Yann Lacroix
320 x 180 cm
180 x 150 cm
180 x 150 cm
150 x 130 cm
130 x 150 cm
150 x 130 cm
65 x 54 cm
35 x 27 cm
230 x 185 cm
©Léonard de Serres
230 x 185 cm
©Léonard de Serres
54 x 65 cm
27 x 22 cm
65 x 54 cm
150 x 130 cm
Titré, signé et daté au dos
© Nicolas Brasseur
150 x 130 cm
Signé, titré et daté au dos
150 x 130 cm
Signé, titré et daté au dos
150 x 130 cm
Signé, titré et daté au dos
© Nicolas Brasseur
150 x 130 cm
Signé, titré et daté au dos
150 x 130 cm
Titré, signé, daté au dos
© Nicolas Brasseur
150 x 130 cm
Signé, titré et daté au dos
150 x 130 cm
Signé, titré et daté au dos
27 x 22 cm
Signé, titré et daté au dos
76 x 61 cm
Titré, daté et signé au dos
© A. Mole
Diptyque, 185 x 310 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Dans Casus Belli, Yann Lacroix réinvestit les codes de la peinture d'histoire avec un regard contemporain. Le format monumental, agencé à la manière d'un diptyque, fait penser aux grandes scènes de bataille de la Renaissance mais il s'agit davantage ici d'une latence, d'une tension dans l'attente de quelque chose qui se prépare. La spectacularisation du combat et du chaos laisse ainsi place à des silhouettes évanescentes et immobiles de chevaliers sans visage sur leurs montures. De cette impassibilité émergent des armoiries héraldiques et des étendards écarlates, vestiges d'un passé fantasmé.
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Inspiré par les représentations d’écus héraldiques et les peintures médiévales de champs de bataille, cette série est consacrées aux figures des chevaliers. À contre-courant des grandes peintures d’histoire, ces toiles s’attardent sur des figures de chevaliers isolés, proposant des représentations intimes dans des formats carrés. Formant des silhouettes sans visages, ils apparaissent à la surface de la toile marquée par des jeux de transparence, comme des fantômes émergents de souvenirs lointains et flottants dans des paysages inexistants.
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Inspiré par les représentations d’écus héraldiques et les peintures médiévales de champs de bataille, cette série est consacrées aux figures des chevaliers. À contre-courant des grandes peintures d’histoire, ces toiles s’attardent sur des figures de chevaliers isolés, proposant des représentations intimes dans des formats carrés. Formant des silhouettes sans visages, ils apparaissent à la surface de la toile marquée par des jeux de transparence, comme des fantômes émergents de souvenirs lointains et flottants dans des paysages inexistants.
125 x 150 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Dans cette série, Yann Lacroix dépeint un univers ancestral, rêvé et fantasmé, d'où surgissent des silhouettes fantomatiques de chevaliers et de forteresses entourés de végétation. Ils deviennent autant de motifs historiques d'un temps révolu, ressuscités par une réinterprétation de la peinture d'histoire en proie à l'onirisme et l'imaginaire.
150 x 125 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Dans cette série, Yann Lacroix dépeint un univers ancestral, rêvé et fantasmé, d’où surgissent des silhouettes fantomatiques de chevaliers et de forteresses entourés de végétation. Ils deviennent autant de motifs historiques d’un temps révolu, ressuscités par une réinterprétation de la peinture d’histoire en proie à l’onirisme et l’imaginaire.
150 x 180 cm
signé, titré, daté au dos
162 x 130 cm
Titrée, datée, signée au dos
À partir de ses souvenirs (images glanées sur Internet, séjours à l’étranger, environnement quotidien…), Yann Lacroix peint des paysages volontairement composites, habités de végétation exotique, de serres tropicales et de piscines, constitués de leur propre artificialité et vides de présence humaine mais dont la trace d’une histoire passée ou possible amène sensualité et vie : une réflexion sur les hétérotopies qui s’articule par le biais de ces lieux à la fois fantasmés et emprunts d’une poésie du quotidien comme des allégories de la peinture même.
