine du mot Re-member provient du vieux français « re-membrer », liaison sémantique entre le souvenir et les parties du corps. Dans cette sculpture, les deux mains tentent de se toucher autour de cette ammonite, sans pour autant y parvenir. Induisant longévité et fidélité, ce fossile créé de toute pièce symbolise l'histoire de l'artiste avec la galerie.
résine acrylique, gomme laque, chaines
246 x 20 x 14 cm
Pour l'exposition anniversaire de la galerie, Julien Discrit a réalisé une oeuvre qui s'inscrit dans la continuité de son travail sur les mains et la géologie, notamment sa série Pierres. Intitulée Re-member, cette nouvelle série se situe moins dans un jeu sur la roche que sur les thématiques de l'empreinte et du contact. L'origine du mot Re-member provient du vieux français « re-membrer », liaison sémantique entre le souvenir et les parties du corps. Dans cette sculpture, les deux mains tentent de se toucher autour de cette ammonite, sans pour autant y parvenir. Induisant longévité et fidélité, ce fossile créé de toute pièce symbolise l'histoire de l'artiste avec la galerie.
161 x 230 x 105 cm
Sophie Robichon
L'ange de Nagasaki est une reconstitution d'une statue en partie détruite par la bombe atomique larguée le 9 août 1945. La moitié disparue du visage tronqué de l'Ange de Nagasaki est présenté par l'artiste. Matérialisée dans une sculpture monumentale, cette partie manquante répare en puissance la figure de l'Ange; alter ego spectral et céleste de la figure humaine. Le jeu d'échelle vient donner à cette reconstitution la force du monument, renforçant sa dimension symbolique.
Cette oeuvre a été réalisée dans le cadre et avec le soutien du projet 1% marché de l'art.
161 x 230 x 105 cm
Sophie Robichon
Installation L'oubli des formes, l'empreinte demeure, 1% du marché de l'art Photo © Sophie Robichon
L'ange de Nagasaki est une reconstitution d'une statue en partie détruite par la bombe atomique larguée le 9 août 1945. La moitié disparue du visage tronqué de l'Ange de Nagasaki est présenté par l'artiste. Matérialisée dans une sculpture monumentale, cette partie manquante répare en puissance la figure de l'Ange; alter ego spectral et céleste de la figure humaine. Le jeu d'échelle vient donner à cette reconstitution la force du monument, renforçant sa dimension symbolique.
Cette oeuvre a été réalisée dans le cadre et avec le soutien du projet 1% marché de l'art.
39,5 x 60 x 40 cm
Les sculptures Mitate ont été produites dans le cadre de l'installation L'oubli des formes, l'empreinte demeure. Cette installation s'inspire directement de l'art du jardin japonais, et plus précisément, des jardins dits « secs ». À l'instar de ceux que l'on peut trouver au Japon, Julien Discrit reprend ce principe de pierres levées émergeant d'un plan observable depuis un point légèrement surélevé, propre à la méditation zen.
Si le projet ne prétend pas recréer fidèlement un temple japonais, les monolithes colorés sont en revanche les reproductions de roches composant le Komyo-in, temple bouddhiste situé à Kyoto. L'artiste a en effet réalisé des scans 3D de ces pierres qui, par un travail d'usinage et de moulage en résine, ont pu trouver ici une sorte d'itération. Si les formes ont été déplacées du Japon à Paris, l'aspect graphique de ces pierres devenues sculptures est le résultat d'une recherche sur le flux, le fluide et les marbrures.
216, 3 x 19 x 10,5 cm
Dans la continuité de ses oeuvres autour des notions d'empreinte et de frontière, Julien Discrit explore la ligne dans sa dimension historique et temporelle. L'artiste a réalisé un moulage à partir de l'une des rares empreintes géologiques visibles de la limite entre la fin du Crétacé et le début de l'ère tertiaire remontant à 66 millions d'années - changement d'ère marquant notamment la disparition des dinosaures. Cette limite est visible sur le terrain par la présence d'une fine couche d'argile connue sous le nom de limite K-T, identifiée au Pays basque, à Zumaia. Julien Discrit interroge ici la fragilité de la vie humaine et animale, l'irréversibilité de la destruction et la question de l'évolution.
Résine polyuréthane, mousse P.U, Peinture acrylique
141 x 91,8 x 4 cm
Ces moulages en résine résultent du lent écoulement de l'eau à travers un lit de silice, présentant l'image figée d'un continuum liquide. Les formes subtiles tout autant que les lignes tracées semblent être l'émanation d'une intelligence de l'eau, un réseau profond de neurones, une sculpture auto-générée et répondant à sa propre logique. Prenant également l'attrait de la miniature et de la maquette, l'oeuvre poursuit une recherche initiée dans des oeuvres plus anciennes comme par exemple États Inversés ou Inframince Mont-Blanc.
Résine polyuréthane, mousse P.U, Peinture acrylique
145 x 91,2 x 9 cm
Ces moulages en résine résultent du lent écoulement de l'eau à travers un lit de silice, présentant l'image figée d'un continuum liquide. Les formes subtiles tout autant que les lignes tracées semblent être l'émanation d'une intelligence de l'eau, un réseau profond de neurones, une sculpture auto-générée et répondant à sa propre logique. Prenant également l'attrait de la miniature et de la maquette, l'oeuvre poursuit une recherche initiée dans des oeuvres plus anciennes comme par exemple États Inversés ou Inframince Mont-Blanc.
Résine polyuréthane, mousse P.U, Peinture acrylique
147 x 91,6 x 9 cm
Ces moulages en résine résultent du lent écoulement de l'eau à travers un lit de silice, présentant l'image figée d'un continuum liquide. Les formes subtiles tout autant que les lignes tracées semblent être l'émanation d'une intelligence de l'eau, un réseau profond de neurones, une sculpture auto-générée et répondant à sa propre logique. Prenant également l'attrait de la miniature et de la maquette, l'oeuvre poursuit une recherche initiée dans des oeuvres plus anciennes comme par exemple États Inversés ou Inframince Mont-Blanc.
