Mireille Blanc

47 x 34 cm
Titré, daté, signé au dos
La toile Petit dragon représente un tee-shirt tenu par des mains d'enfant. Les motifs présents sur le textile se fondent sous le pinceau de l’artiste, devenant presque abstraits. À travers sa pratique, Mireille Blanc opère un certain nombre d’altérations et de déformations de l’image pour brouiller la perception du sujet traité. Ce faisant, le titre vient ici nous éclairer sur l’origine des motifs peints, installant un jeu entre les repères mémoriels du spectateur et sa perception.

24 x 18 cm
Signé et daté au dos
L'image-source de Sucre glace est un détail de la photographie d’un tee-shirt « taché » de sucre glace, le blanc du sucre créant une sorte de constellation à la surface du tissu bleu marine. Le cadrage est si serré que l'on distingue les mailles du vêtement. Le sujet est méconnaissable et nous évoque au premier regard le motif d’une vague. Ainsi la peinture devient quasi abstraite et son objet demeure volontairement énigmatique.

95 x 110 cm
Titré, daté, signé au dos
Pour Chemisier, Mireille Blanc a puisé dans ses photographies de famille des années1980. Comme souvent dans son travail, elle a recadré l’image pour ne laisser apparaître que le buste et rendre son sujet indéterminé. Peignant le processus de fabrication de l’image, elle inclut dans ce tableau un défaut d’impression qui ajoute ces stries à l’image, comme pour tendre progressivement vers l’abstraction, à mi-chemin entre souvenir personnel, et image devenue banale.

40 x 30 cm
Titré, daté, signé au dos
Agrégat s’inspire de la photographie d’un objet énigmatique, un conglomérat indistinct de coquillages et d'huîtres tenu du bout des doigts, et reproduite à l’huile sur bois. La matière, la brillance et le relief de ces formes troubles attirent immédiatement l’œil mais le cadrage très serré rend impossible la compréhension du contexte de l’œuvre. En reproduisant les altérations qu’a subies la photographie à l’atelier, Mireille Blanc instaure une distance supplémentaire entre le spectateur et l’œuvre tout en donnant à cette dernière une réalité spatiale et temporelle nouvelle.

24 x 18 cm
Titré, daté, signé au dos
Dans quelle ardeur !, Mireille Blanc fait disparaître l’objet de l’image-source (une petite photographie noir et blanc) à travers une perspective fuyante et le flash de l’appareil photo. Sur bois, la peinture redevient surface alors que l’image s’éclipse ne laissant voir que sa texture argentée aux reflets lumineux. Le véritable sujet de l’œuvre est donc la matière, soulignée par une légende intrigante dont la typographie a été minutieusement reproduite au pinceau. Là encore, le regardeur est libre d'y placer le souvenir qu'il souhaite.

200 x 150 cm
Titré, daté, signé au dos
Dans Feutre, tee-shirt, Mireille Blanc reproduit les marques d’usure, accidentelles, de la photographie qui a inspiré la toile, comme les taches d’eau, au premier plan. Le cadrage serré sur le torse et la lumière zénithale qui encadre le motif arc-en-ciel font disparaître tout morceau de peau et déplacent le regard du spectateur sur les traits de feutre et les coups de crayon. Ainsi ce tee-shirt - fait par la main d’un enfant - devient sujet de peinture, magnifié par le grand format.

32 x 40 cm
Titré, daté, signé au dos
Meringue s’inscrit dans un rapport d’attraction/répulsion de Mireille Blanc aux sujets qu’elle emprunte à notre répertoire visuel quotidien. Le gâteau est magnifié par la lumière du flash de l’appareil photo qui le fait aussi disparaître dans l’ombre, et écrasé par le point de vue surplombant. La matière crémeuse de la meringue, la forme sculpturale du gâteau et de son assiette en carton argenté, à la limite du bon goût et du kitsch, deviennent des sujets proprement picturaux.

30 x 42 cm
Titré, daté, signé au dos
Ice cream puise dans une imagerie kitsch, intime et universelle, donnant au spectateur une impression de déjà vu, comme souvent face aux œuvres de Mireille Blanc. L’artiste transforme ici la matière comestible d’un banana split gourmand en objet pictural tout aussi crémeux, à la touche empâtée. Ainsi, l’artiste célèbre le pouvoir de la peinture, qui redevient avant tout une surface de matière et un écran entre le souvenir d’un repas et sa reproduction photographique.

30 x 20 cm
Titré, daté, signé au dos
Dans Kinder coquillages, Mireille Blanc détourne la tradition de la nature morte à partir d’une photographie scotchée dans son atelier donnant son titre à l’exposition. Un œuf Kinder en morceaux et des coquillages posés au hasard, sur une feuille de sopalin, s’agencent en une composition incongrue et mystérieuse. À travers un point de vue surplombant, l’artiste s’amuse à défaire les formes pour libérer la matière picturale. Là encore, la lecture du sujet est brouillée et l'objet initial tend vers l'abstraction.