24 x 32 cm
signé, titré, daté au dos
152 x 128 cm
signé au dos
146 x 114 cm
titré, daté, signé au dos
Réalisée pour l'exposition l'anniversaire des cinq ans de la galerie, Hespérides nous plonge dans un jardin à la végétation luxuriante, presque kitsch et qui invoque en sous-texte dans l'imaginaire de Yann Lacroix la luxuriance des jardins babyloniens. Alors que certaines zones floues donnent un aspect brumeux et instable à l'ensemble de la scène, l'intensité de la lumière se concentre sur cinq pommes, référence explicite au jardin des Hespérides. A la limite de l'artificialité, l'artiste interroge, à travers ce paysage utopique, le statut de la représentation picturale en invoquant des références mythologiques et un imaginaire commun qui lui confèrent une dimension intemporelle.
100 x 88 cm
signé, titré, daté au dos
À partir de ses souvenirs (images glanées sur Internet, séjours à l'étranger, environnement quotidien), Yann Lacroix peint des paysages volontairement composites, habités de végétation exotique, de serres tropicales et de piscines, constitués de leur propre artificialité et vides de présence humaine mais dont la trace d'une histoire passée ou possible amène sensualité et vie : une réflexion sur les hétérotopies qui s'articule par le biais de ces lieux à la fois fantasmés et emprunts d'une poésie du quotidien comme des allégories de la peinture même.
280 x 200 cm
Signé, titré, daté au dos
À partir de ses souvenirs (images glanées sur Internet, séjours à l’étranger, environnement quotidien…), Yann Lacroix peint des paysages volontairement composites, habités de végétation exotique, de serres tropicales et de piscines, constitués de leur propre artificialité et vides de présence humaine mais dont la trace d’une histoire passée ou possible amène sensualité et vie : une réflexion sur les hétérotopies qui s’articule par le biais de ces lieux à la fois fantasmés et emprunts d’une poésie du quotidien comme des allégories de la peinture même.
35 x 27 cm
Signée au dos
213 x 174 cm
Signée au dos
À partir de ses souvenirs (images glanées sur Internet, séjours à l'étranger, environnement quotidien), Yann Lacroix peint des paysages volontairement composites, habités de végétation exotique, de serres tropicales et de piscines, constitués de leur propre artificialité et vides de présence humaine mais dont la trace d'une histoire passée ou possible amène sensualité et vie: une réflexion sur les hétérotopies qui s'articule par le biais de ces lieux à la fois fantasmés et emprunts d?une poésie du quotidien comme des allégories de la peinture même.
117 x 87 cm
signé, titré, daté au dos
À partir de ses souvenirs (images glanées sur Internet, séjours à l'étranger, environnement quotidien), Yann Lacroix peint des paysages volontairement composites, habités de végétation exotique, de serres tropicales et de piscines, constitués de leur propre artificialité et vides de présence humaine mais dont la trace d'une histoire passée ou possible amène sensualité et vie : une réflexion sur les hétérotopies qui s'articule par le biais de ces lieux à la fois fantasmés et emprunts d'une poésie du quotidien comme des allégories de la peinture même.
27 x 35 cm
Signé, daté, titré au dos
146 x 114 cm
22 x 27 cm
Signée au dos
27 x 22 cm
Signé au dos
270 x 220 cm
À partir de ses souvenirs (images glanées sur Internet, séjours à l'étranger, environnement quotidien…), Yann Lacroix peint des paysages volontairement composites, habités de végétation exotique, de serres tropicales et de piscines, constitués de leur propre artificialité et vides de présence humaine mais dont la trace d'une histoire passée ou possible amène sensualité et vie : une réflexion sur les hétérotopies qui s'articule par le biais de ces lieux à la fois fantasmés et emprunts d'une poésie du quotidien comme des allégories de la peinture même.