Image : 60 x 71,5 cm
L'Ange de Nagasaki est la représentation d'une statue mutilée par la bombe atomique larguée sur Nagasaki le 9 août 1945. Faisant autrefois partie intégrante de la cathédrale d'Urakami, ce visage angélique fut offert comme symbole de paix à l'UNESCO en 1976 par le gouvernement japonais. Il fut dès lors placé dans les jardins de l'institution à Paris. La statue originale est donc tout à la fois document et monument en ce qu'elle fut le témoin direct du cataclysme atomique et dans le fait que les stigmates liés à cet évènement lui confèrent une forte portée symbolique. Un monument donc qui se souvient de lui-même.
11,9 x 14,1 x 4,6 cm
Kintsugi est une reconstruction, ou plutôt la reconstitution, d'une statue en partie détruite par la bombe atomique larguée sur Nagasaki le 9 août 1945. Le visage tronqué de l'Ange de Nagasaki est ici reconstitué par l'artiste qui en présente la moitié disparue. Matérialisée dans un bloc de marbre blanc, cette partie manquante répare en puissance la figure de l'Ange; alter ego spectral et céleste de la figure humaine.
pierre reconstituée
12 x 10 cm x 13 cm
©Augustin Dupuid
Avec cette série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.
Pierre reconstituée
13 x 13,5 x 10,5 cm
Daté et signé en dessous de l'oeuvre
Avec cette nouvelle série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.
Exposition:
- Le discret et le continu, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Pierre reconstituée
14 x 12 x 11 cm
Avec cette série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.
résine P.U, colorants
10 x 16 x 4 cm environ
©Augustin Dupuid
Avec cette série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.
Pierre reconstituée, roche
10 x 15 x 13 cm
Avec cette série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.
pierre reconstituée, roche
17 x 14 cm x 5 cm
©Augustin Dupuid
Avec cette série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail : l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.
Pierre reconstituée, résine polyuréthane
9 x 19,5 x 11 cm
Avec cette série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.
113 x 94,6 x 9,5 cm
Cette œuvre est le moulage d'un miroir, de son cadre comme de sa surface réfléchissante. En appréhendant cet objet dans sa globalité, elle en devient une tentative d'empreinte d'un reflet. Témoin de l'incapacité de retranscrire ce phénomène, l'œuvre met en avant l'essence de cet objet par l'inexistant, le vide, l'impossible.
Image : 6,67 x 10 cm
Mu fait écho à l'ange déchu de Nagasaki, en ce qu'elle montre la forme désertée d'un animal déjà envolé: non pas un fantôme, juste une enveloppe. C'est une mue de cigale en vue macroscopique qui révèle son caractère inanimé par la transparence de son ancien habitacle, comme un corps fané, à l'image d'une continuité qui se dissout ou se recompose.
Image : 177,5 x 119 cm
Encadrement : 188,5 x 130 cm
La série États-inversés a été initiée en 2010 par Julien Discrit. À partir d'un découpage de la géographie étasunienne, l'artiste réinterprète le processus d'estompage en cartographie qui consiste à mettre en évidence les variations de terrains en reproduisant un ensoleillement fictif des pentes, produisant ainsi une impression de relief en deux dimensions. En inversant le spectre conventionnellement utilisé et en passant ces cartes en noir et blanc, Julien Discrit créé une nouvelle manière d'appréhender les reliefs et renverse la lecture du territoire américain, créant de nouveaux motifs à partir d'un mode de représentation préexistant.
Dans un premier temps, il réalise un atlas complet du relief américain en deux volumes. Dans un second temps, en 2016, il décide de réaliser des tirages de certaines villes du livre en les reproduisant en grand format. Ce faisant, il ajoute une nouvelle dimension au travail en intégrant l'idée d'échelle qui vient bouleverser notre représentation des espaces et interroge nos manières de rendre intelligible le monde qui nous entoure.
Image : 177,5 x 119 cm
Encadrement : 188,5 x 130 cm
La série États-inversés a été initiée en 2010 par Julien Discrit. À partir d'un découpage de la géographie étasunienne, l'artiste réinterprète le processus de d'estompage en cartographie, qui consiste à mettre en évidence les variations de terrains en reproduisant un ensoleillement fictif des pentes et ainsi de produire une impression de relief en deux dimensions. En inversant le spectre conventionnellement utilisé, et en passant ces cartes en noir et blanc, Julien Discrit créé une nouvelle manière d'appréhender les reliefs et renverse la lecture du territoire américain, créant de nouveaux motifs à partir d'un mode de représentation préexistant.
Dans un premier temps, il réalise un atlas complet du relief américain en deux volumes. Dans un second temps, en 2016, il décide de réaliser des tirages de certaines villes du livre en les reproduisant en grand format. Ce faisant, il ajoute une nouvelle dimension au travail en intégrant l'idée d'échelle qui vient bouleverser notre représentation des espaces et interroge nos manières de rendre intelligible le monde qui nous entoure.
Image : 177,5 x 119 cm
Encadrement : 188,5 x 130 cm
La série États-inversés a été initiée en 2010 par Julien Discrit. À partir d'un découpage de la géographie étasunienne, l'artiste réinterprète le processus de d'estompage en cartographie, qui consiste à mettre en évidence les variations de terrains en reproduisant un ensoleillement fictif des pentes et ainsi de produire une impression de relief en deux dimensions. En inversant le spectre conventionnellement utilisé, et en passant ces cartes en noir et blanc, Julien Discrit créé une nouvelle manière d'appréhender les reliefs et renverse la lecture du territoire américain, créant de nouveaux motifs à partir d'un mode de représentation préexistant.