30 x 20 cm
Titré, daté, signé au dos
On retrouve dans Marbre, les courbes généreuses de la série des gâteaux sans pour autant reconnaître son sujet de prime abord. Comme l’indique le titre, l’intention de l’artiste se porte ici sur la matière alors que l’objet demeure inaccessible, rendu méconnaissable par un plan très serré. En peignant ce détail de la coiffure d’une jeune fille à partir de la photographie d’une sculpture exposée au Louvre, Mireille Blanc brouille nos repères en nous imposant de regarder autrement et s’amuse à mélanger et mettre en abyme plusieurs médiums.

100 x 70 cm
Titré, daté, signé au dos
Motifs, rare autoportrait de Mireille Blanc, nous fait entrer dans le quotidien de son atelier. Les formes désuètes et colorées du coussin et les plis des vêtements deviennent objets de peinture. La perspective surplombante et le cadrage resserré estompent la perception du sujet. Le contexte de la scène est évacué pour attirer le regard sur la singularité des matières.

28 x 40 cm
Titré, daté, signé au dos
Dans Zeppelin, Mireille Blanc prend comme image-source le plan serré d'un plat, tenu entre les mains, contenant des biscuits en forme de dinosaures. En adoptant un point de vue surplombant sur ces dinosaures miniatures et en préservant le flash de l’appareil photo, l’artiste multiplie les déplacements par rapport au sujet initial, et tend vers une forme de perte, entre figuration et abstraction.

24 x 32 cm
Titré, daté, signé au dos
Surexposés à la lumière de l’appareil photo, les morceaux de poire épars disposés dans une assiette, dans la peinture Poire, disparaissent pour devenir des formes abstraites offertes à l’imagination du spectateur. À l'arrière-plan, on perçoit des fragments de jouets d’enfant aux couleurs flashy qui parsèment la table et contrastent avec les arrière-plans traditionnels des natures mortes.

100 x 72 cm
Signé et daté au dos
Plume, vase explore les enjeux de la représentation de la matière. La texture de la céramique et de ses aspérités, à travers l’empâtement de la peinture à l'huile et la lumière frontale, contraste avec la légèreté de la plume. En prenant pour sujet ce vase à la Vallauris, l'artiste convoque une imagerie kitsch dans une mise en scène étonnante. La perspective plongeante accentue les formes étranges de l'objet qui en devient presque organique.

42 x 29,7 cm
Sweat jaune est un dessin en noir et blanc représentant, en son centre, un motif indéterminé, perturbé par les plis du vêtement sur lequel il figure. Le sweat-shirt étant porté, le tissu est en mouvement et ce qui tend vers la perte du sujet et joue sur l'indétermination de l'objet traité.

42 x 29,7 cm
Le dessin En haut du jardin s?inspire d?une photographie tirée d?un album de famille de l?artiste. En utilisant ce cliché la représentant enfant, elle se réapproprie l?autoportrait en mettant en perspective l?image-source de manière à couper son visage, détournant ainsi l?attention du regardeur, et se focalisant sur les personnages-motifs du tee-shirt.

42 x 29,7 cm
Dans Poisson, Mireille Blanc dessine un bibelot, sûrement une lampe au design kitsch, presque repoussant. À partir d'un cliché de cet objet, l?artiste joue sur la réflexion en utilisant le noir et blanc pour accentuer le détournement du sujet. Ce faisant, elle intègre des détails de construction de l?image comme ce bout de scotch au milieu du dessin, témoignant du processus d?abstraction effectué par l?artiste.

27 x 21 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Cakeboy est une peinture issue d'une photographie capturée lors d'un anniversaire d'enfant. Comme souvent chez Mireille Blanc, le choix du sujet s'impose à elle avec un rapport d'attraction/répulsion propre au caractère instinctif de son travail. Les détails travaillés en peinture représentent les accidents d'atelier lors du développement de la photographie, comme avec les tâches d'eau présentes sur la toile. Ce travail sur les éléments de détail vise à perdre le regardeur et brouiller le contexte de l'oeuvre pour créer une réalité nouvelle liée au contexte de fabrication de l'image.

200 x 150 cm
Titré, signé, daté au dos
L'image-source de Pierre est une corbeille de fruits ornant l'escalier du musée des Beaux-Arts d'Aix-en-Provence. La taille grossière d’un motif classique constitue une première réinterprétation dont s'empare l'artiste pour en faire émerger des formes nouvelles. Malgré le grand format de la toile, sa quasi-bichromie perturbe la perception de tous les détails alors que le mélange du végétal et du comestible entraîne une perte de la signification du sujet global. Nos repères sont d’autant plus brouillés que Mireille Blanc manipule l’image en amont de la peinture en y apposant des filtres faisant office de leurres tels que les coups de spray ou le scotch.

