Laura Garcia Karras

166 x 140 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle tranLa séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus.

166 x 140 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle tranLa séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus. Chacun des tableaux de l'exposition est nommé en hommage à une figure féminine fondamentale pour l'artiste. Ici « Carmen » fait référence à la tempête qui a touché la France en 2017 et au grand Ballet créé par Roland Petit en 1949.

166 x 140 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle tranLa séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus. Chacun des tableaux de l'exposition est nommé en hommage à une figure féminine fondamentale pour l'artiste.

166 x 140 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle tranLa séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus. Chacun des tableaux de l'exposition est nommé en hommage à une figure féminine fondamentale pour l'artiste. Ici « Mae J. » fait référence à Mae Jemison, la première femme afro-américaine astronaute a être allé dans l'espace en 1992.

92 x 68 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle tranLa séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus. Chacun des tableaux de l'exposition est nommé en hommage à une figure féminine fondamentale pour l'artiste.

92 x 68 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle tranLa séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus. Chacun des tableaux de l'exposition est nommé en hommage à une figure féminine fondamentale pour l'artiste.

92 x 68 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle tranLa séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus. Chacun des tableaux de l'exposition est nommé en hommage à une figure féminine fondamentale pour l'artiste.

92 x 68 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
180 x 150 cm
195 x 175 cm

195 x 175 cm
180 x 140 cm
180 x 140 cm

195 x 175 cm

195 x 175 cm

100 x 70 cm

92 x 68 cm
30 x 40 cm

195 x 175 cm

180 x 140 cm

162 x 114 cm

162 x 114 cm

40 x 30 cm

40 x 30 cm

195 x 170 cm

114 x 162 cm

162 x 114 cm

162 x 114 cm

41 x 33 cm

41 x 33 cm
Signé et daté au dos

40 x 30 cm
Laura Garcia-Karras, née en 1988, est une artiste peintre dont l'œuvre explore les frontières de la matière picturale et le rapport entre la représentation et la nature. Après des études à l'école de La Cambre à Bruxelles et aux Beaux-Arts de Paris, elle a été distinguée par la Fondation Crédit Agricole et a reçu le Prix Antoine Marin en 2018. Actuellement résidente à Poush Manifesto à Aubervilliers, elle a présenté en 2024 une exposition personnelle Perrenial, au Mo.Co. Montpellier Contemporain.
Son travail, centré sur la peinture, interroge la matérialité du médium à travers des procédés qui mêlent figuration et abstraction. Son exploration de motifs végétaux, notamment des fleurs, va au-delà de la simple représentation esthétique pour transcender leur symbolique. La peinture devient pour elle un espace de réflexion, à la fois poétique et philosophique. Par des techniques qui allient surfaces nettes et coups de pinceau libres, elle crée des compositions qui jouent avec la lumière et la profondeur, superposant formes découpées au scalpel et aplats de couleur.