Dans un premier temps, il réalise un atlas complet du relief américain en deux volumes. Dans un second temps, en 2016, il décide de réaliser des tirages de certaines villes du livre en les reproduisant en grand format. Ce faisant, il ajoute une nouvelle dimension au travail en intégrant l'idée d'échelle qui vient bouleverser notre représentation des espaces et interroge nos manières de rendre intelligible le monde qui nous entoure.
Image : 177,5 x 119 cm
Encadrement : 188,5 x 130 cm
Julien Discrit a initié la série États-inversés en 2010. À partir d'un découpage de la géographie étasunienne, il réinterprète le processus d'estompage en cartographie, qui consiste à mettre en évidence les variations de terrains en reproduisant un ensoleillement fictif des pentes et ainsi de produire une impression de relief en deux dimensions. En inversant le spectre conventionnellement utilisé et en passant ces cartes en noir et blanc, Julien Discrit créé une nouvelle manière d'appréhender les reliefs et renverse la lecture du territoire américain, créant de nouveaux motifs à partir d'un mode de représentation préexistant.
Image : 80 x 63,9 cm
N38W084 met en évidence des motifs à partir de relevés topographiques, ici ceux d'un vaste territoire américain. Dans la continuité de la série Mille Mississipi, le traitement des données chiffrées obtenues et le travail de la couleur révèlent une multitude de réseaux hydrographiques de ruisseaux, fleuves et rivières, métaphores ou prétextes à rêver face à des figures qui deviennent des arborescences, des connexions neurologiques, des formes végétales ou encore électriques...
Image : 150 x 150 cm
Cette œuvre prend comme point de départ des données d'élévation, c'est-à-dire des relevés de terrains, des relevés topographiques... L'image est traitée par des variations de couleurs assez fines, en fonction de l'altitude (les couleurs varient tous les 30 cm d'élévation). Cette image montre une zone du grand Canyon dont la particularité est la grande variété des couches de roches et des reliefs. L'image ainsi obtenue créée une sorte de palimpseste de volutes de tous les reliefs du Grand Canyon sur quelques milliers d'années.
10'47''
67/76 prend comme sujet et décor l'ancien site de l'exposition universelle de 1967, qui eut lieu à Montréal, au Canada. L'Expo 67, sous-titrée « Terre des Hommes », s'étendait sur deux îles spécialement construites pour l'occasion, situées au milieu du fleuve Saint-Laurent.
Au travers d'une déambulation dans ce qui est devenu aujourd'hui un parc public, le film présente donc les vestiges de cette manifestation dont le dôme dessiné par Buckminster Fuller demeure certainement le legs le plus emblématique.
Dans un texte intitulé Manuel d'instruction pour le vaisseau-spatial Terre, paru en 1968, Buckminster Fuller décrit une série d'enjeux et de défis à venir pour l'humanité; qu'ils soient sociaux, politiques ou environnementaux. Des fragments de ce texte, dont Julien Discrit a réalisé un montage, rythment le film au son d'une voix-off hypnotique et trouvent un écho particulier dans les défis soulevés par notre époque actuelle. Le film met ainsi en perspective deux époques, en faisant se confronter un futur imaginé à la fin des années 60 et ce qui constitue aujourd'hui notre présent. Les espoirs et les utopies nées à la fin des années 60, dont l'Expo 67 a constitué une remarquable expression, trouvent leur fin brutale dans l'incendie qui ravagea le dôme en mai 1976, visible à la fin du film. Le parc lui semble aujourd'hui à l'abandon, noyé sous une végétation nouvelle, et le grand fleuve toujours s'écoule le long de ses berges.
Oeuvre produite avec le soutien de la FNAGP
Avec le soutien à une recherche/production artistique du CNAP
Ce projet bénéficie du soutien de Lafayette Anticipations - Fonds de dotation Famille Moulin, Paris
Collection de l'Institut d'Art Contemporain, Rhône-Alpes.
Lien vidéo : https://vimeo.com/335091618
Mot de passe: Expo67
10'47''
67/76 prend comme sujet et décor l'ancien site de l'exposition universelle de 1967, qui eut lieu à Montréal, au Canada. L'Expo 67, sous-titrée « Terre des Hommes », s'étendait sur deux îles spécialement construites pour l'occasion, situées au milieu du fleuve Saint-Laurent.
Au travers d'une déambulation dans ce qui est devenu aujourd'hui un parc public, le film présente donc les vestiges de cette manifestation dont le dôme dessiné par Buckminster Fuller demeure certainement le legs le plus emblématique.
Dans un texte intitulé Manuel d'instruction pour le vaisseau-spatial Terre, paru en 1968, Buckminster Fuller décrit une série d'enjeux et de défis à venir pour l'humanité; qu'ils soient sociaux, politiques ou environnementaux. Des fragments de ce texte, dont Julien Discrit a réalisé un montage, rythment le film au son d'une voix-off hypnotique et trouvent un écho particulier dans les défis soulevés par notre époque actuelle. Le film met ainsi en perspective deux époques, en faisant se confronter un futur imaginé à la fin des années 60 et ce qui constitue aujourd'hui notre présent. Les espoirs et les utopies nées à la fin des années 60, dont l'Expo 67 a constitué une remarquable expression, trouvent leur fin brutale dans l'incendie qui ravagea le dôme en mai 1976, visible à la fin du film. Le parc lui semble aujourd'hui à l'abandon, noyé sous une végétation nouvelle, et le grand fleuve toujours s'écoule le long de ses berges.
Oeuvre produite avec le soutien de la FNAGP
Avec le soutien à une recherche/production artistique du CNAP
Ce projet bénéficie du soutien de Lafayette Anticipations - Fonds de dotation Famille Moulin, Paris
Collection de l'Institut d'Art Contemporain, Rhône-Alpes.