263 x 194 cm
Signé, titré, daté au dos
146 x 114 cm
Signé au dos
100 x 81 cm
Signé au dos
Exposition:
- "Cela ne m'est pas inconnu", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2019
185 x 160 cm
Signé au dos
Exposition:
- "Cela ne m'est pas inconnu", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2019
230 x 185 cm
Signé au dos
À partir de ses souvenirs (images glanées sur Internet, séjours à l'étranger, environnement quotidien...), Yann Lacroix peint des paysages volontairement composites, habités de végétation exotique, de serres tropicales et de piscines, constitués de leur propre artificialité et vides de présence humaine mais dont la trace d'une histoire passée ou possible amène sensualité et vie : une réflexion sur les hétérotopies qui s'articule par le biais de ces lieux à la fois fantasmés et emprunts d'une poésie du quotidien comme des allégories de la peinture même.
240 x 380 cm
Signé au dos
24 x 32 cm
Signé au dos
Exposition:
- "Cela ne m'est pas inconnu", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2019
160 x 185 cm
Signé au dos
Exposition:
- "Cela ne m'est pas inconnu", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2019
55 x 46 cm
Signé au dos
Exposition:
- "Cela ne m'est pas inconnu", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2019
185 x 160 cm
Signé au dos
Exposition:
- "Cela ne m'est pas inconnu", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2019
22 x 27 cm
37 x 46 cm
174 x 203 cm
Exposition :
- "Paysage avec figure absente", Domaine M, Cérilly, France, 2017
195 x 240 cm
200 x 135 cm
153 x 128 cm
230 x 200 cm
22 x 27 cm
Yann Lacroix est né en 1986. Il vit et travaille à Paris. Par la pratique exclusive de la peinture, il réalise notamment des paysages, parfois peuplés de figures fantomatiques déployant une iconographie utopique et fantasmée, guidée par ses souvenirs de voyage, la mémoire potentielle de ces lieux silencieux et celle de l'histoire de la peinture. Telles des métaphores du processus de la mémoire, les œuvres de Yann Lacroix superposent des espaces flous et des zones de détails particulièrement précis dont l'intensité contraste avec le brouillage visuel d'autres zones de la toile.
Sa pratique picturale est majoritairement axée autour des paysages. Leur aspect luxuriant n'est pas sans évoquer les destinations de voyage les plus prisées, devenues symptomatiques d'un désir de renouer avec un paradis perdu et poussant paradoxalement à la création d'espaces artificiels. Chez l'artiste, ces lieux se transforment en un miroir de la peinture rythmée par le jeu des apparences, sorte de recherche autour du potentiel caractère évanescent des images. De cela résulte une émotion disparue et la joie de la tentative de retrouver ce qui a été vu, ce qui a été éprouvé. Ainsi, à partir de ses souvenirs (images glanées sur Internet, séjours à l'étranger, environnement quotidien...), l'artiste peint des paysages volontairement composites, habités de végétation exotique, de serres tropicales et de piscines, constitués de leur propre artificialité mais dont la trace d'une histoire passée ou possible amène sensualité et vie : une réflexion sur les hétérotopies qui s'articule par le biais de ces lieux à la fois fantasmés et emprunts d'une poésie du quotidien comme des allégories de la peinture même.
Remarqué notamment à Paris lors du 63e salon de Montrouge en 2018, Yann Lacroix a participé à de nombreuses expositions collectives en France comme à l'étranger : en Pologne (In translation, à la Galerie Pracownia), en Thailande (Sandwiches, au Cartel Art Space), en Belgique ainsi que dans plusieurs galeries parisiennes et dans la Collection Lambert à Avignon. Il a été lauréat de nombreuses bourses et résidences parmi lesquelles : Shakers en 2013, Chamalot en 2014, la Source en 2015, Fondation Dufraine de 2015 à 2017 et le Domaine M en 2017 - ainsi qu'à Bangkok, où il a passé deux mois à la Tars Gallery. Il a été pensionnaire de la Casa Velázquez en 2019.