40 x 30 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Dans Jonquille, Mireille Blanc explore le rapport au reflet et à la pénétration des matières. Pour cela, elle part d'une photographie de jonquille dans un vase située devant un papier absorbant en rouleau. En retravaillant le cliché et en jouant sur l'échelle, elle se focalise sur le rapport entre le rouleau et le vase coloré, de manière à perdre le regardeur dans l'image et brouiller son contexte.

200 x 150 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Sweat (Dauphins) fait partie d'un ensemble de peintures issues de photographies de sweat-shirts. Très caractéristique de son travail, l'artiste transforme le cliché en jouant sur le rapport d'échelle pour lui donner un angle différent. En portant la focale sur un plan très serré et en agrandissant énormément, Mireille Blanc tend à faire échapper le sujet de l'image, et crée un filtre entre l'oeuvre et celui qui se trouve en face d'elle. En brouillant les inscriptions et le contexte de l'image souvent démodés et kitsch, elle se focalise sur l'indétermination des éléments traités, et joue sur le caractère énigmatique des sujets qu'elle rencontre.

180 x 124 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Motif fait partie d'un ensemble de peintures issues de photographies de sweat-shirts. Très caractéristique de son travail, l'artiste transforme le cliché en jouant sur le rapport d'échelle pour lui donner un angle différent. En portant la focale sur un plan très serré et en agrandissant énormément, Mireille Blanc tend à faire échapper le sujet de l'image, et crée un filtre entre l'oeuvre et celui qui se trouve en face d'elle. En brouillant les inscriptions et le contexte de l'image souvent démodés et kitsch, elle se focalise sur l'indétermination des éléments traités, et joue sur le caractère énigmatique des sujets qu'elle rencontre.

42 x 29,7 cm
Dans L?Amour ! Mireille Blanc traite le motif des sweatshirts d?une manière nouvelle en portant son attention sur le profil, bras et jambe, de la personne photographiée et les franges de sa robe. C'est l'inscription sur le vêtement qui donne son titre au dessin. En arrière-plan, le contexte de la scène s?évapore et donne au sujet des contours flous, semblables à ceux de la photographie.

42 x 29,7 cm
Dans Hot dog, Mireille Blanc dessine au fusain un pain vidé de son contenu en adoptant une vue plongeante sur son sujet. L?artiste s?amuse avec nos repères mémoriels en choisissant un titre qui dévoile la nature de l?aliment pourtant absent dans son dessin. Par le choix du cadrage, elle renforce cette idée d?étrangeté et brouille les repères du regardeur.

22 x 19 cm
Collection FRAC Auvergne

80 x 110 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Sitcom fait partie d'un ensemble de peintures issues de photographies de sweat-shirts. Très caractéristique de son travail, l'artiste transforme le cliché en jouant sur le rapport d'échelle pour lui donner un angle différent. En portant la focale sur un plan très serré et en agrandissant énormément, Mireille Blanc tend à faire échapper le sujet de l'image, et crée un filtre entre l'oeuvre et celui qui se trouve en face d'elle. En brouillant les inscriptions et le contexte de l'image souvent démodés et kitsch, elle se focalise sur l'indétermination des éléments traités, et joue sur le caractère énigmatique des sujets qu'elle rencontre.

78 x 100 cm
Collection Artothèque Grand-Quevilly

42 x 29,7 cm
Grand rideau (1) est un dessin issu d'une photographie d'un rideau habillé de motifs en dentelle, rappelant les sujets kitsch qui reviennent souvent dans le travail de l'artiste. À travers un processus de transformation de l'image, qui l'amène à jouer sur les rapports d'échelle et à se focaliser sur les détails, elle crée un filtre entre l'oeuvre et celui qui se trouve face à elle, et permet l'apparition d'une nouvelle réalité dans l'effacement du sujet premier. L'utilisation du fusain, et par conséquent du noir et blanc permet de renforcer l'abstraction du sujet en diluant les motifs dans l'oeuvre, ce qui contribue d'autant plus à faire perdre les repères du regardeur.

120 x 90 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Petit sweat bleu fait partie d'un ensemble de peintures issues de photographies de sweat-shirts. Très caractéristique de son travail, l'artiste transforme le cliché en jouant sur le rapport d'échelle pour lui donner un angle différent. En portant la focale sur un plan très serré et en agrandissant énormément, Mireille Blanc tend à faire échapper le sujet de l'image, et crée un filtre entre l'oeuvre et celui qui se trouve en face d'elle. En brouillant les inscriptions et le contexte de l'image souvent démodés et kitsch, elle se focalise sur l'indétermination des éléments traités, et joue sur le caractère énigmatique des sujets qu'elle rencontre.