Lien vidéo : https://vimeo.com/335091618
Mot de passe: Expo67
10'47''
67/76 prend comme sujet et décor l'ancien site de l'exposition universelle de 1967, qui eut lieu à Montréal, au Canada. L'Expo 67, sous-titrée « Terre des Hommes », s'étendait sur deux îles spécialement construites pour l'occasion, situées au milieu du fleuve Saint-Laurent.
Au travers d'une déambulation dans ce qui est devenu aujourd'hui un parc public, le film présente donc les vestiges de cette manifestation dont le dôme dessiné par Buckminster Fuller demeure certainement le legs le plus emblématique.
Dans un texte intitulé Manuel d'instruction pour le vaisseau-spatial Terre, paru en 1968, Buckminster Fuller décrit une série d'enjeux et de défis à venir pour l'humanité; qu'ils soient sociaux, politiques ou environnementaux. Des fragments de ce texte, dont Julien Discrit a réalisé un montage, rythment le film au son d'une voix-off hypnotique et trouvent un écho particulier dans les défis soulevés par notre époque actuelle. Le film met ainsi en perspective deux époques, en faisant se confronter un futur imaginé à la fin des années 60 et ce qui constitue aujourd'hui notre présent. Les espoirs et les utopies nées à la fin des années 60, dont l'Expo 67 a constitué une remarquable expression, trouvent leur fin brutale dans l'incendie qui ravagea le dôme en mai 1976, visible à la fin du film. Le parc lui semble aujourd'hui à l'abandon, noyé sous une végétation nouvelle, et le grand fleuve toujours s'écoule le long de ses berges.
Oeuvre produite avec le soutien de la FNAGP
Avec le soutien à une recherche/production artistique du CNAP
Ce projet bénéficie du soutien de Lafayette Anticipations - Fonds de dotation Famille Moulin, Paris
Collection de l'Institut d'Art Contemporain, Rhône-Alpes.
Lien vidéo : https://vimeo.com/335091618
Mot de passe: Expo67
10'47''
67/76 prend comme sujet et décor l'ancien site de l'exposition universelle de 1967, qui eut lieu à Montréal, au Canada. L'Expo 67, sous-titrée « Terre des Hommes », s'étendait sur deux îles spécialement construites pour l'occasion, situées au milieu du fleuve Saint-Laurent.
Au travers d'une déambulation dans ce qui est devenu aujourd'hui un parc public, le film présente donc les vestiges de cette manifestation dont le dôme dessiné par Buckminster Fuller demeure certainement le legs le plus emblématique.
Dans un texte intitulé Manuel d'instruction pour le vaisseau-spatial Terre, paru en 1968, Buckminster Fuller décrit une série d'enjeux et de défis à venir pour l'humanité; qu'ils soient sociaux, politiques ou environnementaux. Des fragments de ce texte, dont Julien Discrit a réalisé un montage, rythment le film au son d'une voix-off hypnotique et trouvent un écho particulier dans les défis soulevés par notre époque actuelle. Le film met ainsi en perspective deux époques, en faisant se confronter un futur imaginé à la fin des années 60 et ce qui constitue aujourd'hui notre présent. Les espoirs et les utopies nées à la fin des années 60, dont l'Expo 67 a constitué une remarquable expression, trouvent leur fin brutale dans l'incendie qui ravagea le dôme en mai 1976, visible à la fin du film. Le parc lui semble aujourd'hui à l'abandon, noyé sous une végétation nouvelle, et le grand fleuve toujours s'écoule le long de ses berges.
Oeuvre produite avec le soutien de la FNAGP
Avec le soutien à une recherche/production artistique du CNAP
Ce projet bénéficie du soutien de Lafayette Anticipations - Fonds de dotation Famille Moulin, Paris
Collection de l'Institut d'Art Contemporain, Rhône-Alpes.
Lien vidéo : https://vimeo.com/335091618
Mot de passe: Expo67
Cyanotype sur papier
59 x 40 cm
Daté et signé au dos
Cette oeuvre propose une visualisation graphique du son au travers d'un tirage cyanotype. Ce procédé de tirage qui remonte aux origines de la photographie sert ici à figer l'image fugace et impalpable des chants d'oiseaux, sous la forme d'un sonograme.
Cyanotype sur papier
59 x 40 cm
Daté et signé au dos
Cette oeuvre propose une visualisation graphique du son au travers d'un tirage cyanotype. Ce procédé de tirage qui remonte aux origines de la photographie sert ici à figer l'image fugace et impalpable des chants d'oiseaux, sous la forme d'un sonograme.
Cyanotype sur papier
59 x 40 cm
Cette oeuvre propose une visualisation graphique du son au travers d'un tirage cyanotype. Ce procédé de tirage qui remonte aux origines de la photographie sert ici à figer l'image fugace et impalpable des chants d'oiseaux, sous la forme d'un sonograme.
Exposition :
- L'air vibre du bourdonnement des insectes, Musée départemental d'art contemporain de Rochechouart, du 07 octobre au 17 décembre 2017, Rochechouart, France
Cyanotype sur papier
59 x 40 cm
Initiatrice d'une nouvelle série d'images pour l'artiste, cette oeuvre propose une visualisation graphique du son au travers d'un tirage cyanotype. Ce procédé de tirage qui remonte aux origines de la photographie sert ici à figer l'image fugace et impalpable des chants d'oiseaux, sous la forme d'un sonograme.
Image : 90 x 60 cm
Encadrement : 92 x 62 x 4 cm
La série Mille Mississippi prend comme point de départ des données d'élévation, c'est-à-dire des relevés de terrains, des relevés topographiques. Les images sont traitées par des variations de couleurs assez fines, en fonction de l'altitude. Ces quatre images montrent certaines zones de la vallée du Mississippi, dont la particularité est la grande quantité de méandres, dont la plupart sont des méandres « fantômes ». Les images ainsi obtenues créent une sorte de palimpseste de volutes de tous les anciens tracés, de tous les anciens cours du fleuve sur quelques milliers d'années.
Expositions:
- Mapping at last, Galerie Eric Mouchet, du 4 février au 25 mars 2017, Paris, France
- Le Souvenir des pierres, Galerie Anne-Sarah Bénichou, du 21 mai au 23 juillet 2016, Paris, France
Image : 90 x 60 cm
Encadrement : 92 x 62 x 4 cm
La série Mille Mississippi prend comme point de départ des données d'élévation, c'est-à-dire des relevés de terrains, des relevés topographiques. Les images sont traitées par des variations de couleurs assez fines, en fonction de l'altitude. Ces quatre images montrent certaines zones de la vallée du Mississippi, dont la particularité est la grande quantité de méandres, dont la plupart sont des méandres « fantômes ». Les images ainsi obtenues créent une sorte de palimpseste de volutes de tous les anciens tracés, de tous les anciens cours du fleuve sur quelques milliers d'années.
Page de carnet estampée
20,1 x 12,5 cm
Chaque pièce de la série Diagrammes propose le récit d'un rêve, sélectionné parmi ceux de l'artiste, et matérialisé sur une page de carnet. Un léger enfoncement, obtenu grâce à une machine à écrire dénuée de ruban encreur, vient créer les lettres et les mots de ces scénarios invisibles.
Exposition:
- Le souvenir des pierres, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, du 21 mai au 16 juillet 2016
Diagramme n°071214-081214 - "Mont Viso"
Je marche sur un sentier de montagne avec un ami.
Notre objectif est d'atteindre le sommet du Mont Viso.
Au bout d'un moment nous arrivons enfin à la minuscule plate-forme qui constitue le sommet.
Nous nous reposons un instant pour profiter du panorama.
En voulant m'asseoir je fais basculer une grosse roche qui tombe sur le sol et se brise
immédiatement en deux, presque en son milieu.
Je me rends alors compte que sur une des deux faces mise à nu est inscrit quelque chose; un mot est gravé dans la pierre.
Je me demande comment ce mot a bien pu être gravé à l'intérieur de la roche.
Je m'approche pour pouvoir le déchiffrer, je n'arrive pas à le lire.
19,9 x 460 cm
4,6 milliards d’années sont matérialisées par une ligne de 4,6 mètres.
Une fois ce rapport d’échelle installé, il en découle qu’une année est égale à un nanomètre. On peut aussi en déduire qu’il y a un milliard de nanomètres dans un mètre.
74,5 x 40,5 cm
Reprenant les principes des cartes de navigation micronésiennes, Carte Mémoire propose une cartographie "primitive" et personnelle de la ville de Montréal. Construite de façon schématique, sans respect des distances, elle constitue un support pour la mémorisation de l'espace et de ses flux en figurant les lieux retenus comme les îlots d'un archipel intime.
9'32''
© Paul Litherland
Le ruban figuré dans l'œuvre porte le nom d'August Ferdinand Möbius, mathématicien allemand qui, en 1858, dépose un mémoire à l'Académie française des sciences lui attribuant cette découverte. Il devient rapidement un objet de fascination pour les mathématiciens ou les penseurs de sciences humaines et sociales tels que Lacan qui l'utilise comme modèle de spatialisation du travail de l'inconscient. Le travail vidéo de Julien Discrit rejoue cette fascination et cette multiplicité de strates d'interprétation en liant abstraction mathématique et réalisme organique tout en empruntant son aspect formel à une série de dessins de M.C Escher du début des années 1960, sur lesquelles on peut voir neuf fourmis rouges circuler sur un ruban de Möbius.
Lien vidéo : https://vimeo.com/183014692/cf23a43091?share=copy
Dimensions variables
Première réalisation d'une série, Décalques tente de reproduire un instant et un lieu précis grâce à un relevé de spectre lumineux. Ces données, ici collectées le 27 juillet 2015 à 19h58, ont permis la reproduction exacte de la lumière ambiante par l'association de filtres colorés communément utilisés dans le cinéma.
80 x 80 cm chaque
Ces cartes de la Guyane française ont été dressée par l'IGN, leur particularité est de représenter des zones blanches, exemptes d'informations et désignées sur la carte sous l'appellation «nuages». Ce sont ces vides, ces manques qui ont été découpés ici, dessinant en négatif les cumulus présents lors des prises de vues aériennes de la zone.
Collection Frac Lorraine, Metz, France
Exposition:
- Le Souvenir des pierres, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, du 21 mai au 16 juillet 2016.
- Territoire Hopi , Galerie YGREC, Paris, du 4 décembre 2015 au 23 janvier 2016.
- La mesure du possible, Galerie Thomas Henry Ross. Montréal, Canada, du 2 au 30 août 2014.
80 x 80 cm
Ces cartes de la Guyane française ont été dressée par l'IGN. Leur particularité est de représenter des zones blanches, exemptes d'informations et désignées sur la carte sous l'appellation «nuages». Ce sont ces vides, ces manques qui ont été découpés ici, dessinant en négatif les cumulus présents lors des prises de vues aériennes de la zone.
104 x 250 x 108 cm
Réalisée « d’après nature », Territoire Hopi est l’empreinte en silicone d’un morceau de façade appartenant à un bâtiment patrimonial du Vieux-Montréal. Une fois retournée, moulé et disposé à l’horizontal, ce bas-relief sculpté au fil du temps par les éléments devient ainsi la maquette d’un territoire imaginaire.
32,7 x 24 x 3,5 cm
Composée d'un simple bloc de verre acrylique, cette oeuvre dissimule et fait apparaître dans le même temps, l'image d'un regard figé et absent.