60 x 44 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Dans Fleur 1, Mireille Blanc s’intéresse au motif de la fleur pour le travailler de manière détournée. En partant de l’envers d’un canevas représentant une rose, elle déforme d’autant plus l’image et met en avant ce travail de transformation dans sa peinture. De cette manière, l’artiste crée une œuvre laissant entrevoir une nouvelle réalité, avec la présence de traces noirs et blanches qui brouillent le sujet initial.

24 x 30 cm
Titré, daté, signé au dos
Dans Le gâteau de S., le sujet est double et s’impose à Mireille Blanc dans un rapport d’attraction/répulsion. La perception du gâteau d’anniversaire entamé, et de son assiette kitsch, est parasitée par les coups de spray projetés sur la photographie à l’atelier et par son cadrage serré. L’artiste s’amuse à brouiller les repères du spectateur, partagé entre la sensation d’une proximité immédiate au sujet sans parvenir pour autant à déterminer s’il s’agit de la représentation picturale d’un gâteau ou d’une peinture de photographie de gâteau.

42 x 60 cm

200 x 130 cm

41 x 60 cm

21 x 29.7 cm
Dans Les fleurs, Mireille Blanc s'intéresse au motif de la fleur pour l'exploiter de manière détournée. Travaillant à partir d'une photo d'un cageot de géranium, elle joue sur le rapport d'échelle pour tendre vers une certaine abstraction du sujet figurant sur son dessin. L'utilisation du noir et blanc contribue à renforcer la perte de repère du spectateur, et à diluer la perception du contexte de l'oeuvre.
21 x 29.7 cm
signé, titré, daté au dos
Dans Les fleurs, Mireille Blanc s'intéresse au motif de la fleur pour l'exploiter de manière détournée. Travaillant à partir d'une photo d'un cageot de géranium, elle joue sur le rapport d'échelle pour tendre vers une certaine abstraction du sujet figurant sur son dessin. L'utilisation du noir et blanc contribue à renforcer la perte de repère du spectateur, et à diluer la perception du contexte de l'oeuvre.

42 x 29,7 cm
Le dessin Piqué a été réalisé à partir d'une photographie d'un miroir abîmé, laissant transparaître un lit drapé en arrière-plan. S'inscrivant dans la recherche de l'abstraction du sujet très caractéristique de l'oeuvre de Mireille Blanc, ce dessin se focalise particulièrement sur les détails, avec notamment les marques de détérioration du miroir qui interrogent la perception du regardeur. En utilisant le noir et blanc et en jouant sur l'échelle et les détails, l'artiste brouille le contexte de l'oeuvre et installe en filtre entre le dessin et celui qui le regarde.

42 x 29,7 cm
Cette oeuvre est issue d'une photographie d'un mobile pour enfant représentant des nains suspendus dans le vide. En insistant sur les détails, et notamment en retranscrivant le mouvement du mobile tout en jouant sur l'échelle, Mireille Blanc cherche à faire échapper le sujet initial dans les motifs qu'elle dessine. S'ajoutant à ce procédé, l'utilisation du fusain et par conséquent du noir et blanc vient appuyer cette recherche de l'abstraction du sujet en brouillant le contexte de l'oeuvre.

26 x 35 cm

65 x 55 cm
L'Oeuvre Cirque provient d'une photographie en noir et blanc d'une télévision représentant une image de cirque, sur laquelle est posé un navire en miniature. Témoin du rapport instinctif que l'artiste entretien avec le choix de ses sujets, le fusain s'est imposé à elle à travers cette photographie en noir et blanc. Illustrant des objets rappelant le kitsch présent de manière récurrente dans son travail, Mireille Blanc s'attache à retranscrire les détails de fabrication de l'image pour tendre vers un effacement du sujet premier, et faire transparaître une nouvelle réalité.

80 x 60 cm
Mireille Blanc est une artiste-peintre française qui travaille sur l'aspect énigmatique des sujets qu'elle rencontre. Partant de photographies personnelles ou collectées qu'elle choisit avec une grande part d'intuition, elle s'intéresse aux détails de fabrication de l'image en retravaillant les clichés, pour mener vers un entre-deux entre abstraction et repères mémoriels. L'artiste cherche à faire échapper le sujet initial dans les motifs qu'elle peint en insistant sur les détails et en modifiant les rapports d'échelle, en agrandissant par exemple de petits éléments afin de perdre le regardeur dans l'image et brouiller le contexte. Ce procédé artistique qui se focalise vers l'indétermination des éléments traités, créé ainsi un filtre entre l'oeuvre et celui qui se trouve face à elle, et permet l'apparition d'une nouvelle réalité dans l'effacement du sujet premier.
Elle est née en 1985 en France. Elle vit et travaille à Brunoy, France.