Image : 34 x 27 x 5,5 cm (chaque)
La série États-inversés a été initiée en 2010 par Julien Discrit. À partir d’un découpage de la géographie étasunienne, l’artiste réinterprète le processus de d’estompage en cartographie, qui consiste à mettre en évidence les variations de terrains en reproduisant un ensoleillement fictif des pentes et ainsi de produire une impression de relief en deux dimensions. En inversant le spectre conventionnellement utilisé, et en passant ces cartes en noir et blanc, Julien Discrit créé une nouvelle manière d’appréhender les reliefs et renverse la lecture du territoire américain, créant de nouveaux motifs à partir d’un mode de représentation préexistant.
Dans un premier temps, il réalise un atlas complet du relief américain en deux volumes. Dans un second temps, en 2016, il décide de réaliser des tirages de certaines villes du livre en les reproduisant en grand format. Ce faisant, il ajoute une nouvelle dimension au travail en intégrant l’idée d’échelle qui vient bouleverser notre représentation des espaces et interroge nos manières de rendre intelligible le monde qui nous entoure.
Dimensions variables
L'oeuvre Présence est pensée comme un « cadran solaire d'intérieur ». L'ombre projetée sur un mur désigne un moment suspendu, un perpétuel présent, affirmé par le mot « NOW » (maintenant), où l'espace physique devient support de délimitation du temps.
25 min 59
Le film Sédiments montre le double parcours d'un jeune homme, isolé dans une station de bord de mer qui semble abandonnée. Au fil de ses déambulations et de ses investigations dans ce paysage, il fait la découverte d'un objet particulier qui le mène à poursuivre sa quête, son enquête. C'est à travers celle-ci que l'on navigue sur les traces, les vestiges et les ruines d'un temps passé à la fois intime et collectif.
Avec Antoine Loubry
Chef opérateur: Charles Devoyer
Ingénieur du son: Alexandre Lemore
Assistant chef opérateur: Rémy Peslouan
Script: Amélie Forestier
Régie: Thomas Merret
Étalonnage: Richard Pelmar
Film réalisé grâce au soutien de la DRAC Île-de-France et de la Direction des affaires culturelles de la Ville de Paris.
Lien vidéo : https://vimeo.com/183014024/aa5be1f779?share=copy
©2013 Julien Discrit
25 min 59
Le film Sédiments montre le double parcours d'un jeune homme, isolé dans une station de bord de mer qui semble abandonnée. Au fil de ses déambulations et de ses investigations dans ce paysage, il fait la découverte d'un objet particulier qui le mène à poursuivre sa quête, son enquête. C'est à travers celle-ci que l'on navigue sur les traces, les vestiges et les ruines d'un temps passé à la fois intime et collectif.
Avec Antoine Loubry
Chef opérateur: Charles Devoyer
Ingénieur du son: Alexandre Lemore
Assistant chef opérateur: Rémy Peslouan
Script: Amélie Forestier
Régie: Thomas Merret
Étalonnage: Richard Pelmar
Film réalisé grâce au soutien de la DRAC Île-de-France et de la Direction des affaires culturelles de la Ville de Paris.
Lien vidéo : https://vimeo.com/183014024/aa5be1f779?share=copy
©2013 Julien Discrit
25 min 59
Le film Sédiments montre le double parcours d'un jeune homme, isolé dans une station de bord de mer qui semble abandonnée. Au fil de ses déambulations et de ses investigations dans ce paysage, il fait la découverte d'un objet particulier qui le mène à poursuivre sa quête, son enquête. C'est à travers celle-ci que l'on navigue sur les traces, les vestiges et les ruines d'un temps passé à la fois intime et collectif.
Avec Antoine Loubry
Chef opérateur: Charles Devoyer
Ingénieur du son: Alexandre Lemore
Assistant chef opérateur: Rémy Peslouan
Script: Amélie Forestier
Régie: Thomas Merret
Étalonnage: Richard Pelmar
Film réalisé grâce au soutien de la DRAC Île-de-France et de la Direction des affaires culturelles de la Ville de Paris.
Lien vidéo : https://vimeo.com/183014024/aa5be1f779?share=copy
©2013 Julien Discrit
25 min 59
Le film Sédiments montre le double parcours d'un jeune homme, isolé dans une station de bord de mer qui semble abandonnée. Au fil de ses déambulations et de ses investigations dans ce paysage, il fait la découverte d'un objet particulier qui le mène à poursuivre sa quête, son enquête. C'est à travers celle-ci que l'on navigue sur les traces, les vestiges et les ruines d'un temps passé à la fois intime et collectif.
Avec Antoine Loubry
Chef opérateur: Charles Devoyer
Ingénieur du son: Alexandre Lemore
Assistant chef opérateur: Rémy Peslouan
Script: Amélie Forestier
Régie: Thomas Merret
Étalonnage: Richard Pelmar
Film réalisé grâce au soutien de la DRAC Île-de-France et de la Direction des affaires culturelles de la Ville de Paris.
Lien vidéo : https://vimeo.com/183014024/aa5be1f779?share=copy
©2013 Julien Discrit
60 x 40 cm
Inspiré d’une nouvelle de Borges, Le miroir et le masque, l’œuvre Le masque et le miroir, présente derrière un verre dépoli un mot qui reste indéchiffrable. Quel que soit l’effort du spectateur, ces lettres demeurent insaisissables. C’est alors à l’imagination de travailler et ce mot devient le mot de tous les possibles, tous les mots à la fois.
Exposition:
- Le souvenir des pierres, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, du 21 mai au 16 juillet 2016
- Loin des yeux, Centre d'art contemporain de Montréal, du 16 avril au 11 juin 2016
Image : 60 x 80 cm
Encadrement : 62 x 82 cm
La série Mont Analogue prend pour objet le jeu sur les rapports d'échelles. Il s'agit de portraits de petits cailloux collectés pour leur potentiel de ressemblance à des ensembles montagneux. La prise de vue accentue la perte de repère spatiaux et le rapport d'échelle entre relief naturel et microcosme.
Image : 60 x 80 cm
Encadrement : 62 x 82 cm
La série Mont Analogue prend pour objet le jeu sur les rapports d'échelles. Il s'agit de portraits de petits cailloux collectés pour leur potentiel de ressemblance à des ensembles montagneux. La prise de vue accentue la perte de repère spatiaux et le rapport d'échelle entre relief naturel et microcosme.
Image : 60 x 80 cm
Encadrement : 62 x 82 cm
La série Mont Analogue prend pour objet le jeu sur les rapports d'échelles. Il s'agit de portraits de petits cailloux collectés pour leur potentiel de ressemblance à des ensembles montagneux. La prise de vue accentue la perte de repère spatiaux et le rapport d'échelle entre relief naturel et microcosme.
Dimensions variables
La série Sédiments s'attache à rendre compte de phénomènes microscopiques. C'est le fruit d'une sédimentation, au sens propre comme au figuré, d'un lent travail du temps sur des éléments qui se combinent et se transforment pour créer un «objet fossile», le souvenir d'une expérience passée et la trace d'un sédiment futur.
Dimensions variables. Env. 22 x 17,5 x 13 cm
La série Sédiments s'attache à rendre compte de phénomènes microscopiques. C'est le fruit d'une sédimentation, au sens propre comme au figuré, d'un lent travail du temps sur des éléments qui se combinent et se transforment pour créer un «objet fossile», le souvenir d'une expérience passée et la trace d'un sédiment futur.
Page de carnet estampée
21 x 13 cm
Chaque pièce de la série Diagrammes propose le récit d'un rêve, sélectionné parmi ceux de l'artiste, et matérialisé sur une page de carnet. Un léger enfoncement, obtenu grâce à une machine à écrire dénuée de ruban encreur, vient créer les lettres et les mots de ces scénarios invisibles.
Texte :
Je suis à Berlin, la ville est composée en croix avec de chaque côté des collines assez hautes. En haut de l'une d'elles, dans un hôtel de luxe, se tient une exposition. Pour s'y rendre le bus emprunte des routes de montagne très escarpées, en passant les virages je vois des affleurements de roches blanches très particuliers, puis des roches translucides, comme du quartz rose et vert. C'est absolument magnifique.
Au centre de l'exposition se trouve un grand crâne en silicone transparent. À l'intérieur de celui-ci on distingue l'empreinte d'un autre crâne. L'ensemble forme donc une sorte de membrane. À côté se trouve une paire de longs gants, sur ce même principe. Pour me montrer la finalité de son projet, l'artiste Christian Anderson enfile cette sorte de cagoule et je vois donc sa tête à l'intérieur de cette gangue, se superposant au profil du crâne dont il a fait le moule. La cagoule, ainsi que la paire de gants sont présentées dans une caisse en bois, où des cavités recueillent les objets.
12 x 16 x 4,5 cm
En juillet 2009, lors d'un voyage dans le désert du Mojave l'artiste a effectué un prélèvement de terre en remplissant deux boitiers vides de pellicules photo couleur 135mm. Une fois revenu en France, parmi d'autres souvenirs, il a retrouvé ces deux boitiers. Le contenu a été trié selon un système de tamis, de différents diamètres puis placé dans des tubes à essai afin de savoir ce dont est fait le désert.
Tirage lambda
Image : 9 x 12 cm
Encadrement : 25 x 28 cm
Vanishing Island est une série d'images capturée sur le site naturel de Bonneville Salt Flats lors d'un séjour aux Etats-Unis de l'artiste. Cet immense désert de sel, ancien lit d'un lac géant, est situé au nord-est de l'Utah. Il a pour caractéristique d'être la plus vaste surface plate au monde. Sa singularité l'amène régulièrement à se constituer en théâtre des records, notamment lors de la Speed Week, une semaine de courses automobiles de vitesse. Il est également une source d'inspiration pour des artistes comme Nancy Holt et ses Sun Tunnels. Julien Discrit, dans une série de cinq photos, utilise la surexposition pour accentuer la perte de repères procurée par cette étendue blanche et ininterrompue. Il réalisa, lors du même séjour, une vidéo intitulée Speed of eye.
Tirage lambda
Image : 9 x 12 cm
Encadrement : 25 x 28 cm
Vanishing Island est une série d'images capturée sur le site naturel de Bonneville Salt Flats lors d'un séjour aux Etats-Unis de l'artiste. Cet immense désert de sel, ancien lit d'un lac géant est situé au nord-est de l'Utah. Il a pour caractéristique d'être la plus vaste surface plate au monde. Sa singularité l'amène régulièrement à se constituer en théâtre des records, notamment lors de la Speed Week, une semaine de courses automobiles de vitesse. Il est également une source d'inspiration pour des artistes comme Nancy Holt et ses Sun Tunnels. Julien Discrit dans une série de cinq photos, utilise la surexposition pour accentuer la perte de repères procurée par cette étendue blanche et ininterrompue. Il réalisa, lors du même séjour, une vidéo intitulée Speed of eye.
Tirage lambda
Image : 9 x 12 cm
Encadrement : 25 x 28 cm
Vanishing Island est une série d'images capturée sur le site naturel de Bonneville Salt Flats lors d'un séjour aux Etats-Unis de l'artiste. Cet immense désert de sel, ancien lit d'un lac géant est situé au nord-est de l'Utah. Il a pour caractéristique d'être la plus vaste surface plate au monde. Sa singularité l'amène régulièrement à se constituer en théâtre des records, notamment lors de la Speed Week, une semaine de courses automobiles de vitesse. Il est également une source d'inspiration pour des artistes comme Nancy Holt et ses Sun Tunnels. Julien Discrit dans une série de cinq photos, utilise la surexposition pour accentuer la perte de repères procurée par cette étendue blanche et ininterrompue. Il réalisa, lors du même séjour, une vidéo intitulée Speed of eye.
Tirage lamba
Image : 9 x 12 cm
Encadrement : 25 x 28 cm
Vanishing Island est une série d'images capturée sur le site naturel de Bonneville Salt Flats lors d'un séjour aux Etats-Unis de l'artiste. Cet immense désert de sel, ancien lit d'un lac géant est situé au nord-est de l'Utah. Il a pour caractéristique d'être la plus vaste surface plate au monde. Sa singularité l'amène régulièrement à se constituer en théâtre des records, notamment lors de la Speed Week, une semaine de courses automobiles de vitesse. Il est également une source d'inspiration pour des artistes comme Nancy Holt et ses Sun Tunnels. Julien Discrit dans une série de cinq photos, utilise la surexposition pour accentuer la perte de repères procurée par cette étendue blanche et ininterrompue. Il réalisa, lors du même séjour, une vidéo intitulée Speed of eye.
Image : 24 x 32 cm
Encadrement : 35,5 x 43,4 cm
Le 3 mai 1836, un dénommé D.Julien grave son nom sur les flancs du Labyrinth Canyon, dans les méandres de la Green River, au sud de l'Utah. Par ce geste inaugural, il laisse le témoignage du premier européen connu à avoir pénétré dans cette zone reculée en même temps qu'il ouvre la voie à d'autres graffitis, d'autres signatures. Quelques 173 années plus tard, l'artiste part à la recherche de ce double homonymique. La photographie Looking for D.Julien -Labyrinth Canyon- relate cette expérience liée à l'identité, au temps qui s'écoule et à l'importance de la trace.
40 x 75 x 2 cm
Reprenant les principes des cartes de navigation micronésiennes, Carte mémoire propose une cartographie “primitive” et personnelle de la ville de Paris. Construite de façon schématique, sans respect des distances, elle constitue un support pour la mémorisation de l’espace et de ses flux en figurant les lieux retenus comme les ilôts d’un archipel intime
Dimensions variables
Vue de l'exposition "What is not visible is not invisible", Musée national de Singapour, Singapour,
Collection Frac Lorraine, Metz, France
D’abord invisible car réalisée à l’aide d’une encre spéciale, comme une image latente, la phrase n’apparait qu’au passage d’un visiteur, révelée par une lumière U.V. Elle souligne ainsi le fait que pour exprimer l’invisible, il faut paradoxalement le rendre visible.
Expositions:
- Persona Grata, MAC VAL, Vitry-Sur-Seine, France, 2018
- Mondes flottants, Biennale de Lyon, commissariat Emma Lavigne, Musée d'Art contemporain, Lyon, 2017
- What is not visible is not invisible, Musée national de Singapour, Singapour, Song Eun Art Space de Séoul, Corée du Sud, puis BACC de Bangkok, Thaïlande, 2016-2017
- La consistance du visible, Prix Fondation d’entreprise Ricard 2008
28 x 37,9 x 8,8 cm
Surface entre-deux, ligne de contact incertaine, Inframince (Mont-Blanc) est une stèle blanche, surmontée d'un bloc de résine transparent et luminescent. Cette lueur vient souligner la fine membrane opaque qui semble diviser le bloc en deux, et qui dessine un relief accidenté, copie miniature du massif du Mont-Blanc. Cette épaisseur infime et bosselée, scrupuleusement réalisée à partir d'une carte de l'IGN, matérialise, à l'intérieur du bloc, la limite impalpable entre ciel et montagne.
Collection FRAC Lorraine, Metz, France
25 x 12 x 10 mm
L'opale est une pierre cristalline dont les cristaux ne se forment qu'en pseudomorphose, c'est-à-dire par transformation d'un solide existant, les plus fréquentes étant celles du bois, des coquillages et des os. Cette idée de lente transformation de la matière osseuse en minéral est reprise ici par le façonnage d'une opale blanche en forme de dent humaine, comme le résidu d'un squelette fictif ou la création d'un fossile du futur.
87 x 92 cm
Exemplaire numéroté et signé
15'40'' min
Crédit photo Julien Discrit-And Factory,
Courtesy de l'artiste et galerie Anne-Sarah Bénichou
Collection Musée d'art Moderne de la ville de Paris
Un jeune homme émerge d'un tunnel. Sa course est rythmeée par sa voix, il se parle. La ville qu'il traverse semble déserte. Elle forme derrière lui un décor lumineux et fantomatique. Son monologue débute par des souvenirs d'enfance. Ce qu'il raconte, au fil de la course, c'est l'histoire de sa vie. Une vie dont on ne sait au départ si elle n'est que fantasmeée ou bien réelle. À travers cette narration à la première personne, il déroule à chaque nouvelle fouleée, l'histoire de sa vie.
Lien vidéo : https://vimeo.com/183014023/33a10525db?share=copy
Julien Discrit est un artiste plasticien français. Son travail s'intéresse à des processus physiques ou biologiques, à travers leur capacité technique à générer des formes. Il questionne à la fois leur émergence et leur représentation, entrevue comme le résultat d'une expérience. À travers une grande diversité de techniques et de matériaux, ses œuvres se nourrissent tout aussi bien de la géomorphologie que des neurosciences, autant de phénomènes dont les traces constituent le travail de l'artiste. Ses œuvres sont à considérer comme autant d'empreintes qui convoquent une mémoire à la fois collective et personnelle ; une expérience du temps et d'un monde qui sans cesse se métamorphose.
Il a participé à de nombreuses expositions personnelles et collectives. Son travail a notamment été montré en 2011 dans l'exposition Sublime, les tremblements du monde au Centre Pompidou-Metz, à La Biennale de Lyon en 2011, 2017 et 2024 et fait partie de nombreuses collections publiques et privées. Il est lauréat de nombreux prix et bourses, comme celle de la Fondation des artistes en 2016 et 2022, du Prix Fawu et du 1% marché de l'art du Crédit Municipal en 2019.
Julien Discrit vit et travaille entre Paris et Plomeur en Bretagne.